Nevralgie - Urgence Ostéopathes

Étirement de l’arrière cuisse – Urgence Osteopathes | Thierry Payet

Position de départ :

Debout, une jambe tendue devant soi, on appuie sur un tabouret, la jambe d’appui légèrement fléchie. Le dos assez droit et le buste un peu penché en avant sur la jambe.

Action de contraction :

Appuyez le talon contre le tabouret, jambe tendue, en un effort continu et croissant.

Action d’étirement :

Relâcher la jambe, avancer le buste sur celle-ci ( dos assez plat ) jusqu’à sentir un étirement, maintenir la position.

Respiration :

Petites expirations abdominales lors de l’action 1, longues lors de l’action 2.

Sensation :

Tension et échauffement de l’arrière-cuisse ( action 1 ), étirement ( Action 2 ).

Rythme :

15 secondes de contraction, 15 secondes d’étirement doux.

Répétition :

4 de chaque côté.

Nevralgie - Urgence Ostéopathes

Étirement des ischio-jambiers – Urgence Osteopathes | Thierry Payet

Étirement des ischio-jambiers – Urgence Osteopathes

Départ :

Debout, une jambe tendue en appui sur un tabouret. Les deux mains saisissent la cheville ou le pied de la jambe en appui. Inspirer.

Mouvement :

Se pencher en avant (dos plus ou moins rond) jusqu’à la tension de la cuisse (la tension arrive plus vite dos plat). Tenir l’étirement jusqu’à ce que la tension musculaire de la cuisse diminue. Sur l’expiration, gagner en flexion antérieure du tronc jusqu’à la nouvelle tension de la cuisse. Maintenir le pied en flexion.

Arrivée :

Relâcher lentement la tension.

Le stress et ses conséquences – Osteo Possession

Le stress et ses conséquences – Osteo Possession | Thierry Payet

Rencontré tout au long de l’année auprès de mes patients, mais aussi lors de mes expériences dans divers secteurs d’activités. Le stress est malheureusement employé partout et tout le temps : « Mon patron me stress ! », « J’ai arrêté de fumer, et je suis stressé ! », « L’examen de demain me stress !».
On en fini par ne plus réellement savoir de quoi on parle ! Le stress englobe une multitude de synonyme, telle que l’angoisse, l’agression, le choc ou encore la tension.

Quant à l’Institut National de Recherche et de Sécurité (INRS), il fini par le définir comme suit : « On parle de stress au travail quand une personne ressent un déséquilibre entre ce qu’on lui demande de faire dans le cadre professionnel et les ressources dont elle dispose pour y répondre. ».

On réalise alors que le stress n’a comme définition exacte que l’interprétation de chacun, et qu’il est très difficile de mettre une barrière entre le stress « personnel » et le stress « professionnel ». On peut déterminer le stress qu’au cas par cas.

Le constat est alarmant mais pas irréversible, nous verrons à travers cet article les moyens pour le diminuer et j’insiste sur le diminuer car il n’y a malheureusement pas encore de remède miracle à sa disparition (mais qu’une diminution du stress grâce à un travail de tous les jours).

Dans son « Dictionnaire culturel » de la langue française, Alain Rey présente le stress comme un emprunt à l’anglais du mot « Distress » signifiant « Affliction », lui-même emprunté à l’ancien français « Destrece » (Détresse) ou « Estrece » (Oppression), dérivé du mot latin « Stringere » voulant dire « serrer, éteindre ».

Le mot « Stress » a été utilisé la première fois par Robert Hoocke, biologiste et physicien du XVII° siècle, avec pour sens :

Le stress et les conséquences sur l’organisme

Le stress est une « réponse de l’organisme aux facteurs d’agression physiologiques et psychologiques ainsi qu’aux émotions qui nécessitent une adaptation ». Il concerne toutes les populations et peut toucher indistinctement hommes et femmes, à tout âge, quel que soit leurs milieux social et professionnel. Il peut survenir épisodiquement ou parfois quotidiennement, et devenir alors un véritable handicap qui isole les gens socialement.

Face à se stress, le corps met en place un processus par lequel il fait face au « stress » ou à des « agents nocifs ». Ce processus est appelé le Syndrome Général d’Adaptation (ou SGA). Ce dernier suit 3 phases:

  • Une réaction d’alarme par laquelle le corps se prépare pour « combattre ou fuir » ;
  • Puis la mise en place d’un système d’adaptation et de résistance à la contrainte ;
  • Enfin, le corps entre dans une phase d’épuisement « due à l’usure et aux larmes » si le stress est suffisamment long.

Dans les premières secondes qui suivent la survenue du facteur stressant, le système nerveux autonome s’active par augmentation de l’adrénaline (une hormone) dans la circulation sanguine. Cette dernière agit sur le cœur (élévation du rythme cardiaque), les vaisseaux sanguins (augmente la pression artérielle), les poumons (dilate les bronches et élève le rythme respiratoire), … Le cerveau, lui aussi, sera dans un état de vigilance accrue.

Chaque jour, lors de consultations, je rencontre des patients souffrant de tensions musculaires (tension, douleur et fatigue musculaires) qui sont dues en partie au stress.
Pourquoi ?
Lorsqu’une personne est sujet à une situation stressante, un climat stressant et donc au stress, cette dernière va se crisper créant des tensions au niveau des muscles et elle effectuera des gestes, de la vie de tous les jours, de façon non appropriée, brusque.
Ainsi l’articulation réalisant ces gestes subit une contrainte ou un traumatisme, qui perturbe son fonctionnement et entraîne des troubles plus ou moins gênant, douloureux voire même handicapant.

L’ostéopathie et le Stress

La prise en charge de l’ostéopathe à généralement un effet apaisant sur la personne stressée.
Elle permet de diminuer les tensions musculaires, les douleurs ou les blocages articulaires, de contrôler, en partie le fonctionnement du système nerveux autonome ou encore de favoriser les mouvements de la cage thoracique pour que la respiration soit optimale.

J’ai pu mettre en place un protocole de soin permettant la prise en charge du stress.

Les séances se composent essentiellement de techniques viscérales, respiratoires et crâniennes ; et un traitement complet nécessite entre 1 à 4 séances espacées de 3 à 6 semaines.

Lors du traitement, les manipulations se veulent douces et progressives dans le respect de la mobilité tissulaire du corps. Et les réactions peuvent être diverses et variées :

  • Larmes
  • Rougeurs
  • Variation de la sudation
  • Sensation d’oppression

Ces réactions sont normales et peuvent faire partie d’une discussion pendant ou après le traitement afin de mieux appréhender la situation du patient.

Le but final du traitement est de relâcher et de retrouver une mobilité totale et de manière durable au niveau des zones impactées par le stress.

La respiration, comme allié : un réflexe essentiel à la vie

La respiration peut être altérée pour de nombreuses raisons : la posture, l’environnement, l’état psychoaffectif, … Mais est également un moyen d’expression de certaines émotions. Ainsi, lorsque le stress ou l’anxiété perturbe notre souffle, nous pouvons consciemment tenter de contrôler cette respiration afin d’user de ses vertus relaxantes.

En période de stress, le muscle diaphragme (muscle en forme de voile de parachute situé entre le thorax et l’abdomen) ne fonctionne plus de la bonne manière limitant ainsi l’apport d’oxygène vers les poumons.

Exercice sur la respiration pouvant être réalisé seul

le plus proche possible de votre dos. Répétez ces cycles inspiration/expiration jusqu’à ce que le mouvement devienne naturel. Il vous faudra un peu de temps pour que vous adoptiez cette respiration abdominale de manière spontanée dans la vie de tous les jours.

Cet exercice peut être fait à tout moment en situation de stress ou non. Pratiqué régulièrement dans la journée, le matin ou le soir, il n’en sera que plus bénéfique pour vous. Gardez-le en mémoire :

débardeur Trail Kréol

débardeur Trail Kréol | Thierry Payet

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Ostéopathie pour nourrisson - OSTEOPATHE D.O.

Ostéopathie pour nourrisson – OSTEOPATHE D.O. | Thierry Payet

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Quand Crossfit et ostéopathie deviennent complémentaires

Quand Crossfit et ostéopathie deviennent complémentaires | Thierry Payet

Peu connu sous ce nom il y a encore quelques années, le CrossFit est devenu le sport en vogue. Bon nombre de Box s’ouvrent un petit peu partout, mais en quoi consiste réellement ce sport? Pourquoi se développe-t-il aussi vite? Pourquoi l’ostéopathie se rapproche-t-elle autant de son principe de base, et pourquoi le crossfitteur a-t-il besoin d’un suivi ostéopathique complémentaire? Cet article aura pour objectif de répondre au mieux à ces questions, la seule condition pour le lire sera de réaliser 5 burpees entre chaque paragraphe ;).

Qu’est ce que le Crossfit

Il s’agit d’une méthode de préparation physique générale. Développé par Greg et Lauren Glassman il y a plusieurs dizaines d’années, le crossfit remet enfait au goût du jour les mouvements fonctionnels quotidiens (sauter, courir, soulever, se déplacer…) trop souvent délaissés.

L’entraînement se résume de la manière suivante : des mouvements fonctionnels (=globaux, naturels), variés (on ne fait jamais la même chose, chaque WOD (Workout Of the Day) est différent!), exécutés à relativement haute intensité afin de sortir de sa zone de confort et se dépasser (travail cardio en complément donc).

Comme tout sport qui se respecte, vous y trouverez également en début de WOD des échauffements, des exercices spécifiques (Skills = techniques ou strength = force). Mais plus qu’une simple méthode de remise en forme, ce qui fait la force du CrossFit, c’est la communauté et la solidarité qui unissent les personnes qui s’entraînent ensemble.

Quelque soit le niveau de chacun, tout le monde s’encourage, et cherche à devenir meilleur de jour en jour. C’est ainsi une véritable positivité qui trône en maître dans chacune des box; là est la recette miracle, car comme tout le monde le sait “Seul on va plus vite, mais ensemble, on va plus loin”!

Le Crossfit en chiffres et en images

Comme tous types de sports pratiqués de manière régulière, lorsqu’il est bien pratiqué, en conscience de son corps et de son ressenti, le crossfit est un très bon sport car ultra complet. En revanche une mauvaise pratique sera source de douleurs importantes, d’autant plus si elle n’est pas correctement encadrée.

Cependant, du fait de l’intensité importante de ce sport, les contraintes physiques sont exacerbées, se rapprochant rapidement de celles ressenties par des sportifs professionnels de certains sports. C’est précisément dans ces cas que l’ostéopathe aura son rôle à jouer, pour prévenir les blessures avant qu’elles n’apparaissent (voir le dernier paragraphe).

Place aux chiffres

Les chercheurs définissent une blessure comme « toute douleur ou inconfort survenus au cours d’un entraînement et qui empêche alors le sportif de s’entraîner, travailler ou participer à des compétitions, et ce quelque soit la manière ou le temps d’arrêt ».

Parmi une étude qui s’intéressent au taux de blessure chez le crossfiteur on retient :

  • Sur 386 pratiquants, un taux de 19,4% de blessures.
  • Plus de blessures chez les hommes.
  • Localisées majoritairement aux épaules (~25-30%), au bas du dos et genoux.
  • La présence d’un coach fait diminuer le taux de blessures !

Ils ont pu comparer 3 modes d’entrainements et leur effet sur la formes physique (force, endurance, puissance musculaire et composition corporelle). Le premier groupe pratiquant de la musculation en autonomie, le deuxième groupe de la musculation supervisé par un coach, le troisième groupe du crossfit (donc en groupe avec coach). Il en ressort que le crossfit et le groupe de musculation supervisé présentent une amélioration générale de la forme physique supérieure au groupe sans coach. Le crossfit se différencie totalement de part le plaisir exprimé par ses pratiquants; ce résultat s’expliquant en partie par la “culture crossfit” associant forte identité / effet de groupe / défi de soi.

Le crossfit n’est PAS plus dangereux qu’un autre sport de haute intensité. Il présente les mêmes risques de blessures.

Le facteur de diminution de blessures le plus probant est la présence d’un coach lors de l’entraînement (ce qui est toujours le cas dans les Box affiliées) ainsi qu’un suivi ostéopathique de prévention.

La connaissance des risques, et de la localisation des blessures doit être prise en compte dans la prise en charge du sportif avec des exercices de renforcement adaptés et une augmentation des charges et de l’intensité lente et progressive.

L’essentiel sera donc de trouver une Box qui vous convient, avec une bonne ambiance et surtout de bons coach qui pourront vous encadrer comme il se doit. Un bon exemple sur Nice avec CrossFit XII que je remercie au passage pour l’accueil, et les photos! Je ne peux que recommander cette box à Nice.

Son rapport avec l’ostéopathie

L’ostéopathie et le Crossfit partagent certains principes:

  • prévenir plutôt que guérir
  • rechercher, trouver un certain équilibre
  • voir le corps dans sa GLOBALITE

Dans le célèbre ouvrage bien connu des crossfitteurs « Becoming a Supple Leopard », Kelly Starret dit que « l’être humain possède une immense capacité de se soigner par lui-même », ce qui reprend la philosophie d’Andrew Taylor Still, fondateur de l’ostéopathie :  » Le corps possède en lui-même la capacité de s’auto-guérir. »

Que vous soyez crossfiteur pour le plaisir ou compétiteur (ou les deux! ), une douleur lors de vos WOD peut vite diminuer vos capacités physiques globales, vous faire mal exécuter votre kipping, vos snatch ou encore deadlift. Une frustration s’installera donc car vous n’arriverez plus à améliorer vos performances, mais surtout, et sans prise en charge précoce, cette douleur pourra s’aggraver, des adaptations corporels se mettront en place et le “retour à la normal” n’en sera que plus compliqué.

On a trop souvent tendance à assimiler la santé à l’absence de maladie, alors que l’idée est d’améliorer son bien-être, de ne pas se contenter d’être seulement « pas malade ».

Il faut aller plus loin que ça, être capable de faire toutes les choses de la vie quotidienne, travailler au bureau ou porter ses enfants, sans avoir mal au dos ou aux épaules. Pour cela, le seul moyen est la prévention par l’activité physique, l’ostéopathie et la récupération.

En consultation, ou grâce aux explications anatomiques ou conseils physiologiques et posturaux, votre ostéopathe saura accompagner les sportifs débutants ou confirmés dans leur processus d’entraînement, conjointement au travail des coach dans les box, afin de vous maintenir au top physiquement parlant.

Article rédigé par Pierre-Louis Billant – Ostéopathe D.O. – Cycl’ostéo Nice

Osteopathie und Riechstörungen • Healthblog • Torsten Liem

Osteopathie und Riechstörungen • Healthblog • Torsten Liem | Thierry Payet

Als erstes ist es sicherlich eine interessante Frage, ob Osteopathie bei Long Covid-19 helfen können. Persönliche Erfahrungen von erfolgreichen Behandlungen einzelner Osteopathen ist der erste Schritt. Deshalb freue ich mich über die positiven Behandlungserfolge von Wirtz und die Berichterstattung darüber. 

 

Jetzt ist es nötig in Studien zu untersuchen, ob diese Einzelerfahrungen nur anekdotischer Natur sind oder ob Osteopathen tatsächlich einen Beitrag bei der Behandlung von Long Covid leisten können.

 

Die Befundung von Wirtz, dass die Riechstörung vor allem auf eine Verspannung im duralen System zurückzuführen sei, halte ich für zu reduktionistisch. Vielleicht wurde – aus Versehen – ja vielleicht auch viel mehr mit den Händen „behandelt“, als ursprünglich bewusst gedacht. Viele Wirkmechanismen sind ja noch lange nicht abschließend untersucht. 

Aus meiner Sicht sollte zusätzlich zur duralen Behandlung wie Wirtz sie empfohlen hat, auch eine Mobilisierung der Lamina cribrosa im Siebbein, die Behandlung der gesamten Nasenregion, die Gleitfähigkeit des Riechnerven (Liem 2020), die arterielle Versorgung der Nase sowie eine lymphatische Behandlung der Nasenregion, des tiefen Halses, des Gehirns und des Kopfes (Liem 2017, Drainage des Gehirns) und je nach Patient weitere osteopathische Interventionen erfolgen. So wurde in unserer Praxis behandelt und dabei hatte ich gute Erfolge bei Riechstörungen nach Coviderkrankung. Allerdings müsste auch diese Arbeitshypothese weiter wissenschaftlich untersucht werden. 

 

Es könnte gut möglich sein, dass Osteopathie im Rahmen einer multidisziplinären Behandlung Ihren Beitrag bei Long-Covid leisten kann, wie auch eine Veröffentlichung von Marin et al. 2021, 2022) postulieren und weitere biologische und klinische Forschung verlangen.

Auf der anderen Seite sollten wir zum jetzigen Zeitpunkt nicht übertriebene Behauptungen zu Behandlungserfolgen formulieren. 

Dabei sind folgende Fehler zu vermeiden: Fehlinterpretationen, Rosinenpickerei von Informationen in narrativen Übersichten und mangelnde methodologische Strenge wie z.B. Draper-Rodi et al. (2021) in Bezug zu Publikationen zu osteopathischer Behandlung von Covid-19 schreiben.

 

An der spanischen Grippe (Influenza), Anfang des 20. Jahrhunderts sind etwa 50 Millionen Menschen gestorben. 2.445 OsteopathInnen behandelten damals 110.122 Influenza-PatientInnen mit osteopathischer Manipulationstherapie (OMT) behandelt.  Diese zeigten eine deutlich niedrigere Morbiditäts- und Sterblichkeitssrate auf im Vergleich zu Patienten, die mit der damaligen ärztlichen Standardversorgung behandelt wurden. Auch wenn diese Ergebnisse mit Vorsicht zu genießen sind, denn die wissenschaftlichen Standards zu der Zeit Mängel bei der Standardisierung der Forschungsmethoden und -kriterien aufweisen, hätte es meiner  Meinung nach genügend Hinweise für die Annahme gegeben, dass Osteopathie auch bei der Behandlung von Covid-19 helfen könnte, die eine Untersuchung dieser Annahme rechtfertigen würde. (Baroni et al. 2021, siehe LiemHealthBlog, Liem 2020 (Artikel),  Stenta et al 2020, Martinez, Reddig 2020, Thibault et al 2020) (siehe LiemHealthBlog

Dies hätte insbesondere in der Zeit untersucht werden können, in denen noch keine Impfstoffe zur Verfügung standen, was leider nicht stattgefunden hat, auch nicht in den USA, in denen viele Osteopathen in Krankenhäusern arbeiten. 

douleur dos hernie discale

facteurs de risques, diagnostic et traitement | Thierry Payet

Fréquents, les maux de dos (lumbago, …) constituent un problème majeur de santé publique et touchent davantage les personnes entre 30 et 55 ans. 

Comment prévenir les lombalgies? Comment diagnostiquer et traiter une hernie discale

Medicalib vous en dit plus à ce sujet. 

Cet article, destiné au grand public, s’appuie sur les données scientifiques disponibles sur le sujet traité, à sa date de mise à jour.
Il n’a pas vocation à se substituer aux recommandations et préconisations de votre médecin ou de votre pharmacien.

I – Hernie discale : de quoi parle-t-on?

Avant toute chose, un petit point d’anatomie s’impose.

La colonne vertébrale se compose de 33 vertèbres :

  • 7 cervicales,
  • 12 dorsales,
  • 5 lombaires,
  • 5 sacrées (soudées),
  • 4 coccygiennes (soudées).

Chacune de ces vertèbres est séparée par un disque intervertébral, sorte de coussinet composé d’un noyau central et, entouré d’un anneau fibreux.

Les disques intervertébraux offrent une certaine souplesse à la colonne vertébrale, permettant les mouvements et amortissant les chocs entre chacune des vertèbres.

Lorsqu’un disque subit un pincement (mauvaise posture répétée, port d’objet lourd, traumatisme,… ) une fissure ou rupture du disque peut s’observer. Le noyau du disque peut alors se déplacer et migrer vers l’extérieur, créant une saillie et formant ainsi une hernie. En comprimant et irritant le nerf voisin, cette dernière peut alors être à l’origine de douleurs, d’une perte de sensibilité...

Bon à savoir Dans 90% des cas, les hernies discales apparaissent au niveau du bas du dos (vertèbres lombaires) et, plus rarement (8% des cas) au niveau du cou (vertèbres cervicales).

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II – Hernie discale : facteurs de risque et prévention

PARMI LES FACTEURS DE RISQUE DE LA HERNIE DISCALE, ON RETROUVE :

ÂGE Entre 30 à 50 ans, le risque est plus important. 

NB : Les disques intervertébraux vieillissent, se fragilisent, se déshydratent et se rigidifient progressivement. Ainsi, “après 50 ans, la partie interne du disque commence à se durcir, rendant la hernie moins probable.”[1]

SEXE Les hommes ont un risque supérieur de développer une hernie discale : 5 % des hommes et 3 % des femmes en souffrent au moins une fois.
PREDISPOSITION FAMILIALE *Membres de la famille ayant déjà souffert de hernie discale
*Anomalie génétique fragilisant la colonne vertébrale
.
MORPHOLOGIE Personnes de grande taille
Femmes enceintes
ATTITUDE VICIEUSE Personnes qui présentent une cyphose.
PROFESSION Efforts répétés : port de charges, travail nécessitant de se baisser fréquemment, position assise prolongée (commerciaux, routiers…)…
HYGIÈNE DE VIE *Surpoids
*Tabac
*Sédentarité

LA PRÉVENTION PASSE NOTAMMENT PAR :

HYGIÈNE DE VIE *Limiter la consommation de tabac
*Avoir une alimentation équilibrée et surveiller son poids
*Pratiquer régulièrement une activité physique (renforcement et étirement musculaire), marche quotidienne
POSTURE Veiller à : 
*avoir une bonne posture
*adopter les “bons gestes” (flexion des hanches et des genoux pour soulever une charge) 
*limiter les attitudes vicieuses (position avachie avec dos arrondi, croisement des jambes en position assise, …)
Bon à savoir Échauffement, pratique régulière d’une activité physique et étirements permettent de réduire le risque de hernie discale.

III – Hernie discale : symptômes

Les symptômes d’une hernie discale varient d’un individu à l’autre et dépendent notamment de la localisation de la hernie.

Peuvent s’observer :

  • une douleur : au niveau du bas du dos (lumbago), des jambes (sciatique), des épaules ou des bras (névralgie cervico-brachiale). L’intensité de la douleur est variable d’un individu à l’autre, pouvant être légère ou invalidante,
  • des paresthésies : fourmillements, picotements ou sensation de décharge électrique au niveau du membre inférieur,
  • des dysesthésies : troubles de la sensibilité au niveau du membre inférieur,
  • une faiblesse musculaire ou paralysie des muscles de la cuisse ou de la jambe : pointe du pied qui racle le sol, genou qui lâche, jambe qui se dérobe…,
  • une incontinence : perte du contrôle des sphincters.
Bon à savoir En cas de douleurs intenses, de paralysie ou de troubles sphinctériens, une consultation médicale s’impose.
“En cas de paralysie, la pression exercée par la hernie discale sur le nerf peut entraîner des lésions irréversibles[…]
Il s’agit donc d’une urgence chirurgicale.« [2].

IV – Hernie discale : diagnostic

EXAMEN CLINIQUE Interrogatoire, analyse des antécédents…
RADIOGRAPHIE Permet d’éliminer les autres causes de radiculalgie (fracture de vertèbre, scoliose…)
IRM ou TDM Examen de première intention qui permet d’identifier précisément la cause, de localiser le disque endommagé, de préciser si compression nerveuse il y a…
SCANNER Moins bonne résolution pour les tissus mous que l’IRM. 
Permet de voir une hernie discale de grande taille mais pas toujours une de plus petite taille!
MYÉLOGRAPHIE Combiné avec une tomodensitométrie, cet examen permet de voir avec précision (grâce à l’injection d’un colorant) les détails des nerfs, de la moelle épinière et des os adjacents.
ELECTROMYOGRAMME Peu utilisé. 
Permet d’évaluer le retentissement d’une compression neurologique et de savoir quel nerf est touché par la hernie.

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V – Hernie discale : traitement

Les hernies discales guérissent le plus souvent spontanément (de quelques semaines à trois mois environ) et le traitement varie en fonction des symptômes ainsi que de l’évolution de la hernie.

Bon à savoir En cas de lombalgie, attention aux manipulations qui augmentent considérablement le risque d’expulsion d’une hernie !
HYGIÈNE DE VIE Repos relatif pendant une quinzaine de jours minimum
NB : “Le repos au lit […] n’est pas recommandé. Une reprise rapide des activités de la vie quotidienne est [préconisée] pour retrouver ses fonctions musculaires.”
[3]
TRAITEMENT MÉDICAL *Traitement de la douleur (antalgiques, anti-inflammatoires, décontracturants musculaires, application de froid ou de chaud…)

*Port d’une ceinture lombaire rigide : ne doit pas être porté trop longtemps et doit être suivi d’une rééducation active.

INFILTRATION Injection d’un produit corticoïde si les symptômes ne sont pas soulagés avec des antalgiques
INTERVENTION CHIRURGICALE Ablation de la hernie.
Uniquement envisagé lorsque les symptômes ne permettent pas d’attendre la résorption spontanée (déficit neurologique : perte de sensibilité cutanée, perte de motricité des orteils du pied ou de la cuisse, perte de contrôle de la vessie ou des intestins…) que les symptômes ne peuvent être calmés ou que la hernie ne se résorbe pas après plusieurs semaines.
KINÉSITHÉRAPIE Une fois que la crise douloureuse est passée, des exercices destinés à se remuscler le dos et les muscles abdominaux sont préconisés.
Bon à savoir Après une intervention chirurgicale, “la grande majorité des personnes peuvent reprendre toutes leurs activités en 6 semaines à 3 mois. La chirurgie a tendance à entraîner une récupération plus rapide que le traitement non chirurgical. Cependant, après environ un an ou deux, les personnes traitées avec ou sans chirurgie présentent à peu près le même degré de récupération.”[4]

Sachez que vous pouvez prendre rendez-vous en ligne avec un kinésithérapeute libéral ou une infirmière libérale pour pour vos soins à domicile. Pour cela, n’hésitez pas à nous contacter via notre plateforme. Nous vous mettrons en relation avec un professionnel de santé à proximité de votre domicile en moins d’une heure !

Sources :

  • [1] Le diagnostic et les traitements de la hernie discale- Vidal – MAJ 26 mars 2020
  • [2] Hernie discale lombaire – Institut parisien du dos – MAJ 12 novembre 2019
  • [3] Mal de dos : le bon traitement, c’est le mouvement ! – Ameli – 13 janvier 2022
  • [4] Hernie discale – MSD- MAJ novembre 2020
  • Le mal de dos vulgarisé par des professionnels de santé – Lombafit
  • Lombalgie et hernie discale – Santé Publique France – MAJ 6 mars 2020
Scoliose et ostéopathie

Scoliose et ostéopathie | Thierry Payet

La scoliose est une torsion progressive de la colonne vertébrale qui se retrouve alors déformée. Les enfants et les adolescents sont majoritairement touchés par la scoliose qui évolue au fil des poussées de croissance. On note également que dans plus de 80% des cas, ce sont des filles qui souffrent de cette déformation.

Vous pouvez suspecter une scoliose chez votre enfant si:

  • L’une de ses épaules à l’air plus haute que l’autre
  • Il a du mal à se tenir droit, reste voûté
  • L’une de ses jambes à l’air plus courte que l’autre
  • Il se plaint de douleurs au niveau du bassin et du dos
  • Sa croissance semble ralentie, vous trouvez qu’il ne grandit pas très vite

La scoliose peut être plus ou moins prononcée selon les cas, et les conséquences qui en résultent varient elles aussi, mais la plupart du temps on vit normalement malgré la scoliose.

Il faut tout de même être vigilant, suivre de près les jeunes patients scoliotiqueset l’évolution de leurs troubles tout au long de leur croissance, notamment par l’observation de l’angle de Cobb.

On distingue deux types de scolioses:

  • La scoliose moyenne: Avec un angle de Cobb de 15 à 20 degrés, elle peut être contenue par un corset, mais d’autres solutions moins radicales existent.
  • La scoliose aggravée: Avec un angle de Cobb au-delà de 30 degrés, l’opération chirurgicale est souvent inévitable pour éviter une déformation importante et de fortes douleurs.

Dans les deux cas, l’ostéopathie est un bon complément car elle permet au patient de mieux supporter des traitements souvent longs et difficiles, et évite également les effets secondaires qui peuvent en résulter.

L’attitude scoliotique qui n’inclue pas de déformation, peut-elle être totalement prise en charge et corrigée par votre ostéopathe.

C’est pourquoi il est d’abord capital d’établir un diagnostic précis en fonction des symptômes afin de mettre en place le traitement le plus complet.

7 choses que vous ne saviez peut-être pas sur l'Ostéopathie » Clinic Osteo

7 choses que vous ne saviez peut-être pas sur l’Ostéopathie » Clinic Osteo | Thierry Payet

Combien de Français sont allés consulter un ostéopathe dans les 12 derniers mois ?

Que veut dire « D.O » pour un Ostéopathe ?

Depuis quand l’Ostéopathie est-elle reconnue en France ?

Une infographie sur l’Ostéopathie réalisée par Clinic Osteo

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