"The Deep Freeze". Understanding the bodies frost, that is the "Frozen

« The Deep Freeze ». Understanding the bodies frost, that is the « Frozen | Thierry Payet

What is the enigma that is frozen shoulder?

Frozen shoulder also known as ‘Adhesive Capsulitis’ is a spontaneous condition of the shoulder associated with pain and stiffness due to the contracture of the joint capsule.

What Causes the shoulder to freeze?

At present the cause of frozen shoulder is unknown. But there have been links made to our body secreting extra collagen type 2 fibres which in turn causes the soft tissues to contract around the Glenohumeral (Shoulder) joint and the joints capsule itself also contracts restricting movement and becoming inflamed causing pain. There are 3 stages to Adhesive capsulitis:

  1. The Freezing Stage: also known as the painful stage. In this stage shoulder pain occurs with movement and the range of movement starts to become limited.

  2. Frozen Stage: Shoulder pain usually begins to decrease in this stage but the range of movement is still very limited.

  3. The Thawing Stage: Shoulder range of movement improves and starts to return to normal.

Who does it affect?

It is twice as likely to affect women more than men between the ages of 40-60, and if you are diabetic it is 5 times more likely to affect you than those in the general population.

Risk Factors:

How Can it be Treated?

Early interventions are the application of moist heat to the shoulder to allow the joint to loosen. GP’s may prescribe muscle relaxants and NSAID’s (Ibuprofen/Naproxen). Range of movement exercises are also recommended early as this aims to maintain movement.

Other options are:

  1. Massage therapy – to help loosen muscle tightness and restrictions

  2. Manual Therapists (Osteopaths, Chiropractors & Physiotherapists) to perform mobilisations and manipulations emphasising on the anterior portion of the shoulder and also manipulations to the thoracic and neck to allow mobility and to prevent restrictions in surrounding joints.

  3. Electrotherapy – consider TENs machines to help modulate pain perception, ultrasound has some evidence supporting its use in increasing blood flow to the local tissues to aid recovery.

  4. Acupuncture – Localised points to help with pain relief

  5. Medications – NSAIDS, Painkillers and Corticosteroid injections can help with pain levels.

  6. Surgery – This only occurs in a very few cases and should be considered the last resort.

How long can it last?

The age old question « whats the prognosis doc? ». With good compliance, recovery with conservative care is usually excellent. The healing process will be slow and can last from anywhere between 6-24 months, but it will get better!!

What are the best Exercises/Stretches to maintain movement?

Pendulum Arm Swings

Bend at the hips approximately 75 to 90 degrees and let your affected arm hang down toward the floor. Shift your weight side to side, letting your arm swing freely side to side. Shift your weight forward and backward, letting your arm swing freely front to back.

Towel Pulls

With one arm bring a towel over your shoulder behind your back. Hold the towel as shown. Gently pull upwards stretching the affected arm behind your back. Hold for approx 20 – 30 seconds

Finger Walking up the wall

Stand with your shoulder about 2 feet from the wall. Raise your arm to shoulder level and gently “walk” your fingers up the wall as high as you can. Hold for a few seconds. Then walk your fingers back down. Repeat 3 times. Move closer to the wall as you repeat. Build up to holding each stretch for 30 seconds

Door Stretches

Stand in a doorway and place both hands on either side of the door, at about shoulder height. Lean forward to give a nice passive stretch to the subscapularis. Hold for between 15-30 seconds.

Resistance bands (External rotation and abduction)

Internal Rotation – Stand next to a closed door, and hook one end of a rubber exercise band around the doorknob. Hold the other end with the hand of the affected arm, holding your elbow at a 90-degree angle. Pull the band toward your body two or three inches and hold for five seconds. Repeat 10 to 15 times, once a day.

External Rotation – Hold a rubber exercise band between your hands with your elbows at a 90-degree angle close to your sides. Rotate the lower part of the affected arm outward two or three inches and hold for five seconds. Repeat 10 to 15 times, once a day

Attempt to add weight once it can be tolerated as this applies traction to the joint.

#FozenShoulder #ShoulderPain #AdhesiveCapsulitis #PainManagement #Osteopathy #Exercises #Rehabilitation #Prevention

Les 7 règles pour atteindre ses objectifs

Les 7 règles pour atteindre ses objectifs | Thierry Payet

 Comment réussir ce que vous entreprenez dans la vie ?

Il faut déjà savoir ce que vous voulez obtenir dans la vie, vous fixez des buts et il suffit ensuite de tout mettre en œuvre pour les atteindre  en mettant en place vos objectifs.

Alors comment atteindre ses objectifs (qu’ils soient sportifs, personnels, professionnels ou autres) ?

Pour vous y aider, voici une méthode simple et efficace en 7 règles à suivre :

1 –  Déterminer avec précisions ses objectifs  !

 2 –  Les mettre par écrit  : planifier (calendrier, dates limites)

3 –  Se mettre en accord avec ses désirs et envies  : vos désirs seront sources d’énergie et vous donneront la force et l’enthousiasme nécessaire pour agir.

4 –  Se concentrer sur son but : les décisions prises dépendront de ce but , se poser la question   » est-ce que ce que je fais me permet de me rapprocher de mon but ?  » Si oui, continuer d’agir ; si non, s’arrêter.

5 –  Se diriger progressivement vers ses objectifs  : tout progrès est fait d’une multitude de petits progrès.

6  –  Se fixer des objectifs mensuels : Un effort quotidien est payant.

7 –  Accepter de faire des «  détours  » : Un détour n’est qu’un chemin différent mais il ne faut par renoncer pour autant à votre objectif.

«  Un objectif est bien plus qu’un rêve  : c’est un rêve mis en œuvre  »

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motricité libre, tapis d'éveil

La motricité libre vous connaissez ? Vous pratiquez ? – Caroline Zumbihl, Osteopathe Montpellier | Thierry Payet

Bonjour à tous.
Ces derniers temps, de plus en plus de parents me demandent mon avis d’ostéo sur des sujets tels que le portage, l’allaitement, l’intérêt de tel ou tel accessoire de puériculture, tétine ou pouce, etc…
Pour répondre plus en détail à ces questions, je commence ce jour une série d’articles axés sur le développement du tout-petit.

 

Pour commencer, il me paraît  important de parler d’un sujet qui est en lien avec quasiment tous les autres :
la motricité libre.
… mais qu’est-ce-que c’est ?

Tout simplement faire ce qui peut paraître le plus simple (mais qui ne l’est pas toujours avec un enfant) : NE RIEN FAIRE! Ou plus sérieusement laisser l’enfant apprendre à bouger à son rythme en lui laissant une grande liberté de mouvement.

 

« La liberté motrice consiste à laisser libre cours à tous les mouvements spontanés de l’enfant, sans lui enseigner quelque mouvement que ce soit. » Emmi Pikler

Un peu d’histoire :

Le concept de motricité libre a été développé par Emi Pikler, pédiatre hongroise dans les années 60. Forte de sa formation en clinique et de sa propre expérience de mère, Emi va voir grandir la conviction que le nourrisson n’a pas besoin de l’intervention d’un adulte dans son développement moteur. Conviction qui grandira en observant les familles qu’elle suit en tant que pédiatre de famille et à qui elle prodigue ses conseils.
Par la suite, nommée responsable d’une pouponnière, elle va mettre en place un gigantesque travail méthodologique sur plus de 700 enfants laissés libres de leurs mouvements.
Ses résultats tendent à montrer que lorsqu’on laisse l’enfant se mouvoir librement et à son propre rythme, celui-ci acquiert son développement moteur tout à fait naturellement et dans un ordre bien précis.
On peut retrouver le compte-rendu de ses travaux dans son livre « Se mouvoir en liberté dès le premier âge »


Aujourd’hui ces travaux sont reconnus et acceptés par un grand nombre de professionnels de santé et de la petite enfance, la motricité libre est de plus en plus pratiquée dans les lieux d’accueil des tout-petits, crèches et halte-garderies.

 

motricité libre, tapis d'éveil
un simple tapis pour tout découvrir

 

Les pré-requis : un environnement adapté  et sécurisant :

  •  Une bonne sécurité affective et une relation harmonieuse avec les adultes responsables de l’enfant. La motricité libre ne signifie pas ne pas s’occuper de l’enfant, au contraire c’est un accompagnement tendre et respectueux du développement propre du bébé.
  • Un environnement adapté : qui se résume en « ni trop, ni trop peu ». Un espace assez grand pour que l’enfant soit libre de ses mouvements mais pas trop pour ne pas qu’il s’y sente perdu, quelques jouets adaptés à son âge pour attiser sa curiosité, un support ni trop dur (pas confortable) ni trop mou (entrave la mobilité) et des vêtements confortables, pas trop serrés, des chaussettes ou chaussons souples laissant toute leur mobilité aux pieds.
  • Une relation chaleureuse et bienveillante avec la personne qui s’occupe des soins au nourrisson, afin d’éviter de « crisper » l’enfant par des manières trop brusques de le porter, le changer, etc… (je vous ferais bientôt un article sur l’haptonomie qui a beaucoup à nous apprendre dans la manière de toucher un enfant)

 

motricité libre, bébé se retourne tout seul
le bébé apprend à se retourner tout seul

 

En pratique comment ça se passe ?

Des les premiers mois de vie, un simple tapis confortable offre un espace d’éveil suffisant à l’enfant, qui va lui permettre de développer tout seul ses capacités, tourner la tête, relever les jambes, agiter les bras puis pivoter pour tenter d’attraper des objets… On le pose sur le dos, position qui ne lui demande pas d’efforts et lui permet d’observer et d’interagir avec son environnement.
On peut aussi lui faire prendre son bain dans des conditions de motricité libre : faire couler de l’eau à hauteur des oreilles de l’enfant, dans une baignoire à fond plat. Essayez vous verrez c’est surprenant au début mais les enfants adorent et c’est très reposant pour le parent !

Idéalement il faudrait attendre que l’enfant se retourne tout seul pour le laisser sur le ventre, mais la position ventrale présente beaucoup d’intérêt, on peut donc l’y installer un peu plus tôt. En effet, en cherchant à relever la tête puis le torse, le bébé va fortifier sa chaîne musculaire postérieure ce qui va prévenir les risques de plagiocéphalie (aplatissement d’un côté du crâne aggravé par la position couché sur le dos).
On se contente au début des moments de change pour retourner l’enfant en boutonnant le pyjama, puis petit à petit on pourra, selon son aisance, le mettre sur le ventre dans ses moments d’éveil, en veillant à ne pas le laisser se fatiguer, et toujours sous surveillance.

En continuant son exploration du monde, l’enfant va petit à petit apprendre à se retourner, puis à ramper (chacun son style dans les débuts de la mobilité!) pour aller doucement vers le quatre-pattes.
A partir de la position quatre-pattes, l’enfant va pouvoir pousser sur ses bras pour s’asseoir de lui-même. Une fois cette position acquise, il pourra y revenir et en sortir en restant maître de son confort, sans se retrouver « bloqué » dans une position imposée par des adultes.

En grandissant, l’enfant va tenter de se lever en s’accrochant aux meubles de la maison, pour être à la hauteur des membres de la famille, voir ce qu’il se passe, attraper de nouveaux objets. Il passera de meubles en meubles, en se lâchant de plus en plus jusqu’à tenir debout sans support et décider un jour de faire l’expérience de la marche, tout seul, sans qu’on ait eu besoin d’intervenir !

 

 

motricité libre, bébé se lâche pour marcher
Bébé se lâche pour marcher quand il s’en sens capable

 

 Ce qu’il faut éviter :

  • L’utilisation trop fréquente de matériel postural :
    • transat, qui maintient l’enfant dans une position semi-assise artificielle
    • Coussin cale bébé : idem pour la position assise
    • Youpala et trotteur : qui peuvent même être franchement néfastes pour l’acquisition de la marche, l’enfant se déplace en poussant sur ses orteils plutôt que sur ses talons, les roues empêchent la gestion du déséquilibre pourtant nécessaire au basculement d’un pied sur l’autre…
    • Petit aparté sur les porte-bébés non physiologiques où l’enfant est suspendu par son bassin, dans une position verticale artificielle demandant beaucoup trop d’effort à sa musculature, il va sans dire qu’ils sont à éviter ! (article sur le portage physiologique prévu pour début 2015).
  • L’aide trop fréquente des adultes pour mettre l’enfant dans une position qu’il ne maîtrise pas:
    • assis tant qu’il ne peut pas le faire de lui-même : l’enfant est « coincé » dans cette position, ce qui créé des tensions corporelles et entrave l’apprentissage de son schéma corporel (jambes et bassin sont bloqués, il ne peut utiliser que ses membres supérieures)
    • mettre bébé debout, même si celui-ci pousse sur ses jambes (en ostéo on retrouve dans ce cas des blocages à type de torsions dans les jambes)
    • l’aider à marcher en lui tenant les bras. Si l’enfant est vraiment en demande (le mien m’a fait le coup, il venait lui-même m’attraper les mains et se mettait à marcher), il faut se baisser un maximum pour que l’enfant n’ait pas à lever trop haut les mains. Astuce d’une psychomotricienne : placer un foulard devant l’enfant, le faire passer sous ses aisselles et le soutenir en tenant seulement les extrémités du foulard, de cette façon le mouvement de l’enfant se rapproche le plus possible de ce qu’il ferait tout seul.

 

 

Les bienfaits de la motricité libre :

Ils sont multiples :

  • une grande aisance corporelle, une fluidité dans les gestes
  • une grande confiance en lui, il se sent capable de faire par lui-même et d’essayer de nouvelles façons de faire
  • une plus grande prudence, une conscience de ses capacités ET de ses incapacités

D’un point de vue santé publique la motricité libre mérite aussi de l’intérêt :

  • elle diminue les risques de plagiocéphalie et utilisée en traitement, permet une régression des symptômes quand elle est pratiquée avant quatre mois. En effet, en respectant la construction motrice de l’enfant, celui-ci peut développer activement les muscles qui contrôlent la tête  et la ceinture scapulaire (haut du thorax, épaules, bras), de manière symétrique, évitant ainsi de reposer toujours sur le même côté du crâne. Les plagiocéphalies, en dehors d’un problème esthétique peuvent être responsables de retards moteurs, de scolioses et de problèmes ophtalmologiques.
  • elle diminue également les torticolis du nouveau-né (pour les mêmes raisons)
  • la motricité libre pourrait avoir une incidence sur la réduction des morts inattendues du nourrisson. En effet, une partie conséquente de ces  décès ont été recensés au moment du premier retournement de l’enfant dans son sommeil. Celui-ci n’ayant pas assez de force pour relever la tête, il y a un risque majeur d’étouffement. En étant régulièrement posé sur le ventre dans ses moments d’éveil, le bébé aura suffisamment de force dans ses muscles cervicaux pour relever la tête et la poser sur le côté.

 

Motricité libre et ostéopathie :

Le lien entre motricité libre et ostéopathie est interdépendant.
Un enfant qui est éduqué selon les principes de la motricité libre à la maison aura sûrement moins besoin de séances d’ostéopathie (et c’est tant mieux !).
Par contre si les conditions d’accouchement ont été particulières (forceps, spatules, expulsion très longue, césarienne…) ou si dans son apprentissage moteur les parents se rendent compte d’une dysmétrie ou d’une « mauvaise » posture persistante, une ou plusieurs séances d’ostéopathie peuvent être nécessaires pour aider le corps de l’enfant à continuer à se développer dans les meilleures conditions possibles.
Exemples : le bébé tourne sa tête surtout d’un seul côté, il ne se retourne que d’un côté également, il s’étire très souvent, il tête un sein calmement et semble inconfortable à l’autre, le mouvement des hanches est dissymétrique dans le quatre-pattes, à la marche un pied est en dedans, etc….

En retour, après une séance d’ostéopathie, les bienfaits du travail du thérapeute peuvent être décuplés si l’enfant évolue dans la motricité libre. Par exemple, si un bébé vient pour un torticolis mais qu’après la séance il passe la plupart de son temps d’éveil dans un transat ou un cosy, les tensions musculaires vont peu à peu se réinstaller et d’autres séances pourront apporter un soulagement temporaire. Par contre, si de retour à la maison ce bébé peut expérimenter de manière plus confortable le fait de tourner la tête à gauche et à droite, il va naturellement muscler symétriquement ses cervicales, et donc participer activement à l’amélioration de son état.

 

Pour en savoir plus : sources et liens intéressants

  • Le site de Michèle Forrestier, kinésithérapeute et auteure du livre : «De la naissance aux premiers pas» :  http://michele-forestier.fr/
  • Quelques blogs de parents qui ont expérimenté la motricité libre et nous livrent leurs conseils et expériences :

 

Déglutition atypique, la prise en charge de l'ostéopathe

Déglutition atypique, la prise en charge de l’ostéopathe | Thierry Payet

Le développement des mâchoires et le fonctionnement de la cavité buccale (mobilité de l’articulation temporo-mandibulaire et occlusion) dépendent de l’acquisition de la déglutition mature à l’âge de 2-3 ans et de la bonne position de la langue dans la bouche. Quel est le rôle de l’ostéopathe dans l’accompagnement des troubles de la déglutition chez l’enfant ou chez l’adulte ?

Acquisition de la déglutition mature à l’âge de 2-3 ans

Quand un nourrisson ou un jeune enfant déglutit, sa langue s’interpose entre ses dents en avant, ses dents ne se touchent pas et ses muscles des lèvres et des joues se contractent.
C’est la déglutition primaire / atypique / infantile.

Dès que l’alimentation de l’enfant se compose d’aliments plus durs ses incisives et canines fonctionnent et entrainent une modification de la déglutition et de la position de la langue.

Ainsi, l’enfant de plus de 6 ans et l’adulte, déglutissent les lèvres jointes, les dents en contact, la langue au palais et sans aucune contraction des lèvres et des joues.
C’est la déglutition secondaire / mature.

Position de la langue : toujours au palais !!

La langue doit toujours être positionnée au palais, la pointe en
arrière des incisives supérieures.

Cette position permet le bon développement transversal des maxillaires et la respiration par le nez.

Conséquences d’une déglutition atypique chez l’enfant de plus de 6 ans et l’adulte

Si la déglutition atypique perdure, elle entraine des
conséquences sur le développement de la cavité buccale :

  • les maxillaires ne se développent pas et la
    respiration se fait par la bouche
  • le développement de la bouche s’accompagne d’une
    malposition des dents et d’une béance antérieure (la langue continue à se
    positionner entre les 2 arcades dentaires lors de la déglutition)
  • la mastication est perturbée

Comment identifier une déglutition atypique ?

Il existe deux tests pour  identifier une mauvaise acquisition de la déglutition mature : en écartant les joues vers l’extérieur, ou en pinçant les lèvres.

Ces tests révèlent une déglutition atypique chez l’enfant ou
l’adulte testé si les muscles des lèvres et des joues se contractent lors de la
déglutition, ou si la déglutition est impossible.

Exercice pour stimuler
la déglutition secondaire mature :

La rééducation de la fonction de la langue doit être faite très tôt (dès l’âge de 3ans).
Elle facilite la bonne mise en place des dents, évite les malformations et permet d’obtenir rapidement une déglutition secondaire mature.

Musculature de la langue :

  • Inspecter le palais, les joues et les lèvres avec la langue
  • Pour les enfants : mettre la nourriture dans les joues et les lèvres pour qu’ils aillent la chercher
  • Mettre un morceau de pain au palais et essayer de le décolle
  • Claquements de la langue CLA / CLO (cheval au pas, puis au trop)

Apprentissage de la déglutition secondaire mature

  • Avaler la salive dents serrées avec un élastique entre le palais et la pointe de la langue

Stimulation de la mastication : voir article sur la mastication

Appareils pour stimuler la déglutition secondaire mature :

Il existe également des appareils
qui permettent de basculer sur une déglutition mature

  • Le Froggymouth préconisé à partir de 3 ans et 15 minutes/j : pour apprendre à l’enfant à déglutir sans se servir de ses lèvres.
  • L’enveloppe linguale nocturne (appareil d’orthodontie fonctionnelle) : pour éduquer la langue à rester au palais

L’arrêt du pouce et la tétine qui
favorisent la déglutition primaire est vivement conseillé dès l’âge de 3 ans.

La prise en charge d’une déglutition atypique par l’ostéopathe

L’ostéopathe prend en charge les troubles de déglutition en parallèle de l’orthodontie fonctionnelle, de l’orthophonie et de la kinésithérapie maxillo-faciale.

L'ostéopathe à Paris lors d'un traitement de trouble de la déglutition

Il accompagne le jeune enfant, l’adolescent en parallèle du traitement
orthodontique et l’adulte.

L’ostéopathe vérifie la mobilité globale du corps puis la
mobilité de la cavité buccale et de la langue afin de détecter les zones qui
peuvent empêcher le passage vers la déglutition mature.

Par des manipulations douces l’ostéopathe travaille sur l’articulation de la mâchoire, la mandibule, les maxillaires et les palatins… pour favoriser leur bon développement.
L’ostéopathe travaille aussi sur les zones qui jouent un rôle sur la mobilité de la mâchoire et de la langue comme les cervicales, l’axe crânio-sacré, la loge du cou et le diaphragme…

En cas de troubles de la déglutition le but de l’ostéopathe est d’améliorer la mobilité des zones en rapport avec la langue et la mâchoire, afin que le patient évolue vers une déglutition mature (déglutition les lèvres jointes, les dents en contact, la langue au palais, et sans contraction musculaire des lèvres et des joues).

Contacter l’ostéopathe en cas de trouble de déglutition :

N’hésitez pas à contacter votre ostéopathe à Paris au 07.69.03.41.41 pour prendre rdv ou pour tout renseignement sur les troubles de la déglutition.

lapin alice au pays des merveilles

Que faire (ou pas) après une séance d’ostéopathie – Caroline Zumbihl, Osteopathe Montpellier | Thierry Payet

 

 

Pourquoi ?

Dans la philosophie de l’ostéopathie il y a le concept d‘auto-guérison du corps. C’est à dire que l’ostéopathe, en levant des tensions et des restrictions de mobilité va permettre au corps du patient de se réajuster autour de ses changements afin de retrouver son état d’équilibre naturel.

Et ça peut prendre du temps, de quelques heures à quelques semaines selon l’ancienneté des traumatismes traités, ainsi que la profondeur des changements effectués.

On ne peut pas demander la même vitesse d’adaptation à son corps selon qu’on ait traité un torticolis débuté il y a trois jours, ou un lumbago chronique datant d’il y a dix ans. D’autres facteurs rentrent en compte, entre autre, l’âge du patient (un bébé s’adapte au traitement bien plus vite qu’un senior) ainsi que son hygiène de vie.

Pour aider son corps à tirer le meilleur de sa séance d’ostéopathie voici quelques conseils.

Avant et pendant la séance :

Même si le sujet de cet article traite de l’après-séance, il me semble important de vous parler de votre participation active à la séance.

Un ostéopathe n’est pas un garagiste ! On n’y laisse pas son corps en « révision » pendant qu’on pense à l’achat des cadeaux de Noël. Si vous agissez de cette façon, non seulement vous perdez une bonne partie de l’efficacité du traitement ostéopathique, mais vous perdez la chance de mieux comprendre le fonctionnement interne de votre corps et de vous détendre en profondeur.

Avant la séance :

La veille, buvez modérément (la gueule de bois est incompatible avec l’ostéopathie) et couchez vous suffisamment tôt pour avoir une bonne nuit de sommeil.

Pour être dans les meilleurs conditions possibles, il est important de ne pas être dans un état de stress en arrivant chez votre praticien. Prévoyez 10 à 15 min d’avance pour ne pas être angoissé d’être en retard au rendez-vous, installez-vous dans la salle d’attente et détendez-vous !

lapin alice au pays des merveilles
S’il arrive dans cet état à sa séance il ne sera pas suffisamment détendu 😉

Ne mangez pas juste avant de venir. Essayez d’avoir au minimum une heure de distance de votre dernier repas, si ce n’est pas possible, mangez léger.

Allez aux toilettes ! Ceux qui ont déjà vécu une séance la vessie pleine comprendrons 😉

 

Pendant la séance :

Détendez-vous !

Fermez les yeux, desserrez la mâchoire, portez votre attention sur votre respiration jusqu’à ce que vous vous sentiez calme et détendu.

Portez maintenant votre attention sur les sensations ressenties lorsque votre thérapeute pose ses mains sur vous. Elles peuvent être de tout type, chaleur, léger vertige, tiraillement, pression, relâchement, libération, gêne… Elles peuvent aussi apparaître sous forme d’émotions, de souvenirs ou d’images mentales, c’est le (bon) signe que des « mémoires tissulaires » se libèrent.

Si vous en avez envie et que vous arrivez à les formuler, vous pouvez transmettre vos ressentis à votre ostéo, vous pourrez alors participer activement à la séance et mieux comprendre les mécanismes qui se jouent. Vous pouvez aussi attendre la fin de la séance pour lui faire part de votre vécu.

C’est toujours intéressant pour un ostéopathe de prendre connaissance de ce qui se joue chez le patient pendant une séance, n’hésitez pas à nous raconter !

Enfin n’hésitez surtout pas à interpeller votre ostéo sur toute source d’inconfort :

  •  position inconfortable, le thérapeute vous aidera à trouver un compromis entre votre confort et la position nécessaire à son travail
  • manipulation douloureuse : elles ne doivent JAMAIS l’être, gênantes parfois mais pas douloureuses
  • froid : j’ai toujours un plaid à disposition des patients, quand on se relâche la température du corps diminue

C’est trop dommage de rester crispé toute une séance parce qu’on a les pieds gelés ou que le thérapeute vous tire les cheveux en vous traitant le crâne (c’est du vécu !).

 

Après la séance :

Après une séance votre corps va devoir accueillir et s’adapter aux modifications effectuées.

En libérant des tensions corporelles, la posture et  la proprioception (perception fine de son corps dans l’espace) doivent se réajuster à ce nouveau schéma corporel.

C’est pour ces raisons qu’on peut se sentir très fatigué après une séance, avoir des courbatures, voir apparaître une légère aggravation du symptôme avant son amélioration.

A très court terme :

Ouvrez les yeux, étirez-vous, relevez-vous doucement de la table de pratique, restez assis quelques instant, levez-vous doucement.

Si vous en sentez le besoin, prenez quelques minutes de plus pour vous reposer dans la salle d’attente.

Ne « jouez » pas avec votre corps. Combien d’entre nous ont la (mauvaise) manie de tester le résultat du traitement en tournant au maximum son cou pour un torticolis ou en faisant des ronds avec son pied pour une cheville douloureuse. Laissez votre corps tranquille ! Ce serait dommage de recréer un blocage en forçant sur une région encore fragile et « convalescente ».

 

Dans les jours qui suivent :

Hydratez-vous ! Boire beaucoup d’eau va permettre de libérer les toxines qui s’étaient accumulées dans les zones de tension.

bonne hygiene de vie, sommeil, alimentation, meditation
Voici un exemple de ce qui est conseillé autour d’une séance d’ostéopathie

Ne faites pas de repas trop lourd, ne buvez pas d’alcool, modérez votre consommation d’excitants (thé, café) et de cigarettes, au moins le premier jour, dans l’idéal les trois jours qui suivent la séance. Vous évitez ainsi à votre corps d’avoir à gérer trop de travail de digestion et d’élimination de toxines, laissant tout le champ possible à la recherche de son nouvel état d’équilibre.

Ne pratiquez pas de sport ni de travail physique trop éprouvant pendant 48 à 72h, pour les mêmes raisons que précédemment. On évite aussi bien l’entraînement de foot que le déménagement ou le grand ménage de printemps !

a-ne-pas-faire
Et voici l’exemple de ce qu’il faut mieux éviter après une séance !

 

Sur le long terme :

Si votre thérapeute vous a demandé de revenir faire une ou plusieurs séances, écoutez-le, même (et surtout !) si vous constatez une amélioration des symptômes. En n’allant pas au bout du travail ostéopathique vous risquez de voir réapparaître des douleurs ou des inconforts plus ou moins rapidement.

De même, l’ostéopathie ayant une vision globale de l’état de santé, vous serez sûrement amené à suivre quelques conseils ou à aller voir un spécialiste plus compétent dans son domaine.

Il peut s’agir :

  • d’exercices d’étirements à faire régulièrement
  • d’adaptation de postures dans la vie quotidienne (en voiture, devant l’ordinateur, en portant son enfant…)
  • de changements dans son alimentation
  • d’autres changements matériels, par exemple literie, chaussage, moyen de portage
  • de suggestion d’activité physique spécifique : yoga, pilates, tai-chi-chuan, natation, marche…
  • de suggestion d’un autre thérapeute pour vous accompagner dans un autre domaine de compétence, nutritionniste, homéopathe, kiné, psychologue, sophrologue, médecin chinois, etc…

Voilà vous savez tout du portrait robot du patient parfait ! Bien sûr si vous arrivez à tenir compte de toutes ces recommandations c’est l’idéal, mais ne soyez pas découragé, faites ce qu’il vous semble possible, profitez bien de votre séance  et reposez-vous, ce sera déjà très bien !

Ainsi un suivi en ostéopathie vous aide ponctuellement dans la prise en charge d’une demande spécifique, mais vous accompagne également dans votre démarche active de mieux être et de recherche d’un bon état de santé.

 

Crédits photo : www.pixabay.com

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Traiter une sciatique en ostéopathie | Thierry Payet

La sciatique est une névralgie courante, invalidante à cause de sa vive douleur. Elle est souvent associée à des lombalgies chroniques. Un bon suivi médical et un traitement ostéopathique peuvent être de bonnes solutions pour vous en soulager.

Qu’est-ce qu’une sciatique ?

La sciatique, ou sciatalgie, est une douleur ressentie sur le trajet du nerf signant son irritation. Cette douleur est vive, ressentie comme un courant électrique qui irradie dans la fesse, l’arrière de la cuisse et de la jambe et le bord latéro-inférieur du pied.

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Source image : Larousse.fr

Lorsque que vous faites appel à votre ostéopathe pour vous soulager de votre sciatique, la première étape de la consultation sera de comprendre la cause. Pour cela, il vous posera des questions précises et il effectuera des tests orthopédiques et médicaux.

Les principales causes d’irritation du nerf sciatique

  • Discopathie : Atteinte du disque intervertébral entre deux vertèbres.
  • Syndrome facettaire : au niveau de la colonne vertébrale, ce sont de petites articulations de part et d’autre de la sortie des racines nerveuses.
  • Syndrome du piriforme : Le piriforme est un muscle de la fesse de forme triangulaire. S’il est contracturé et inflammatoire, il peut venir appuyer sur le nerf sciatique et l’irriter.
  • Autres compressions sur le trajet du nerf

Dans la majorité des cas, la sciatique est associée à une douleur au niveau du bas du dos (lombalgie).

Comment traiter sa sciatique ?

Consulter son médecin traitant

Il est préférable de consulter son médecin traitant pour obtenir un diagnostic précis par imagerie.

Consulter son ostéopathe

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Une fois que la cause de la sciatique sera déterminée, l’ostéopathe effectuera un diagnostic ostéopathique complet, pour libérer les restrictions de mobilité et les tensions à l’origine de vos douleurs. Les manipulations respectent la règle « de non-douleur« , permettent un retour à l’équilibre entre les structures de votre corps, notamment au niveau du bassin et du rachis.

Ensuite, votre ostéopathe vous donnera des conseils que ce soit sur votre ergonomie ou votre hygiène de vie en général pour augmenter la rapidité de votre rémission.

Sciatiques : attention aux signes d’urgence

Dans des cas plus rares, la sciatique peut être un signe d’une pathologie sous-jacente plus grave : si elle est associée à une fièvre, à une perte de sensibilité (ou rétention) lors de la défécation et la miction ou une difficulté à se tenir debout, appelez directement les urgences.

Natacha Hulak Ostéopathe D.O.

 

 

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Bébé ne dort pas, comment l’ostéopathie peut-elle améliorer son sommeil? | Thierry Payet

 

Après l’accouchement, bébé est là avec son lot de joies, mais aussi de questions. Souvent, lorsqu’on devient parent, ses questions trouvent des réponses aussi diverses que l’entourage est grand. Alors aujourd’hui, nous nous intéresserons au sommeil de bébé, dans ses trois premières années. Le sommeil de l’enfant est souvent laborieux car inconnu, décoder les signes et les phases de sommeil peut être très utile aux parents. Nous verrons ce qui peut entraver la bonne qualité de sommeil de bébé et comment l’ostéopathie agit pour une bonne qualité (et quantité !) de sommeil chez l’enfant.

 

Les cycles de sommeil chez le nourrisson

 

À la naissance, le sommeil se structure progressivement. Le nouveau-né va suivre un rythme découpé sur des périodes de 45-50 minutes. Ce cycle de 50 minutes comprend une phase de sommeil agitée, ou bébé peut donner des signes d’éveil (yeux ouverts, mouvements, petits pleurs) puis une phase de sommeil calme.

Entre chaque cycle intervient à nouveau une phase moins stable ou bébé semble éveillé. On peut constater que le sommeil agité occupe 50 à 60 % du temps de sommeil. Le sommeil agité peut passer pour un éveil franc, et s’il y a intervention immédiate du parent, bébé se réveillera pour de bon.

Vers deux mois, les cycles se stabilisent : le sommeil agité devient du sommeil paradoxal, sommeil des rêves. Les cycles s’allongent, et durent environ une heure dix, 70 minutes. Les phases de sommeil paradoxal occupent environ un tiers du temps de sommeil.

Entre six et neuf mois, les cycles s’allongent encore pour arriver vers des cycles de 90 à 120 minutes.

L’architecture du sommeil se modélise donc dans la première année de vie de l’enfant, pour ne se stabiliser réellement que dans la troisième année !

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Bébé a un sommeil difficile ?

Il arrive que l’entrée dans le sommeil se fasse difficilement ; ainsi certains bébés présentent des signes d’inconfort, comme par exemple, une difficulté d’endormissement, le fait de se tortiller, de grimacer, de se réveiller avec des pleurs intenses, de régurgiter de manière importante et douloureuse, ils peuvent présenter un inconfort en position allongée sur le dos, et tout cela peut donc les gêner l’enfant dans leur sommeil…

Les réveils nocturnes s’ils sont très fréquents, après plusieurs mois, peuvent amener à un épuisement de toute la famille, fratrie, parents, et peuvent amener un cercle vicieux de troubles du sommeil… Plus bébé est fatigué, plus le système d’hyper vigilance s’active, créant un entretien des difficultés à s’endormir..

Ainsi, les causes de sommeil difficile sont nombreuses : tensions corporelles liées à l’accouchement ou à la position in-utéro, problèmes digestifs, poussées dentaires, causes liées au développement des acquisitions motrices comme la marche, changements dans la famille, peur, mais aussi absence d’informations des parents sur les cycles de sommeil du bébé, qui les conduisent à intervenir de manière trop précoce et donc à réveiller bébé pour de bon.

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L’ostéopathie comme solution aux troubles du sommeil

Par un échange abordant les conditions de la grossesse, de l’accouchement, les premiers temps de vie, le portage, l’alimentation, l’ostéopathe fait le point sur l’environnement, le rythme du bébé, et tout ce qui a pu ou peut mettre sous contrainte son organisme et constituer une difficulté à rentrer dans le sommeil.

Puis, le traitement ostéopathique, toujours dans la douceur et global, respectant la physiologie des tissus, va s’intéresser à différentes zones du corps du bébé :

  • Le crâne : mis sous fortes contraintes lors de l’accouchement, la mobilité des os du crâne peut être très fortement impactée par l’accouchement. Ainsi, la croissance du périmètre crânien, très importante les six premiers mois, va se modéliser et s’adapter aux contraintes subies. Le rôle des mains de l’ostéopathe est de dénouer ces contraintes et de guider la maquette osseuse vers une croissance physiologique.
  • Le bassin : directement en lien avec les tensions crâniennes via les vertèbres de la colonne vertébrale, celui-ci va également imprimer des tensions (contractions utérines qui viennent comprimer l’ensemble du corps de bébé, position en siège, accouchement, césarienne) qui vont conditionner la mobilité des organes.
  • Le diaphragme qui sépare thorax et abdomen va influer la mobilité de l’œsophage, de la petite poche de l’estomac, et va donc accentuer les phénomènes de troubles digestifs si sa mobilité est compromise.
  • La colonne vertébrale du bébé, qui subit durant l’accouchement d’importantes contraintes à type de compressions.
  • Enfin, l’émotionnel du bébé directement lié aux sensations corporelles, au vécu de l’accouchement des parents est indissociable et se retrouve également dans le traitement ostéopathique. Le bébé peut manifester cela par des pleurs lors du traitement, ce qui est normal, les tensions levées venant à s’exprimer.

 

Les conseils de votre ostéopathe pour améliorer le sommeil de bébé

  •  Favoriser une atmosphère calme et sombre dans la chambre avec une température autour de 20 degrés.
  •  Coucher bébé plus ou moins à la même heure et adopter à partir de deux ou trois mois un rituel de coucher (histoire, chanson) qui va l’aider à trouver ses repères.
  •  Adopter des rythmes réguliers pour donner à bébé des repères et l’aider à repérer le jour et la nuit.
  •  Ne pas se précipiter pour prendre bébé dès qu’il manifeste des signes d’éveil car il peut s’agir d’un inter-cycle et le prendre d’emblée pourra le réveiller pour de bon. Attendre une à deux minutes avant de vor s’il s’agit d’un réel réveil.
  • Lorsque bébé se frotte les yeux, baille, commencer le rituel de coucher et ne loupez pas ces signes de fatigue.
  • Tous les moments de tendresse et d’apaisement entre bébé et ses parents sont des aides à un endormissement serein, rechargez la jauge de tendresse favorise le sentiment de sécurité et le relâchement nécessaire au sommeil.

 

 

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Article rédigé par Léna Florette – Ostéopathe DO à Lyon 

Facet lock — Full Circle Osteopathy

Facet lock — Full Circle Osteopathy | Thierry Payet

If you move to the low back region of the spinal column, the facet joints are orientated in a slightly different way, allowing plenty of flexion and extension, but minimal rotation. This allows us to bend our bodies forwards and backwards easily. 

What is a facet lock? 

This condition is pretty self-explanatory from its name. A facet lock is a facet joint that is ‘locked’ or severely restricted in movement. This type of joint is what we call a synovial joint. This means it’s a joint that is held together by a joint capsule and is filled with a lubricating fluid, known as synovial fluid. A facet joint tends to lock when it has been overloaded with excessive forces acting upon it. This tends to occur over time and results in a ‘straw that breaks the camel’s back’ moment. It can also happen following a quick jerking movement of the neck, where a sudden large force is placed upon the joints and it is too much for them to bear. The tissue around the joints, including the overlying muscles which drive the movement stiffen and may go into spasm, and you are left with a neck that is extremely painful to move.

More often than not, we are moving poorly above and/or below the joint, leaving it struggling to hold everything together and keep movement going. The body is good at compensating for poor movement up to a point, and then failure is inevitable, unless we intervene.

 

Signs and symptoms 

The signs and symptoms of a facet lock in the neck include:

  • Neck pain

  • Restricted neck movement

  • Restricted mid-back and shoulder movement

  • Headache (this is more likely if neck movement is not restored following injury)

  • Inability to perform daily tasks such as checking your blind spot whilst driving (we strongly suggest if you cannot turn your neck, to NOT get behind the wheel of a vehicle) and looking/reaching up to a kitchen cupboard

After the initial onset of pain, you will progressively lose movement in your neck over the next few hours. The following few days will be painful while your body deals with the acute inflammation occurring in and around the joint. Slowly but surely, you will begin to notice movement becoming easier and pain reducing.

 

We recommend coming to see us sooner rather than later. When inflammation is fresh and everything is really restricted, it is sometimes difficult to reach a 100% accurate diagnosis on the first session. But after careful questioning and consideration of your medical history, the majority of the time we can come to a solid working diagnosis. If we cannot, and we feel something else is going on, we may refer you on for a second opinion, or for imaging. Nine times out of ten, with a simple facet lock there aren’t any serious signs and symptoms which will make us question our course of action… it usually just bloomin’ hurts and is difficult to move your head. In those cases, we can get to work immediately.

Treatment

A locked, compressed and inflamed facet joint usually responds pretty well to some gentle traction of the neck. Traction techniques gently separate the joint surfaces, allowing for movement of fluid and for everything to calm down nicely. If you are super locked up and restricted, traction and very gentle neck mobilisations may be all we’re able to do in the early stages. We’ll cast an eye over the areas above and below the injury site to see what’s going on there, and treat those accordingly. Restoring movement in a non-painful area away from the injury site is commonly what’s needed to help calm everything down quick-smart. All being well, when you get up off the table after your first treatment, your pain will have reduced and your movement will have improved. Over the next few sessions, we will capitalise on this and aim to restore full function to your neck within 8-10 sessions, across a period of 8-12 weeks. These time periods are rough estimates and always depend on whether you do your homework with exercise, living well and avoiding potentially aggravating activities for a short time.

Injuries like these are usually the result of many years of poor movement. We encourage you to look long-term with your treatment goals. Injuries that take years to build up will not be undone in a few weeks. Yes, we will get your pain down and your movement up, but to get truly strong and mobile takes months to fully achieve. Our aim will be to get you to that point where the injury is not likely to return once treatment stops and you return to normal daily living.

 

Neck pain? Call us today on 0452 249 379 to book an appointment.

Vlog: Back Pain and how osteopathic treatment can help.

Vlog: Back Pain and how osteopathic treatment can help. | Thierry Payet

Osteopathic treatment is a great option for Back Pain.

Research shows that osteopaths are highly qualified to diagnose, treat and manage back pain. Cranial osteopathy is a great option and can be very effective at reducing or alleviating the symptoms of back pain.

There are many causes of back pain. Commonly it is due to inflamed joints or muscles in the spine or pelvis which. This may have resulted from an injury or functional adaption over time from repetitive sprains or strains to the spine, pelvis or hips.

Back pain can also be due to arthritis or disc injury in the spine which can cause swelling around the nerves which can cause back pain, leg pain (which can be a cause of sciatica), or numbness and tingling in the leg.

Osteopathic treatment for lower back pain

Research shows that osteopathic treatment for lower back pain is effective. All of our osteopaths have many, many years of clinic experience in treating and managing lower back pain.

We all use a very gentle technique which is very well tolerated by patients in strong pain. Whether it is acute, severe pain or a chronic long term issue, patients are taken to a balance point to help avoid exacerbating the pain. There is very little movement needed from the person who is experiencing the lower back pain and they are very comfortable during treatment.

Apart from treating the spine the osteopath will also treat the other areas of your body that are causing compensatory problems for the spine.

If you have further questions about growing pains please contact our clinic and talk to one of our osteopaths.

Scott Baxter is available Tuesday, Wednesday, and Friday

. 8am-5pm.

For more information on what else osteopaths can treat click HERE

And if you’d like to know more about me, check out my practitioner profile page – Scott Baxter