Bande de kinésiologie ?  ...... Est-ce que ça marche?  Est-ce uniquement pour le sport ?

Bande de kinésiologie ? …… Est-ce que ça marche? Est-ce uniquement pour le sport ? | Thierry Payet

En tant qu’ostéopathe, je vois un large éventail de personnes, du Jo de tous les jours aux athlètes d’élite. L’ostéopathie consiste à traiter la personne et pas nécessairement une blessure, aidant ainsi la personne à être plus performante dans les tâches quotidiennes et à se protéger contre les blessures. Pour aider à la préparation et à la réadaptation de mes patients, j’utilise une large gamme d’outils et de techniques. L’un de ces outils est le ruban de kinésiologie, c’est le ruban de couleur vive que vous pouvez voir les sportifs et les sportives utiliser en compétition. Mais, la bande de kinésiologie a bien plus d’utilités que d’aider simplement les sportifs.

Qu’est-ce que la bande de kinésiologie ?

Le ruban de kinésiologie ou K-tape est une fine bande de coton élastique extensible avec un adhésif acrylique. La bande de kinésiologie thérapeutique peut être appliquée à n’importe qui car elle est utilisée pour aider les personnes souffrant de diverses blessures musculo-squelettiques et sportives et peut être utilisée pour réduire l’inflammation. La bande de kinésiologie est conçue pour ne pas restreindre ou restreindre vos mouvements.

Pendant la première décennie après son introduction, les praticiens au Japon ont été les principaux utilisateurs de la bande de kinésiologie thérapeutique. En 1988, la bande avait été adoptée par les athlètes olympiques et professionnels japonais avant de se répandre dans le monde entier.

Vous remarquerez peut-être que de plus en plus d’athlètes professionnels utilisent des bandes de kinésiologie pour améliorer leurs performances sportives, prévenir les blessures et leur permettre de reprendre le sport plus rapidement. La plupart des publications sur la bande de kinésiologie utilisent des athlètes professionnels comme exemple, mais un collègue ostéopathe sportif (Matt Wallden) décrit tout le monde comme un athlète car nous bougeons tous et avons tous la capacité d’augmenter notre fréquence cardiaque. Par conséquent, nous sommes des athlètes, la seule différence entre les Jo de tous les jours et les athlètes d’élite est le niveau de forme physique.

Avantages de la bande de kinésiologie

La bande de kinésiologie a une gamme complète d’avantages thérapeutiques. La bande de kinésiologie peut généralement être laissée en place pendant plusieurs jours jusqu’à une semaine, donc ces avantages thérapeutiques sont disponibles pour la zone blessée 24 heures sur 24, ce qui accélère considérablement le processus de guérison des blessures traumatiques et des conditions inflammatoires.

La kinésiologie a été étudiée pour avoir les avantages suivants :

1. Soulagement de la douleur (via un soutien structurel pour les parties du corps faibles ou blessées)

La bande de kinésiologie est une bande élastique flexible qui bouge avec votre corps. Cela fournit un soutien aux parties de votre corps sans que la bande ne glisse ou ne restreigne vos mouvements. En soutenant votre partie du corps, la bande de kinésiologie est en mesure de vous fournir un soulagement de la douleur et un soutien musculaire pour aider à contrôler les parties du corps affectées par l’inhibition musculaire.

2.Soutien musculaire

Votre force musculaire peut être assistée par une bande de kinésiologie via une assistance physique et une rétroaction tactile à travers la peau, par exemple une stimulation de la proprioception. Ce phénomène peut aider à la fois les athlètes valides à améliorer leurs performances et les hypertoniques, par exemple les enfants à faible tonus musculaire.

3. Réduction du gonflement

La kinésiologie procure un lifting passif à votre peau grâce à ses propriétés élastiques. Cet effet de vide permet à vos systèmes de drainage lymphatique et veineux de drainer les tissus gonflés ou meurtris plus rapidement que sans la bande de kinésiologie.

On pense également que ce même principe peut aider à éliminer les sous-produits de l’exercice comme l’acide lactique qui peuvent contribuer à la douleur post-exercice, par exemple la douleur musculaire à apparition retardée (DOMS).

Les conditions ou problèmes que la bande de kinésiologie peut aider sont :

Si vous pensez que vous pourriez bénéficier de la kinésiologie, les ostéopathes, les physiothérapeutes et les thérapeutes du sport formés au taping peuvent vous aider. Chez Health First Osteopathy, nous proposons des bandes de kinésiologie dans nos traitements. Pour faire une réservation, veuillez appeler le 07732059388 ou réserver en ligne pour une consultation aujourd’hui.

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TSA, autisme, TED

Trouble de l’autisme chez l’enfant, facteurs de risque et diagnostic | Thierry Payet

“L’autisme est un trouble du neurodéveloppementd’origine multifactorielle avec une composante génétique.” [1]

Ce trouble neurologique touche actuellement, en France, près de 700 000 personnes dont 100 000 enfants.

Comment diagnostiquer un trouble du spectre de l’autisme (TSA) ? Quels sont les traitements possibles ?

Médicalib vous en dit plus à ce sujet.

Cet article, destiné au grand public, s’appuie sur les données scientifiques disponibles sur le sujet traité, à sa date de mise à jour.
Il n’a pas vocation à se substituer aux recommandations et préconisations de votre médecin.


JE – autisme : de quoi parle-t-on ?

Si hier on parlait d’autisme, du syndrome d’Asperger, ou de troubles envahissants du développement (TED) aujourd’hui le terme privilégié est celui de trouble du spectre de l’autisme (TSA). Cette nouvelle formulation fait référence à la multiplicité et à la diversité des symptômes qui impactent plus ou moins la bonne réalisation des activités de la vie quotidienne.

Les troubles du spectre de l’autisme (TSA) relèvent des troubles du neurodéveloppement (TND). Généralement observables dès le plus jeune âge,  ils sont “4 fois plus courants chez les garçons que chez les filles et surviennent chez environ 1 personne sur 59.” [2] :

Le DSM-5, manuel de référence proposant une classification des troubles mentaux, répertorie l’autisme au sein de deux catégories de comportements atypiques à savoir :

  • l’altération de la communication et des interactions sociales
  • les aspects restreints et répétitifs des comportements : intérêts limités.
Bon à savoir “Certains enfants et adultes autistes sont pleinement capables d’effectuer toutes les activités de la vie quotidienne tandis que d’autres ont besoin d’un soutien substantiel pour effectuer les activités de base.”[3]

II- autisme : facteurs de risque


Les causes spécifiques des troubles du spectre autistique n’ont à ce jour pas été identifiées de manière précise mais sont souvent liées à des facteurs génétiques.

On recense cependant les facteurs de risques suivants :

FACTEURS GÉNÉTIQUES

“Certains marqueurs génétiques augmentent le risque d’un enfant de développer un trouble du spectre de l’autisme.” [4]

Ainsi, des anomalies génétiques comme le syndrome de l’X fragile, la sclérose tubéreuse de Bourneville et le syndrome de Down, peuvent être associées au TSA.

Par ailleurs, “pour les parents d’un enfant atteint de TSA, les risques d’avoir un autre enfant atteint de TSA sont 50 à 100 fois plus importants.” [5]

FACTEURS ENVIRONNEMENTAUX

Certains facteurs environnementaux et polluants peuvent favoriser le risque d’apparition de l’autisme chez les enfants génétiquement prédisposées.

Par ailleurs, certaines infections virales (rubéole, cytomégalovirus) ou l’exposition à certaines molécules, ou in utero et pendant les premiers moments de la vie, pourraient influencer le développement du cerveau.

PISTE NEUROBIOLOGIQUE

“L’autisme serait dû à une surabondance de synapses dans le cerveau causé par un ralentissement d’un processus normal d’élimination au cours du développement”. […] Cet excédent pourrait avoir des effets profonds sur les fonctions du cerveau.” [6]

Bon à savoir “Les dernières recherches suggèrent que le trouble du spectre de l’autisme – TSA se développe à partir d’une combinaison de facteurs génétiques et non génétiques ou environnementaux.” [7]


III- autisme : symptômes

Les symptômes du trouble du spectre de l’autisme apparaissent petit à petit, le plus souvent, avant ou au moment de la scolarisation de l’enfant.

Parmi les principales manifestations des troubles du spectre de l’autisme, on recense :

1 – Relations sociales et communication

TROUBLES DU LANGAGE ET DE LA COMMUNICATION

  • difficulté d’expression : absence ou inadaptation du langage oral
  • communication non verbale perturbée :  difficultés pour pointer du doigt ou avoir recours à des réactions adaptées à certaines situations (sourire, regarder, imiter, utiliser et comprendre la gestuelle sociale, etc.)
  • troubles de la compréhension verbale ou gestuelle (expressions du visage, langage corporel)

DIFFICULTÉS RELATIONNELLES

  • difficultés à établir un contact et à construire des relations avec les autres. (difficulté à regarder dans les yeux, …)
  • difficulté à interagir, à partager des sentiments et à jouer avec des camarades. Incompréhension et passivité face aux sollicitations et aux émotions de l’entourage. Cette situation crée donc souvent un isolement et engendre des difficultés de socialisation.
  • troubles de la compréhension verbale ou gestuelle (expressions du visage, langage corporel)

2 – Comportement et intérêts

COMPORTEMENT ET GESTES RÉPÉTITIFS

  • forte tendance à la répétition dans les gestes et la parole : mouvements répétitifs, aussi appelés stéréotypies (tourner sur soi-même, battre des mains, se balancer,…) ou écholalies .
  • besoin de routines et résistance au changement : mise en place de rituels rassurants(alignement de jouets, classement par couleur, toujours prendre le même chemin, …). Le moindre changement peut devenir une vraie source d’angoisse et de confusion
  • réactions fortes et inattendues aux sons, à la luminosité, aux goûts, aux textures et aux odeurs (atypies sensorielles).
  • intérêts spécifiques : présence d’une certaine rigidité comportementale, focalisation intense sur un sujet (passion pour une chose ou un sujet particulier), intérêts atypiques (lumière, objets tournants…)
Bon à savoir Chaque personne autiste est unique et sa manière de réagir différente. Les manifestations varient donc considérablement d’un individu à l’autre dans leur forme et leur gravité.


IV- autisme : diagnostic

Le diagnostic repose essentiellement sur l’observation des parents, de l’entourage proche, des professionnels médicaux et paramédicaux, ainsi que sur des tests de dépistage normalisés spécifiques à l’autisme.

EXAMEN CLINIQUE ET INTERROGATOIRE *observation de l’enfant dans un contexte de jeu
*évaluation du dialogue et des interactions avec des personnes de son entourage
EXAMENS BIOLOGIQUES *analyses sanguines
*analyses génétiques
recherche de troubles médicaux sous-jacents ou héréditaires
Bon à savoir “Il n’est pas nécessaire d’observer tous les signes pour établir un diagnostic de trouble du spectre autistique, mais les enfants doivent présenter à la fois des difficultés de communication et d’interaction sociales ET des schémas comportementaux, centres d’intérêt et/ou activités répétitifs et limités . La gravité des signes peut être variable, mais ceux-ci doivent affecter les fonctions de l’enfant.” [8] .


V- autisme : traitement

“L’autisme n’est pas une maladie, mais une condition neurodéveloppementale ce qui veut dire qu’on ne peut le guérir.” [9]

Cependant une prise en charge pluridisciplinaire, individualisée et précoce, permet d’améliorer et d’adapter les capacités d’interaction avec le monde extérieur.

Différentes prises en charge sont possibles, à savoir :

1 – Accompagnement personnalisé

Accompagnement de la personne présentant un TSA et de sa famille par des intervenants multidisciplinaires : médecin, orthophoniste, psychomotricien, psychologue, infirmier, enseignant, aidants, éducateur…)

2 – Application d’une méthode cognitive et comportementale & mise en place d’outils pour favoriser l’autonomie

ABA ou « analyse du comportement appliquée »

Apprentissage au sein d’un cadre structuré. Technique dont le but est de favoriser la gestion des comportements perturbateurs afin de permettre à la personne atteinte d’un TSA de pouvoir s’adapter et mieux s’intégrer. Cette méthode favorise l’indépendance, l’autonomie, et la liberté d’action.

TEACCH ou « éducation structurée »

Programme basé sur la communication. Cette méthode permet de structurer et d’adapter l’environnement physique et social de la personne présentant un TSA. L’entourage s’adapte à l’enfant et à ses difficultés en s’appuyant sur ses forces.

PECS, un « programme d’éducation par l’image »

Communication facilitée grâce à l’utilisation de pictogrammes, adaptés au niveau de compréhension de la personne atteinte de TSA. Ce programme est utilisable à l’école comme à la maison et complète souvent les méthodes TEACCH et ABA.

3 – Prescription de traitements médicamenteux

La prescription de traitements médicamenteux est uniquement préconisée dans le cas de complications associées (épilepsie, anxiété, troubles du sommeil…)

Bon à savoir “Le Gouvernement lance une cohorte nationale pour améliorer la recherche sur la survenue des troubles du spectre de l’autisme et du neurodéveloppement (TSA-TND). Baptisée MARIANNE, celle-ci s’inscrit dans le cadre du Programme Investissements d’Avenir.” [10] . Pour en savoir plus, cliquez-ici

Sachez que vous pouvez prendre rendez-vous en ligne avec une infirmière libérale disponible pour pour vos soins à domicile. Pour cela, n’hésitez pas à nous contacter via notre plateforme. Nous vous mettrons en relation avec un professionnel de santé à proximité de votre domicile en moins d’une heure !


Sources :

  • [1] Comprendre l’autisme – Ameli – MAJ 22 novembre 2021
  • [2] Troubles du spectre autistique Manuel MSD – Mai 2020
  • [3] Qu’est-ce que le trouble du spectre de l’autisme (TSA)? – spectredelautisme.com
  • [4] Qu’est-ce que le trouble du spectre de l’autisme (TSA)? – spectredelautisme.com
  • [5] Troubles du spectre autistique Manuel MSD – Mai 2020
  • [6] Qu’est-ce que le trouble du spectre de l’autisme (TSA)? – spectredelautisme.com
  • [7] Qu’est-ce que le trouble du spectre de l’autisme (TSA)? – spectredelautisme.com
  • [8] Troubles du spectre autistique – Manuel MSD – mai 2020
  • [9] Qu’est-ce que le trouble du spectre de l’autisme (TSA)? – spectredelautisme.com
  • [10] Recherche sur l’autisme : Lancement de la cohorte nationale MARIANNE – Handirect – 18 mars 2022
Douleur au genou... Qu'est-ce que c'est ?  Que puis-je faire?

Douleur au genou… Qu’est-ce que c’est ? Que puis-je faire? | Thierry Payet

L’une des articulations les plus courantes que je traite en tant qu’ostéopathe est le genou, comme vous pouvez l’imaginer, le genou prend un bon coup dans la vie de tous les jours, que vous soyez un coureur, un haltérophile ou quelqu’un qui est assis à un bureau toute la journée. Nos genoux subissent une gamme de forces variables, donc je suis sûr que vous ou un membre de votre famille avez déclaré que leurs genoux étaient douloureux ou blessés à la fin de la journée.

Le genou est l’une des structures les plus grandes et les plus compliquées de notre corps en raison de la nature variable des structures qui composent le genou. Les genoux peuvent donc être endommagés par une blessure aiguë ou l’usure des heures supplémentaires, c’est l’usure que les thérapeutes manuels tels que les ostéopathes peuvent aider, soit par le travail pratique, soit par des conseils de rééducation.

Qu’est-ce que la douleur au genou ?

La douleur au genou peut être une douleur référée ou liée à l’articulation du genou elle-même. Il s’agira généralement d’une inflammation et d’un gonflement des tissus autour ou dans l’articulation du genou. La douleur peut être à l’avant, à l’arrière, sur les côtés, sous le genou ou la rotule elle-même.

Le genou est une articulation à charnière, ce qui signifie que son mouvement principal est de plier et de redresser la jambe, en raison de sa structure, une torsion est également possible au niveau de l’articulation. En raison de la complexité des genoux, une fois que l’articulation du genou est devenue symptomatique, vous pouvez constater que même les choses les plus simples comme marcher et s’asseoir deviennent douloureuses et que votre routine quotidienne devient un combat.

Structure de l’articulation du genou

L’articulation du genou se compose de deux parties : l’articulation tibio-fémorale (os de la cuisse et du tibia) et l’articulation fémoro-patellaire (rotule).

L’articulation est maintenue ensemble et stabilisée par 4 ligaments principaux appelés ligament croisé antérieur, ligament croisé postérieur, ligament collatéral médial et ligament collatéral latéral.

Vous avez ensuite les muscles qui déplacent l’articulation – principalement les quadriceps et les ischio-jambiers à l’avant et à l’arrière.

Il y a 6 sacs fluides qui peuvent être trouvés entre les muscles, les os et les ligaments. Ces sacs fluides sont connus sous le nom de bourses qui agissent comme des tampons absorbant les chocs. Ces bourses sont connues sous le nom de; la bourse poplétale (semi-mébranose), la bourse supra-rotulienne, la bourse infra-rotulienne, la bourse sous-cutanée prépatella, la bourse profonde infra-rotulienne et la bourse pes-anserine (sous-sartorielle).

Les muscles sont attachés aux os par des tendons, par exemple le tendon rotulien qui attache le muscle quadriceps à l’avant du tibia via la rotule.

Les extrémités des os sont tapissées de cartilage articulaire et entre l’articulation, il y a 2 morceaux de cartilage supplémentaires appelés ménisques.

Enfin, il y a la capsule articulaire qui est comme un sac qui entoure l’articulation et contient du liquide synovial qui nourrit et lubrifie le genou.

Symptômes de la douleur au genou

L’emplacement et la gravité de la douleur peuvent varier et dépendront de la cause du problème. Vous pouvez rencontrer un ou une combinaison des éléments suivants :

  • Gonflement et raideur

  • Rougeurs et chaleur au toucher

  • Faiblesse ou instabilité

  • Bruits de claquement ou de claquement/craquement

  • Incapacité à redresser le genou

  • Douleur en s’agenouillant ou en descendant les escaliers

  • Verrouillage – là où le genou se coince

  • Douleur en position assise prolongée

  • Douleur de courir

Vous devez appeler votre médecin généraliste ou consulter un médecin si vous ne pouvez pas supporter de poids sur votre jambe, si vous constatez une déformation évidente de votre jambe ou de votre genou, ou si vous avez de la fièvre en plus de rougeurs, de douleurs et d’enflures au genou.

Causes de la douleur au genou

En raison de la complexité du genou et du nombre de structures qui le composent, cela signifie que n’importe quel nombre de structures peut causer de la douleur. Quelques-unes des causes les plus courantes de genou sont :

  • Tendinite

  • Bursite

  • Fatigue musculaire

  • Déchirure du ménisque

  • Entorse ligamentaire

  • Synovite

  • Syndrome de la bande iliotibiale

  • Polyarthrite rhumatoïde

  • Arthrose

  • Traumatisme

  • Problèmes de cheville ou de hanche

Il est courant que les adolescents et les enfants en pleine croissance ressentent des douleurs articulaires en raison de la croissance de leurs os et de leurs muscles. C’est un endroit où les muscles et les tendons s’étirent et tirent sur leurs attaches osseuses. Une activité excessive, avec peu d’étirements et d’échauffement, est la cause de la plupart des douleurs au genou, en particulier chez les jeunes adultes. Cela peut entraîner une usure précoce connue sous le nom de « dégénérescence » ou « arthrite ».

Comment l’ostéopathie peut-elle vous aider ?

Comme vous l’avez lu l’articulation du genou est très complexe et est constituée d’une multitude de muscles, de ligaments et de tendons ainsi que de la bourse, du ménisque et des os. Les ostéopathes sont formés sur une période de 4 ans, avec une connaissance avancée de l’anatomie et de la physiologie du corps, et apprennent une variété de techniques de traitement visant à améliorer la fonction articulaire et la mécanique musculaire.

Chez Health First Osteopathy, nous examinerons vos symptômes et vos antécédents médicaux et procéderons à un examen physique de votre corps – dos, bassin, genou, cheville et pieds. Nous utiliserons ensuite une combinaison de techniques pratiques pour améliorer la mobilité articulaire, étirer les muscles, diminuer l’inflammation, faciliter la guérison et rééquilibrer la mécanique de votre corps. Nous pouvons également vous proposer des exercices « faciles » mais « efficaces » pour aider à renforcer le genou afin de faciliter votre récupération. Je suis également formé au taping kinésiologique qui présente de nombreux avantages, qu’il soit utilisé pour aider à stabiliser, à renforcer la force ou à fournir un stimulus proprioceptif pour aider à la récupération.

Nous sommes entièrement formés pour reconnaître si votre état nécessite une intervention médicale, ou si d’autres investigations sont nécessaires telles qu’une IRM et dans de tels cas, nous vous référerons à votre médecin généraliste. Vous pouvez également consulter votre médecin généraliste si vous avez besoin de médicaments contre la douleur ou les anti-inflammatoires.

Il est difficile de dire combien de traitements vous aurez besoin et combien de temps il vous faudra pour récupérer jusqu’à ce que nous vous ayons réellement examiné. Cela dit, s’il s’agit d’une blessure mineure chez un jeune, cela se résoudra généralement en quelques semaines, alors que s’il s’agit d’une personne plus âgée avec des changements dégénératifs, vous pouvez envisager d’avoir des traitements d’entretien réguliers pour vous permettre de rester en mouvement et sans douleur.

Que pouvez-vous faire maintenant?

Si vous lisez ce blog ou avez visité ce site Web parce que vous avez mal au genou, ne souffrez pas en silence. Vous pouvez soit nous poser des questions sur votre problème de genou via la section contact du site Web, soit nous appeler au 07732059388.

Lors de l’évaluation, nous vous demanderons quelques détails et établirons votre historique de cas. Nous discuterons de la raison pour laquelle vous êtes venu nous voir et de vos douleurs. Ensuite, nous vous examinerons dans le but de vous donner le traitement approprié pour votre douleur au genou.

Cela prendra un peu de temps, mais c’est une partie nécessaire des directives éthiques que nous suivons. Les directives sont là pour s’assurer que tout est fait de manière professionnelle et selon des normes élevées de soins aux patients. Je suis sûr que vous conviendrez que c’est une bonne chose !

Si vous avez des questions sur ce que nous faisons et comment nous le faisons, appelez-nous et nous serons heureux de vous aider.

Inflammation du tendon d'achille et maladie de Haglund chez le coureur

Inflammation du tendon d’achille et maladie de Haglund chez le coureur | Thierry Payet

Maladie de Haglund ? « Désolé, j’ai fait espagnol LV2 au lycée, pouvez-vous m’expliquer de quoi elle relève ? » Bien sûr, c’est un pur hasard, mais c’est ce qui était prévu dans cet article…

Qu’est ce qu’est la maladie de Haglund chez le coureur

Il faut savoir que la maladie de Haglund ou syndrome de Haglund, du nom du médecin qui l’a décrit pour la première fois en 1928, ne touche pas uniquement le coureur ; même si chez ce dernier, la fréquence d’apparition est supérieure. Elle est caractérisée par des douleurs plus ou moins aigues à l’arrière du talon (talalgie postérieur), aggravées à la marche ou à la course. Celle-ci résulte d’un conflit entre le tendon d’Achille et la partie supérieure de la tubérosité postérieure du calcanéum, la partie osseuse qui donne sa forme au talon.

« Si ceci créer une inflammation, pourquoi nos calcanéums ont-ils pris cette forme alors ? » Vos réflexions sont totalement justifiées. Dans un monde sans dysfonctionnement, et d’un point de vue biomécanique, cette partie supérieure du calcanéum formant un angle, est très utile. Elle va nous servir de bras de levier pour les muscles du mollet au moment de la flexion plantaire (donc de la poussée à la marche ou à la course), et ainsi améliorer son efficacité. C’est donc une zone à risque, avec beaucoup de frottements.

« Mais un tissu qui frotte sur une pointe, va forcément s’irriter, voir se déchirer non ? ». C’est exact Nelson, et c’est là que l’on voit que le corps humain est une œuvre d’art, car sont prévues deux bourses séreuses (antérieure et postérieure) pour limiter les frottements et protéger d’une usure précoce.

Malheureusement, comme dans toutes mécaniques, il arrive que parfois, un grain de sable s’y glisse…Dans notre cas, une inflammation de la bourse sous le tendon pourra se mettre en place (bursite rétro calcanéenne), laissant place à notre fameuse : maladie de Haglund.

A noter que lorsque vous avez mal au niveau du tendon, il ne s’agit pas forcément de la maladie de Haglund; ils existent d’autres diagnostiques différentiels, comme la tendinite tout simplement.

Quelles en sont les causes, les symptômes et conséquences

Alors qu’est ce qu’il va provoquer cette inflammation ? Tout d’abord, une des raisons principales reste la morphologie du calcanéum (jusque là on y peut rien, mais selon sa forme plus ou moins proéminente et son angulation, les frottements seront accentués). Nous avons ensuite des causes secondaires, telles que :

  • le port de chaussures serrées et/ou avec le talon rigide (provoque appui et frottement du tendon sur l’os).
  • Le surentrainement chez un athlète
  • La prise de poids
  • L’affaissement de la voute plantaire, provoquant une verticalisation du calcanéum

Ce syndrome, entretenu par la marche, a plusieurs symptômes. On pourra retrouver tous les signes de l’inflammation (peau violacée, chaude, gonflement, tuméfaction), ainsi que l’apparition d’une bosse au niveau du talon (proéminence osseuse accentuée).

Les conséquences de cette inflammation : une douleur handicapante dès la début, avec un entretien et développement de l’inflammation à la marche. Si aucun traitement n’est mis en place et que cette dernière s’accentue, la douleur pourra devenir permanente, avec apparition de réveil nocturne, impossibilité de mettre des chaussures fermées, etc.

Comment l’ostéopathie peut soulager

Même si, comme à chaque fois, le traitement préventif reste le plus efficace, il arrive que parfois, le début de l’inflammation passe à la trappe.

Dans ce cas là, l’ostéopathie pourra venir en complément des traitements de base de l’inflammation, pour favoriser la guérison et diminuer le risque de récidive.

Tout d’abord pour le côté inflammatoire, 5 étapes sont à respecter (moyen mémo PRICE):

  • protection
  • Dépôts
  • Ice (glaçage régulier)
  • Compression
  • Elévation

L’objectif de l’ostéopathie sera de détendre et de redonner de la mobilité aux différentes structures du pied, de la jambe, du genou et du bassin, afin de rééquilibrer le calcanéum et son entourage anatomique, pour réduire, voire supprimer les déséquilibres se traduisant par des zones de conflit et d’inflammation. Il procédera par des techniques fasciales efficaces par la suite.

Si malgré tout cela, l’inflammation est trop étendue et trop développée, le recours chirurgical aura le dernier mot. Voici le lien d’une vidéo sur le type d’intervention chirurgicale qui sera proposée (image en bloc opératoire, âme sensible s’abstenir).

Dernier conseil que nous pouvons vous donner : dans certains cas, il peut être utile de changer tout simplement vos chaussures, et/ou de s’étirer d’avantage. On ne le répète jamais assez, mais chaque muscle, chaque tendon de notre corps est assimilé à un sportif pro. Si vous ne les entrainez pas correctement, les blessures apparaitront.

Article rédigé par Pierre-Louis Billant – Ostéopathe D.O. – Cycl’ostéo Nice

écrans enfants

des conséquences sur leurs comportements | Thierry Payet

728 heures. C’est la durée moyenne d’exposition aux écrans des enfants de 3 à 10 ans, chaque année. Cela équivaut à 2 heures en moyenne par jour. Les écrans sont omniprésents dans notre quotidien mais leurs effets sur la santé physique et mentale des enfants sont encore débattus. Une étude publiée récemment a mesuré l’impact de l’exposition aux écrans sur la santé mentale des enfants. Pour cela, elle a analysé les résultats de 87 études menées sur plus 159 000 enfants. Santé sur le Net décrypte ce phénomène.

écrans enfants

Ecrans et enfants : des effets physiques et comportementaux

De nombreuses données de la littérature démontrent les effets délétères des écrans sur la santé physique des enfants. Notamment, il existe une association entre le temps passé sur un écran et le surpoids ou l’obésité. La sédentarité induite par l’utilisation importante des écrans explique ce phénomène. Par ailleurs, en cas d’usage quotidien supérieur à 2 heures ou juste avant l’endormissement, les écrans ont des effets néfastes sur la qualité de sommeil des enfants.

En revanche, les effets des écrans sur le comportement des enfants ne font pas consensus dans la littérature. C’est pourquoi, des chercheurs de l’université de Calgary, à Alberta, ont voulu répondre à la question : existe-il une association entre le temps passé sur un écran et des troubles comportementaux chez les enfants ? Ils ont effectué une revue systématique et une méta-analyse incluant 87 études et plus 159 000 enfants âgés de 12 ans ou plus jeunes (l’âge moyen des enfants était de 6 ans). Par « écrans », les scientifiques font référence à l’exposition à la télévision et aux jeux vidéo. Ils se sont interrogés sur les impacts de cette exposition sur les troubles de comportements intériorisés, tels que l’anxiété ou la dépression, et sur les comportements extériorisés comme l’agressivité et les Troubles de Déficit de l’Attention avec ou sans Hyperactivité.

À savoir ! Une méta-analyse est une étude statistique synthétisant les résultats obtenus par différentes études indépendantes qui portent sur la même problématique de recherche. La revue systématique est un travail de collecte, d’évaluation critique et de synthèse des connaissances existantes sur une question donnée. Ces deux types d’études apportent un niveau de preuve important.

Les analyses effectuées par les chercheurs démontrent qu’un temps excessif passé sur les écrans est associé à des effets faibles mais significatifs sur la santé mentale des enfants. L’exposition abusive des écrans est liée à des troubles des comportements extériorisés (agressivité et inattention) et intériorisés (dépression et anxiété). Les auteurs soulignent également le manque de reproductibilité des études faites sur le sujet. Cela expliquerait le fait qu’elles apportent des conclusions contradictoires.

Prévenir les effets des écrans : les gestes à adopter

L’exposition des enfants commence dès le plus jeune âge. En effet, un tiers des enfants de 0 à 3 ans prennent leurs repas devant un écran. De plus, les recommandations de l’OMS sont claires sur le développement en bonne santé des enfants : « Le temps consacré à des activités sédentaires de qualité sans écran fondées sur l’interactivité avec un aidant – lecture, chant, histoires racontées ou jeux éducatifs par exemple – est capital pour le développement de l’enfant. » Ainsi, quelles sont les recommandations en la matière ?

Le Haut Conseil de la Santé Publique recommande :

  • Pas d’écrans avant l’âge de 3 ans ;
  • Pas d’écrans 3D avant 5 ans ;
  • Ne pas disposer d’écrans dans la chambre des enfants ;
  • Eviter de regarder la télévision 1 heure avant l’endormissement ;
  • Limiter le temps passé devant les écrans au profit d’activités variées.

Par ailleurs, pour lutter contre les effets délétères de l’exposition abusive des enfants aux écrans, des députés de l’Assemblée nationale ont déposé une proposition de loi en février 2022. Elle vise à mener des campagnes de sensibilisation de la population aux risques des écrans sur la santé des enfants. En cas d’acceptation, cette proposition donnera lieu à la création d’un plan national contre la surexposition des enfants aux écrans.

Alexia F., Docteure en Neurosciences

Sources

– Eirich R, et al. Association of Screen Time With Internalizing and Externalizing Behavior Problems in Children 12 Years or Younger: A Systematic Review and Meta-analysis. jamanetwork.com. Consulté le 23 mars 2022.
– PROPOSITION DE LOI relative à la prévention de l’exposition excessive des enfants aux écrans. assemblee-nationale.fr. Consulté le 23 mars 2022.
– Effets de l’exposition des enfants et des jeunes aux écrans. hcsp.fr. Consulté le 23 mars 2022.
High ankle sprains

High ankle sprains – East Gippsland Osteopathic Clinic | Thierry Payet

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High ankle sprains

What is a high ankle sprain?   

A high ankle sprain is stretching of the ligament in front of the ankle which holds our two leg bones- fibula and tibia together above our ankle joint. High ankle sprain is caused by rolling over the front of our foot (toes in the ground) this places more pressure on the front of our ankle, unlike the usual lateral ankle sprain where we roll on the outside of our ankle.

High ankle sprains commonly occur with a fracture, if you are unable to put weight on the ankle after rolling it- be sure to get it seen to. We highly recommend imaging to determine the extent of the injury before treatment.

How long does it take to heal?

Without a fracture, the ankle generally takes 8-12 weeks to heal however you may not be running until 12 weeks. Due to the instability of the joint above the ankle- the ligament which holds the two bones together is stressed each time you bend your foot up and down (dorsiflex and plantarflex).

Healing time depends on how well the ankle injury is managed, it is very important that the first 2 weeks that the ankle is enforced with strapping or a brace to allow for reduced stress and proper healing of the ligament.   

What can an osteopath do?  

We can assist your ankle in its normal healing processes by addressing any biomechanical adaptations that may occur due to the altered walking style, they may also be able to provide some pain relief and improve mobility. An osteopath is qualified to take you through a rehabilitation program to get you back up and running in no time!

If you fear you’ve injured your ankle and are experiencing pain of any kind, book an appointment at East Gippsland Osteopathic Clinic today! We’ll be sure to have you on the right foot in no time!

Staying healthy this Christmas — Full Circle Osteopathy

Staying healthy this Christmas — Full Circle Osteopathy | Thierry Payet

Be a hydration station: As the sun and your social calendar begin to heat up, there’ll be plenty of occasions where you might find it tempting to have that extra beer or glass of wine with your friends. It’s always good to have nice drink and a catch up, but everything is healthier in moderation. Combine alcohol with lots of sunshine and you are destined for heatstroke. Make sure you stay hydrated this holiday period to avoid any unwanted illness. Try breaking the alcoholic beverages up with a refreshing glass of water or fruit juice when you are at your Christmas party this year.

 

Don’t overload on sugar: With Christmas comes an exorbitant amount of lollies, cakes, chocolate and other sugary treats hitting the supermarket shelves. We like a gummy bear and a mince pie as much as the next, but to avoid getting hit with endless sugar highs (and the lows that follow), make sure you get plenty of nutritious food into your diet every day. Fruit and vegetables will provide you with heaps of essential vitamins, minerals and fibre needed to keep you functioning well. Why not try some antioxidant-rich dark chocolate rather than the milk or white alternatives? Yum!

 

Don’t burn the candle at both ends: It’s easy to get carried away over Christmas with social events and work parties. There are so many people to see and catch up with, that sometimes we sacrifice some of our sleeping hours for party hours. This is okay occasionally, but try to keep it to a minimum. Our bodies won’t make allowances just because it is Christmas. In order to steer clear of illness, keep yourself working and able to attend those social events, you’ll need to pamper yourself with plenty of sleep. Get those Zzz’s in!

 

Take time away from the hustle and bustle: In between all the craziness of Santa coming, make sure you give yourself time to breathe, relax and recuperate from what has probably been a very busy year. Read a book, try some meditation or attend a local yoga or aqua-aerobics class. Your body and mind will thank you for it, and come New Year, you’ll be ready for the year ahead.

 

Do a good deed for those less fortunate: This is by no means a must, but Christmastime is a very lonely time for many people. Think about those without family, a roof over their head, or little money to enjoy the festive period like some may be able to. There are many ways to help out… You could donate to a food bank or charity or volunteer your time at a shelter. It all helps. Remember to smile and be kind when out in the community. You never know when someone is having a bad day. Your smiling face may be just what they need to turn their day around. Good deeds don’t have to cost anything, and they will make you feel awesome. Win-win for the world!

 

Give these a go and we’re sure you will have the healthiest, happiest Christmas of all. Come January you’ll be feeling refreshed and ready to take on the world (and continue to spread joy of course) for another year! Have a great Christmas and we’ll see you in 2020. Tis the season to be jolly, tra-la-la-la laaa, la-la la la!

Robin Kiashek, Osteopath, but not lone wolf!

Robin Kiashek, Osteopath, but not lone wolf! | Thierry Payet

You could be forgiven for thinking that working as a sole practitioner in Osteopathy is a lonely job. And for much of his day, experienced Osteopath, Robin Kiashek, is in individual patient consultations.  But that doesn’t make him a lone wolf!  In fact, during his 25+ years in practice he has built a network of valuable contacts and relationships with other medical professionals.

Part of a pack!

Which is particularly useful if he needs to refer a patient for further diagnostic tests.  Or get a valuable second opinion.

Equally, this wider network can (and does) also call on Robin’s skills.  Particularly around referred pain, the impact of stress and lifestyle on the body and understanding the root cause of an issue.  And this collaborative approach has certainly been in evidence in the past week.  As Robin explains:

“A Neurologist contacted me to see if I could be part of a multi-disciplinary team to review a very complex high-profile case.  Of course, I was delighted to be involved.”

The team comprised experts from several fields,  These included Neurology, Pain Management, Orthopaedics and Rheumatology.  This breadth of involvement and expertise was incredibly helpful.  It was immediately possible to see what had already been ruled out.

A new perspective

Luckily, Robin’s experience of working with complex cases – specifically those slow to respond to treatment  – enabled him to bring a new perspective to the process.  And he was delighted to subsequently receive an acknowledgement for his contribution from the Medical Director responsible for coordinating care.

Robin added: “It was so nice to be part of a wider collaborative team.  Also to have my contribution heard and valued by my peers.  I’m confident that our combined efforts will help towards a reduction in pain for this poor patient.”

Ask your Osteopath

When you choose an Osteopath, do ask about how and when they work with other professionals.  An open and collaborative approach can really enhance the care they provide.

As Robin says: “I am great fan of seeking out new opinions and working with others where necessary to provide the best outcome for my patients.

“Plus, whilst we professionals might like to pigeonhole issues under titles like Orthopaedics or Neurology, unfortunately humans are complex.  So, sometimes our issues need to sit across several disciplines if they are to be resolved effectively.”

If you’ve been struggling with an issue for a while, why not speak to Robin?  He can be contacted here. Or you can call 020 8815 0979.

 

 

Back Pain From My Child

Back Pain From My Child | Thierry Payet

In clinic I have seen an increased number of new (and returning) parents with back pain, this is no coincidence as it is common for mums (and Dads) to develop back pain from lifting, carrying and moving their baby or child.

When you become a parent your focus changes from you to your child. Caring for your child becomes your life, however caring for your ever growing baby/child can put added strain on your body. Many parents don’t have the chance, or as I can remember the mental capacity due to tiredness, to think about the positions that they are putting the bodies into, these positions become repetitive as that is the easiest way to feed, carry and care for your child. These repetitive positions/stresses can cause a repetitive strain injury (RSI).

In effect you are lifting, carrying and moving an ever increasing weight several times a day. If you were in a gym environment you would lift weight with good technique and gradually increase the weight as your muscles develop and get stronger, BUT, unlike the gym environment your baby/child can wriggle and moving putting your body into awkward and unfamiliar positions therefore causing injury. A prime example of this is carrying your child on your hip.

What Can I Do To Help?

Well there are a number of things that you can do to help yourself:

#1 Seek advice from a professional such as an Osteopath. Osteopaths use a variety of techniques such as mobilisation, massage, manipulation and give advice on appropriate exercises to help relieve your pain.

#2 Alternate the hip you chose to balance your child on. Don’t always use the same side as your body becomes unbalanced and this causes an increased chance of injury.

#3 Mild or moderate back pain may respond favourably to over-the-counter pain relievers, such as acetaminophen or ibuprofen. Talk with your doctor if your pain does not improve; prescription-strength pain relievers or muscle relaxants may be appropriate in some cases. Inform your doctor if you are breastfeeding so she can prescribe a medication that is safe for your baby.

#4 Ice or heat packs can help reduce back pain. Soaking in a hot bath may also provide relief. If you had a c-section birth, make sure your doctor has given you the go-ahead to resume tub baths.

#5 Don’t try to return to normal activity too quickly after your baby is born. It isn’t easy to find time to rest when you are caring for an infant. A little self-care, however, can help your household run more smoothly. Women should remember that shifting hormone levels in late pregnancy cause ligaments and joints to relax; these areas remain more flexible even in the weeks after birth and are more prone to injury.

#6 Try to avoid standing for long periods because this puts extra pressure on your back. If you need to stand, rest one foot on a raised surface such as a stool. Use a footstool to elevate your feet while sitting.

#7 Use proper body mechanics when lifting your baby and other objects. The proper technique is to use your legs instead of your back. Do not bend from the waist. Instead, squat down by bending your knees and use your legs to lift. You may be lifting many heavy, unfamiliar objects, such as car seats and strollers. Move slowly and pay attention to your lifting technique to avoid injury.

#8 Keep your back straight while breastfeeding and raise your baby to the breast. Do not lean over to bring the breast down to your baby. Sit in a chair with a firm back and use pillows to aid in proper positioning. This may take some time to learn; a lactation consultant can help you assess discomfort and make recommendations for different feeding positions.

#9 Bring your baby close to your chest before lifting. Back injuries can occur if you pick him up with your arms outstretched or while twisting or turning to the side.

#10 An exercise program can help you build the muscles that support your back. Get your doctor’s permission before beginning any new exercise regimen. Start with gentle exercises, such as pelvic tilts and a few minutes of mild stretching.

#11 Exercises to rebuild muscles to improve your posture and help you avoid back pain. Your abdominal muscles provide critical support to your spine back muscles. During pregnancy, the abdominal muscles may weaken or separate. In a c-section birth, an incision is made through the muscle layers of the abdomen.

#12 A front-pack style carrier is helpful while walking or accomplishing tasks around the house. Follow the manufacturer’s instructions carefully and observe good body mechanics. A carrier is a better alternative than carrying your baby on one hip, which strains your lower back muscles.

Are There Any Exercises or Movements I can do to Help?

Elbow Curls: From a seated or standing position, place your hands behind your head with your elbows pointing out to the sides. Press your elbows forward (left) until they touch in front of your face, then squeeze your shoulder blades together as you pull your elbows back until they’re behind your ears. Do up to 10 reps.

Cat-Camel Stretch: Get down on all fours with your hands beneath your shoulders and your knees beneath your hips, neck in line with your spine. Slowly round your back by tightening your abs and tucking in your pelvis (above); hold for five seconds. Then allow your back to sag toward the floor as you lift your chest and head; hold for five seconds. Repeat the combination 10 times.

Hip Flexor Lunge: Come into a lunge position with your left leg forward, knee over your ankle, and your right knee on the floor. Press your hips forward so you feel a stretch in the front of your right thigh (but not so far that your left knee travels beyond your toes). Hold for 30 seconds and repeat two to three times, then switch legs and repeat.

Glute Bridges: Lie on your back with your knees bent and your feet hip-width apart, heels slightly in front of your knees. Rest your arms palms-down at your sides. Inhale and pull your belly button in toward your spine as you slowly curl your back off the floor, pressing your feet into the floor to engage your glutes (below). Exhale at the top and press your pelvis toward the ceiling. Hold for up to five seconds, then slowly roll down to starting position. Repeat two to four times.

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Pour améliorer votre sommeil, avez-vous pensé à l’ostéopathie ? | Thierry Payet

Si compter les moutons pour vous endormir ne vous aide plus ; alors il est peut être temps d’essayer l’ostéopathie pour améliorer votre sommeil.

 

Pourquoi votre sommeil est-il perturbé

 

Commençons par quelques chiffres. Selon une enquête menée par l’Institut National du Sommeil et de la Vigilance en 2019, 32% des français considèrent que leur sommeil est peu ou pas du tout satisfaisant, soit 1/3 des français !

Alors pourquoi ce sommeil est-il si perturbé chez tant de personne ? Il existe plusieurs motifs à cela :

  1. Les motifs « psychiques »
  • L’état émotionnel : Les gens qui n’expriment pas leurs émotions durant la journée ont tendance à traîner leurs problèmes au lit. Inévitablement, ils s’inquiètent et leurs efforts pour se débarrasser de pensées indésirables perturbent le temps d’endormissement.
  • L’anxiété : Les personnes anxieuses ou stressées n’arrivent pas à décompresser à l’heure du coucher. Près d’1 français sur 2 se sent assez voir très stressé d’après cette même étude. Hors s’endormir tendu, provoquera une nuit en dent de scie, spasmes musculaires ou bruxisme (grincement des dents), avec possibles maux de tête au réveil.
  • L’hyperactivité mentale et physiologique : L’hyperexcitabilité mentale est une des caractéristiques les plus importantes. Le corps accompagne cet état : tension musculaire, battements cardiaques rapides et température corporelle élevée. Hors comme vous le verrez dans les paragraphes ci-dessous, la fréquence cardiaque et la température corporelle doivent être basses pour un meilleur sommeil.v
  1. Les motifs « physiques »

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  • Les douleurs ostéo-articulaires : 40% des français souffrent de douleurs au niveau du rachis. Celles-ci peuvent être provoquée par une mauvaise literie, mais également par des troubles posturaux, à prendre en compte par votre ostéopathe.
  • Les médicaments ou substances (café, thé, alcool, tabac, drogues, etc), sont à l’origine d’un nombre élevés de troubles, mais très largement consommés par la population.
  • Le manque d’activité physique en journée, ou plus simplement la sédentarité. Problème récurrent et de plus en plus observé dans la société actuelle qui se sédentarise de plus en plus ; le boulot (assis) / métro / dodo s’observe de plus en plus. Ce manque d’activité empêche le corps de dépenser l’énergie qu’il produit quotidiennement. Prenez l’exemple d’une centrale électrique, en cas de surchauffe ou de surproduction, elle tombe en panne ; et bien la réaction du corps est la même, si vous ne dépensez pas votre énergie, votre sommeil n’est pas récupérateur, jusqu’au jour ou vous explosez (dépression, blessure, burn out, etc).
  • Enfin, nous terminons par les écrans (télé, ordi, portable). Maintenant ancrés dans nos vies, mais leur utilisation tardive (jusqu’à 1h avant de se coucher) provoque un seuil d’excitabilité de vos neurones tels, que votre cerveau fonctionne comme en pleine journée lorsque vous êtes concentré. Pour lui, vous n’avez donc « pas la tête à dormir ».

Alors pas de panique, tout le monde n’est pas atteint par tous ces motifs, mais si vous vous reconnaissez dans ces descriptions, la suite pourra certainement vous sauver.

Comment l’ostéopathie peut-elle m’aider à améliorer mon sommeil ?

Quand les troubles du sommeil vous empêchent de rejoindre le monde des merveilles, c’est qu’il faut agir.

traitement-osteopathie-insomnie

En réduisant les tensions physiques, en réduisant les niveaux de douleurs chroniques, l’ostéopathie va très directement lever certains obstacles au sommeil. Il va aussi permettre un recours moins systématique et fréquent aux médicaments, et donc diminuer l’apparition de leurs effets indésirables.

En agissant sur le stress physique et physiologique, l’ostéopathie calmera le système nerveux réactif au stress. Le système nerveux parasympathique (calmant) va pouvoir reprendre du service. Son rôle de régulateur améliorera le sommeil et l’ensemble des fonctions involontaires (la digestion, la décontraction du tonus physique, la régulation de l’horloge jour/nuit et veille/sommeil).

Enfin, et non des moindres : l’Ostéopathe va pouvoir améliorer votre sommeil en redonnant au corps toute sa mobilité, en confort et en sécurité. Les campagnes récurrentes des autorités de santé en sont d’excellents porte-paroles : le mouvement et l’exercice, même si ce ne sont que quelques dizaines de minutes de marche par jour, sont les meilleurs garants de votre bonne santé.

Pour conclure, l’ostéopathe utilisera ses techniques pour rééquilibrer les différents systèmes entre eux (digestif, crânien, respiratoire et la posture), et retrouver l ‘homéostasie nécessaire à son bon fonctionnement et à un sommeil récupérateur.

Astuces pour aller plus loin

Quelques petites astuces pour améliorer encore et toujours votre sommeil :

La respiration: Cette dernière est trop souvent laissée de côté de par son automatisme. Mais sachez que la respiration ne permet pas seulement que de vous faire vivre, elle a le pouvoir de maitriser votre état d’excitation ! Ainsi, un simple travail de respiration le soir avant de dormir pourra changer du tout au tout votre sommeil. Pour un relâchement optimale pratiquer plusieurs cycles de 6 secondes d’inspiration / 4 sec de blocage / 12 sec d’expiration. Vous trouverez également sur mon instagram, d’autres techniques de respirations selon les différentes situations auquel vous ferez face.

La méditation: Connu de tous mais très peu pratiquée, elle pourra aider les plus téméraire à se relaxer ; le tout sera de la faire volontairement, avec l’envie de se reposer. Pour vous y aider, je vous partage une pépite de la méditation, la chaine Youtube de Cédric Michel. Il vous propose plein de vidéo de méditation selon les situations. En voici celle pour s’endormir : Zzzzzzzzzzzzz .

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Sur ces belles paroles, je vous laisse dormir, ou faire vos 20 minutes de siestes ; car n’oubliez pas, le plus important, c’est votre santé !

 

Article rédigé par Pierre-Louis Billant – Ostéopathe D.O. – Cycl’ostéo Nice