explications apparition des tendinopathies

Tendinite et ostéopathie, une belle histoire racontée par nos ostéopathes ! | Thierry Payet

Prenez place confortablement, vous allez enfin comprendre un petit peu mieux ce qu’est une tendinite, et comment l’ostéopathie peut vous aider à la traiter.

Lumière sur la tendinite

 

Elle se définit par l’inflammation d’un tendon ; elle rentre donc dans la famille des tendinopathies, qui sont toutes les pathologies touchant le tendon, (dont font parti également la dégénérescence, la ténosynovite, etc).

Le tendon, constitué de fibres de collagène, s’apparente à une corde qui prolonge le muscle et assure son insertion sur l’os. Lorsqu’il est inflammé, pour une raison X ou Y, cela provoque des douleurs, des rougeurs et parfois un œdème.

Comme toute pathologie, les causes des tendinites sont multiples. Il y a bien sûr la sur sollicitation d’un muscle et de son tendon qui les abîme, que ce soit par la répétition d’un même geste, de microtraumatismes, d’une activité sportive unilatérale comme le golf ou le tennis. Mais cela peut également faire suite à une ancienne entorse ou fracture, un accident,

explications apparition des tendinopathies

qui auront fragilisés la posture et qui auront rendu inégales les zones de pression au sein d’une articulation, faisant ainsi travailler davantage un muscle plutôt qu’un autre.

Mais également la posture générale, qui aura une incidence sur l’équilibre globale du corps humain, et donc la répartition des forces et du travail.

Et pour finir, il y a également l’intestin grêle qui peut jouer un rôle important dans l’apparition des tendinopathies. Dans le cas d’une alimentation déséquilibrée, souvent liée à une mauvaise hygiène de vie, la barrière intestinale pourra se comparer à un filtre encrassé. Les nutriments seront donc moins bien acheminés vers les muscles, les toxines se drainent mal. Les tendons seront plus sensibles à l’apparition d’une tendinite.

Mais comment se séparer de ce calvaire alors ? Patience, et lisez la suite

L’ostéopathie pour traiter une tendinite

 

ostéopathie au secours de la tendinite

Vous l’aurez compris, c’est par sa compréhension globale du fonctionnement de votre corps que l’Ostéopathie révèle toute son efficience.

L’ostéopathe ira donc chercher les zones qui « posent problèmes », celles qui seront en cause dans l’apparition de votre tendinite.

Sachez que de par la posturologie, un déséquilibre au niveau du coude, ayant provoqué une tendinite sur le long terme, peut s’avérer être une cause secondaire d’une dysfontion bien plus ancrée sur une autre partie du corps. Sans traitement de la cause, vous pourrez essayer tous les remèdes cités ci-dessous, rien n’y fera, votre tendinite refera toujours et encore surface ; quitte à vous gâcher la vie.

Notre rôle principal sera donc d’aller éliminer toutes causes pouvant entraver le soin de cette tendinite.

 

Les bons conseils à appliquer

 

Le repos :

S’il ne sera pas miraculeux, il permettra l’arrêt de l’évolution de la tendinite. La récupération implique le repos musculaire. Si ce n’est pas respecté, la douleur se prolonge et s’installe, elle devient chronique. Le corps s’adapte en sur-sollicitant les muscles sains qui, à la longue s’épuisent. Cela modifie les contraintes structurelles du corps. D’autres douleurs apparaissent alors, surtout si cela touche un membre porteur.

Le froid :

Il suffit de prendre l’image d’un feu (qui serait la tendinite), si vous jetez de l’essence dessus, je ne vous apprends rien, il va s’enflammer et prendre de l’ampleur ; en revanche si vous le couvrez avec une couverture humide, il s’arrêtera rapidement.

Et bien, nous faisons face au même principe sur une tendinite, si vous la brutalisez, que vous lui mettez du chaud, cela contribuera à son aggravation ; tandis que si vous appliquer un froid uniforme régulièrement sur la zone, celui ci calmera l’inflammation .

De plus, l’utilisation du froid, ainsi que du retour à la température ambiante lorsque vous l’enlevez, agira sur la circulation sanguine, provoquant une constriction puis dilatation des vaisseaux. Ceci dynamisera la circulation sanguine, et donc le drainage de la zone (toxines, œdème, etc).

Une alimentation basique :

Privilégier une alimentation dite alcalinisante : légumes, légumineuse, fruit, viande maigre.

Eviter d’acidifier l’organisme par la dégradation digestive de certains aliments : viande rouge, soda, café, alcool, tomate, sel, farine blanche, etc.

Tous ces aliments contribueront à l’acidité de l’organisme, qui devra donc lutter contre cette dernière en puisant dans ses ressources. Qui dit lutte, dit moins d’énergie pour agir contre la tendinite.

Optez plutôt pour le jus de citron dans de l’eau chaude le matin à jeun ! Contrairement aux idées reçues, le citron est bien basique une fois dans l’organisme, il aura donc un effet antiacide et anti-inflammatoire, en plus de son apport vitaminique.

Et pour finir, une hydratation (en eau, la tendinite n’aime pas l’heure de l’apéro), régulière et abondante.

Voilà les 3 conseils de base à appliquer en cas de tendinite. Pour les plus motivés, en voici deux de plus, totalement naturels et efficaces contre les inflammations :

Les huiles essentielles :

Il existe une recette « miracle » que vous pourrez utiliser en cas d’inflammation, d’entorses ou autres, à base de 4 huiles essentielles :

– gaulthérie couchée (eucalyptus citroné si vous êtes sous anti-coagulant)

– helichryse italienne (genévrier si vous êtes sous anti-coagulant)

– lavande aspic

– épinette noire

huiles essentielles pour soigner la tendinte

Vous retrouverez toutes ces huiles essentielles à l’achat sur ce cite que nous avons pu tester.

Il faut mélanger dans du liniment oléo calcaire (que vous trouver n’importe où (sorte de crème hydratante)) : pour 500 ml : 25 ml d’huile essentielle, soit 625 gouttes. On divise par le nombre d’huiles essentielles utilisées ce qui nous donne 150 gouttes par huile.

On mélange en shakant vigoureusement. Vous le conservez au sec, au frais dans le noir et vous pouvez l’utiliser tout de suite !! Vous retrouverez le mélange sur cette vidéo.

L’argile verte en cataplasme :

Riche en minéraux et en oligo-éléments, pratiquez des pauses régulières de masques sur la zone inflammée. Ceci aura pour effet l’absorption de toxine présente dans les tissus, permettant ainsi l’amélioration de la qualité de ceux ci ; et donc la réduction de l’inflammation.

 

Article rédigé par Pierre-Louis Billant – Ostéopathe D.O. – Cycl’ostéo Nice

 

How to Manage your Migraines: Part 1

Part 1 – East Gippsland Osteopathic Clinic | Thierry Payet

How to Manage your Migraines: Part 1

How to Manage your Migraines: Part 1

Migraines are a very common and distressing disorder that’s affecting over 3 million Australians. Whilst it is most commonly noted in woman, those aged in their 20’s and 30’s, it can be experienced by anyone, regardless of age or gender. Migraine symptoms typically present as a one-sided headache lasting between 4-72 hours, accompanied by a throbbing or pulsating sensation. The intensity of migraines is another debilitating factor, as the pain typically sits between moderate to severe, and is often aggravated by physical activity. Migraines are also quite commonly associated with nausea, vomiting, aura/vision disturbances, and increased sensitivity to light sound and smell. So now that we know what happens when we get one, let’s learn a little more about the symptoms and how osteopathy can help!

Whilst the exact cause of migraines is still being researched, there are treatments available that can help reduce the symptoms, frequency or intensity of migraines. Osteopathy has been shown in some cases to be quite effective as poor posture, muscle tightness and restrictions through the spine and cranium are all predisposing and maintaining factors for migraines. 

For those of you currently experiencing migraines, or know someone who does, please keep in mind that there are some RED FLAGS associated with migraines that require immediate assistance/advice:

  • Systemic symptoms and signs (ie. If you have a fever, a drop in level of consciousness, confusion, seizures)
  • Neurological symptoms and signs (ie. numbness and/or tingling, loss of coordination, paralysis, progressive limb or fascial weakness)
  • Sudden onset (if sudden <1min, otherwise known as ‘Thunderclap’ migraines)
  • Older age group (ie. over 50 years old)
  • Previous headache history change (if it’s a ‘new’ type of migraine for you/change of typical symptoms)
  • Postural/positional – (if your migraine is triggered by a clear change in your posture)
  • Progressive – if you’re symptoms are progressively worsening over time
  • Papilloedema (GP can detect this through ophthalmoscope)

If you have any further questions or concerns regarding migraines, please come in and book an appointment at one of our East Gippsland Osteopathic Clinics and we will do our utmost to assist you in treating and managing this debilitating disorder. Click here to book your appointment today.

image d'un cerveau

Covid-19 et cerveau | Thierry Payet

Certains symptômes de la Covid-19, comme la fatigue mentale ou la confusion, ont rapidement soulevé la question des effets du virus SARS-CoV-2 sur le cerveau. Plusieurs études se sont penchées sur cette question. La dernière en date a été publiée dans la revue scientifique Nature le 7 mars 2022. Elle démontre l’impact de l’infection sur les neurones de l’olfaction, entre autres. Santé sur le Net décrypte ses résultats.

image d'un cerveau

Covid-19, cerveau et odorat

Parmi la longue liste des symptômes associés à l’infection par le SARS-CoV2, figurent certains signes (perte de goût et/ou d’odorat, fatigue mentale, confusion, …) qui laissent à penser que la Covid-19 entraîne des effets neurologiques, à court et moyen terme. Après plusieurs études scientifiques sur ce sujet, des chercheurs britanniques viennent de publier leurs résultats. Ils semblent confirmer un impact de l’infection sur le cerveau.

Parmi les signes évidents de l’effet de la Covid-19 sur le cerveau, figure en tête la perte du goût et/ou de l’odorat. Dans les premiers mois de la pandémie, elle affectait environ 80 % des patients infectés. Dès la première année, des scientifiques ont démontré que ce symptôme était associé à une atteinte des cellules nerveuses de la cavité nasale par le virus. Par ailleurs, il a été démontré que le virus pouvait rester présent dans la cavité nasale pendant de longs mois à compter de l’infection.

Les neurones de l’olfaction directement impactés

Pour mieux comprendre les effets du SARS-CoV2 sur le cerveau, les chercheurs britanniques ont réalisé des examens d’imagerie cérébrale sur 758 participants, âgés de 51 à 81 ans, à deux moments successifs :

  • Au début de l’étude, l’ensemble des participants n’ayant alors jamais été testés positifs à la Covid-19 ;
  • Après un délai moyen de 141 jours, pendant lequel :
    • 401 personnes ont contracté la Covid-19 ;
    • 384 personnes n’ont pas contracté l’infection (sujets contrôles).

En comparant les deux séries d’images cérébrales, les chercheurs ont pu mettre en évidence chez les patients infectés plusieurs phénomènes par rapport aux sujets contrôles :

  • Une réduction plus marquée de l’épaisseur de la matière grise dans deux régions du cerveau (le cortex orbito-frontal et le gyrus parahippocampique) ;
  • Des lésions neurologiques plus marquées dans les régions associées à la perception des odeurs ;
  • Une réduction globale de la taille du cerveau.

Un vieillissement accéléré des neurones ?

Entre les deux séances d’imagerie, les patients infectés ont montré un déclin cognitif plus marqué que les sujets contrôles. Ainsi, cela suggèrerait un vieillissement prématuré des neurones suite à l’infection. Et ces effets restaient significatifs, quelle que soit la sévérité de l’infection. Néanmoins, les mécanismes physiopathologiques à l’origine des effets observés restent encore à préciser. La réversibilité partielle ou totale de ces effets neurologiques à long terme reste à déterminer.

D’après ces données, le virus SARS-CoV-2, via les régions cérébrales dédiées à l’olfaction, entraîne des effets neurologiques. Ces conséquences neurologiques ont lieu quelle que soit la gravité de la maladie. Il sera donc intéressant d’évaluer l’intérêt des thérapies de rééducation olfactive chez les patients atteints d’anosmie. D’autres chercheurs travaillent eux aussi sur les effets neurologiques de la Covid-19, en particulier sur l’impact de la pandémie sur l’incidence de la maladie d’Alzheimer.

Estelle B., Docteur en Pharmacie

Sources

– SARS-CoV-2 is associated with changes in brain structure in UK Biobank. Gwenaëlle Douaud and al. 2022. Nature. nature.com. Consulté le 14 mars 2022.

Covid restrictions and return to sport injuries!

Covid restrictions and return to sport injuries! – East Gippsland Osteopathic Clinic | Thierry Payet

Covid restrictions and return to sport injuries!

Covid restrictions and return to sport injuries!

The crisp frosty mornings, the smell of deep heat in the trainer’s room, meat pies in the warmer, and the sound of umpire’s whistles in the background!

It has been so wonderful to get back to our local sporting clubs this year to cheer on our junior and seniors athletes! Netball, soccer, hockey, footy, tennis, cricket or whatever you play, its great to be back!

But here is the negative.

In just the first two rounds of footy and netball at my local footy and netball club, we have had two dislocated fingers, many rolled ankles, multiple hamstring and muscle strains and even a disc bulge! Ouch!

So what is the difference?

Fitness.

After not playing at all last year, and this year having the challenge of multiple lock downs and disruptions to trainings, injuries are at an all time high.
These injuries are a clear sign that our muscles and joints are not handling the activity and extra strain we are putting them under. Due to our bodies being so unconditioned compared to previous years, it is leading to a higher risk of injury.

Your Osteopath will be able to access you for weaknesses and imbalances through out the body to help minimise the risk of injury.

They will also be able to help give advice on strengthening certain muscle groups and increase balance, while also giving you a clear warm up and cool down routine if required to help with post sport recovery.

Discuss with your Osteopath today on how we can help get the best out of your body, so you can continue playing the sports that you love!

Nevralgie - Urgence Ostéopathes

Étirement du bas du dos et au niveau de l’aine | Thierry Payet

Étirement du bas du dos et au niveau de l’aine – Urgence Osteopathes

Position de départ :

Assis les pieds joints, les genoux écartés, les mains accrochées aux chevilles, le dos affaissé.

Action :

Tirer sur les bras pour redresser son dos et grandir.

Puis, dans un deuxième temps, affaisser son dos vers l’arrière.

Respiration :

Inspirer en se redressant, expirer en affaissant son dos.

Sensation :

On doit sentir son dos se contracter en se redressant et se relâcher puis s’étirer lors de l’affaissement.

Les mouvements doivent partir du bassin, donc bien sentir le mouvement de bascule.

Rythme :

Lent, comptez quatre temps pour redresser son dos et quatre temps pour le relâcher et l’etirer.

Répétition :

12 à 15, 3 a 4 fois de suite.

un plan national d’actions contre les risque de chutes

un plan national d’actions mis en place ! | Thierry Payet

Chaque année en France, deux millions de chutes sont recensées chez les personnes âgées, entraînant selon les statistiques environ 10 000 décès. Face à ce facteur de risque évitable, le Gouvernement vient de lancer un plan national d’action contre les chutes. Un plan présenté par les ministres Brigitte Bourguigon et Roxana Maracineanu.

un plan national d’actions contre les risque de chutes

Personne âgée et risque de chute

Le risque de chutes chez la personne âgée ne doit pas être pris à la légère, puisqu’il représente la première cause de mortalité accidentelle chez les adultes de plus de 65 ans. Or il est possible d’agir sur ce risque, pour réduire la survenue des chutes, et le cas échéant en réduire la gravité.

Le risque de chutes entraîne plusieurs conséquences importantes en termes de santé publique :

  • Des conséquences physiques, comme des blessures ou des fractures ;
  • Des séquelles psychologiques et sociales, avec une possible réduction d’autonomie et une augmentation de l’isolement social ;
  • Un impact économique, avec un coût pour la collectivité estimé à deux milliards d’euros.

Un plan national d’actions autour de cinq axes

Avec l’allongement de la durée de la vie, et l’augmentation de la population âgée de plus de 65 ans, le risque de chutes devient un enjeu majeur de santé publique. Dans ce contexte, le Gouvernement a élaboré un plan national d’action contre les chutes.  Son objectif est de réduire de 20 % le nombre de chutes mortelles ou nécessitant une hospitalisation à l’horizon 2024.

Ce plan est organisé autour de cinq axes majeurs :

  • Un meilleur repérage des chutes et un meilleur système d’alerte des chutes, par des actions spécifiques de sensibilisation auprès des professionnels de santé, des personnes âgées, de leurs proches et du grand public ;
  • Un meilleur aménagement du logement pour réduire le risque de chutes à domicile. Grâce à des équipes mobiles pour repérer les risques et des aides techniques et financières pour mieux aménager le logement ;
  • Un accompagnement au bon usage des aides techniques à la mobilité ;
  • La promotion de l’activité physique adaptée, avec des programmes adaptés pour chaque personne âgée, en lien avec trois professionnels clés, l’intervenant en activité physique adaptée, le diététicien et l’ergothérapeute ;
  • La mise à disposition de tous des services de téléassistance.

Le risque de chutes, un risque à ne pas sous-estimer

Si le plan d’action est national, il sera décliné dans chaque région, sous l’égide des Agences Régionales de Santé (ARS) et des Conseils Départementaux. L’objectif est de sensibiliser le plus grand nombre, du professionnel jusqu’au grand public au risque de chute, et à l’enjeu de santé publique qu’il représente.

La chute de la personne âgée ne doit pas être un risque banalisé !  Il doit faire l’objet d’une information adaptée, pour réduire ce risque et sa gravité. Une carte géolocalisée sera par exemple développée pour que chaque Français puisse connaître les services et les actions axés sur la réduction des chutes dans un rayon géographique proche de son domicile.

Estelle B., Docteur en Pharmacie

Sources

– Prévention des chutes des personnes âgées. Brigitte Bourguignon détaille avec Roxana Maracineanu son plan pour les réduire de 20% d’ici 2024. solidarites-sante.gouv.fr. Consulté le 25 février 2022.
– Plan antichute des personnes âgées. Ministère des Solidarités et de la Santé. solidarites-sante.gouv.fr. Consulté le 25 février 2022.
Back to School with Osteopathy

Back to School with Osteopathy | Thierry Payet

With Thousands of Children in Swansea going back to school, the hot topic should be about back packs and how will they carry their bag this school year, but the right – or wrong – backpack can have a much longer effect on your child’s health.

Here at Health First Osteopathy we strongly support the need of a backpack, as carrying a backpack and sitting at desks all day can cause some stiffness in the back, neck and shoulders. An ill-fitting or incorrectly sized back pack may increase the risk of poor posture or possible injury.

It is important to recognise the need to protect a school-aged body, particularly during adolescence. Going into the first-term of the 2018 school year, here are some top tips to make sure your child is going back with the right backpack.

What to look for in a backpack

There are so many different styles of school bags available to purchase, that it can become difficult to choose the right one. Below are features that you should look for when purchasing a new bag:

  • Make sure the backpack is the right size – it should be no wider than the child’s chest and no higher than 3 cm above their shoulders – they should be able to look up to the ceiling without their head hitting the bag.

  • A moulded frame which conforms to your child’s back when adjusted correctly.

  • Two wide, adjustable shoulder straps with padding for extra comfort – Wearing a bag with only one shoulder strap curves the spine unnaturally, putting stress on the whole body.

  • Separate compartments that allow packing ease.

  • One made from canvas or another light-weight material.

How to wear a backpack

  • Ideally, a school bag should weigh less than 10 per cent of the child’s body weight. For instance, a child weighing 40kg should carry 2-3kg, and 4kg at the very most.

  • Both shoulder straps should always be used to distribute the weight evenly on the child’s back. Waist straps also help.

  • Don’t wear the backpack below the small of the back. The shoulder straps should be adjusted so that the bottom of the bag sits around the child’s waist – trace a line from their belly button around to their back, the bottom of the bag should sit around there.

  • The bag should not hang out from the shoulders – it should contour to your child’s back – and should not swing from side to side when your child is moving around.

Setting strong backpack habits for you and your child

To ensure your child does wear the bag correctly when you aren’t there, explain to them that it can cause serious injury to their spine, shoulders, and neck if they don’t wear it right. It is only the best school bag if it’s used the right way. Regularly check with them to see if the bag is comfortable, or if they are in any kind of pain.

By setting strong habits for you and your child, it will lessen the impact to cause significant injury to their spine, shoulders, and nick if they don’t wear it right.

The most important thing parents can do once their child is home, is to encourage them to take their shoes off and play outside, without technology for 30 minutes. 30 minutes of varied movement can unwind the body from the rigid positions a child is expected to hold throughout the day.

Take the time with your child to show them how to wear their backpack correctly, if unsure speak to us at Health First Osteopathy. Osteopaths can treat patients with back and neck pain, sports injuries, headaches, postural problems, sciatica symptoms, knee and heel pain, shin splints, arthritis and occupational injuries.

If your child does complain of neck or shoulder pain, it is a good idea to take your child to an Osteopath for an assessment. The school bag may not be the only potential source of discomfort.

#BackPain #Children #BackPack #School #Posture #Learning #Osteopathy

Vlog: Osteopathy for Headaches - Brisbane Osteopath Centre

Vlog: Osteopathy for Headaches – Brisbane Osteopath Centre | Thierry Payet

Scott Baxter talks about Osteopathic treatment for Headaches

Headaches (cervicogenic headaches) can come from neck problems. This is quite common and under-recognised. Osteopathy is a great option to reduce pain and correct the imbalance. Cervicogenic headaches are headaches which result from spinal problems in the neck.

A very common cause of headaches  can be from muscle tension or joint strain of the upper back and neck. This is where your osteopath can help. Modern life can be very stressful and this can cause people to hold increased levels of muscle tension through their upper back, shoulders and neck. In some people this can trigger a tension headache (or cervicogenic headache). These tension-type headaches can be incredibly debilitating and limit our ability to function properly in our day-to-day lives.

Tension headaches are usually located at the back of the head and the upper neck, known as the sub-occipital area. They can radiate from the back of the head up to the top or the front of the head. The severity and length of time they occur in tension headaches will vary.

Using very gentle manual therapy, osteopathic treatment aims to reduce the muscle tension in the upper back and neck. Treatment also aims to normalise any imbalance and tension in the joints in the upper neck, and the base of the skull where it sits on top of the neck. Osteopathic treatment can treat the muscles, ligaments and joints of the spine, particularly the neck.

Once normal function is restored to the neck and muscle tension is reduced, the pain and congestion (inflammation) in the neck should start to ease. The severity and duration of the tension headache will also reduce. As a result of easing pain and normalising function in your body, your quality of life and well-being will improve.

For more information on what else osteopaths can treat click HERE

And if you’d like to know more about me, check out my practitioner profile page – Scott Baxter

Scott Baxter is available – Tuesday, Wednesday and Friday. Book online HERE

 

une femme présentant des douleurs de machoire sur un terrain de bruxisme

Bruxisme : l’accompagnement de l’ostéopathe | Thierry Payet

Vous vous surprenez à serrer les dents durant la journée, vous ressentez des douleurs au niveau des mâchoires le matin au réveil, votre conjoint vous fait la réflexion que vous grincez les dents la nuit, vous avez l’impression que la forme de vos dents change… : il est possible que vous fassiez du bruxisme.
Qu’est ce que le bruxisme ? Quelle est l’action de l’ostéopathe dans la prise en charge du bruxisme ?

une femme présentant des douleurs de machoire sur un terrain de bruxisme

Le bruxisme correspond au serrement et grincement des dents

En cas de contact dentaire prolongé (supérieur à 20 minutes par jour), de serrement et de grincement des dents on parle de bruxisme.

Le bruxisme excessif et prolongé peut avoir des conséquences sur la dentition et les articulations de la mâchoire.

Dans certains cas le bruxisme peut être positif : il présente une fonction calmante et permet de stimuler la sortie des dents de l’enfant, il augmente les capacités d’attention, et enfin augmente la force du sportif.

D’où provient le bruxisme ?

Le bruxisme est principalement une conséquence d’un stress positif ou négatif.

Il peut être augmenté par l’alcool, le café, les drogues (cocaïnes, LSD…)

Les conséquences du bruxisme sont multiples

Le bruxisme peut entrainer une usure de l’émail dentaire et une compression des articulations de la mâchoire (ATM) et des morsures à l’intérieur des joues.

De plus, il peut être avoir des conséquences sur l’occlusion en entrainant un inconfort lorsque les dents sont en contact, une fatigue des muscles de la mâchoire et des bâillements difficiles.

Si le corps n’arrive pas à compenser correctement le bruxisme, des douleurs aux mâchoires peuvent apparaitre (ADAM).

Enfin, le bruxisme favorise les pathologies musculaires. En effet, il peut être la source d’hypertonie musculaire cervicale ou globalement sur tout un côté du corps.

Test de respiration permettant de mettre en évidence un bruxisme :

Le test est simple :
Il consiste à se tenir relâché et à effectuer plusieurs inspirations et expirations jusqu’à obtenir une respiration stable.
Tout en poursuivant les inspirations et expirations : serrez les dents.

La respiration est-elle plus difficile ? Plus facile ?
En cas de bruxisme chronique, lorsque les dents sont serrées la respiration est en général plus facile.
Dans le cas contraire, si la respiration est plus difficile, le test et négatif.

Le traitement du bruxisme :

La prise en charge du bruxisme est pluridisciplinaire.

Le dentiste fabrique une gouttière qui permet de limiter le contact dento-dentaire et ainsi limiter l’usure dentaire.
La gouttière mandibulaire (gouttière sur les dents du bas) est conseillée car elle permet de respecter la position de la langue. Elle est en générale portée la nuit, sur une durée de 3 à 6 mois.

traitement du bruxisme par une gouttière

En parallèle du port nocturne de la gouttière l’ostéopathe agit sur le bruxisme et ses conséquences.

De plus, dans les cas chroniques l’acupuncture, l’injection d’acide ou l’hypnose peuvent être conseillés.

La prise en charge de l’ostéopathe en cas de bruxisme :

traitement par l'ostéopathe d'une femme présentant un bruxisme

Dans le cadre de bruxisme l’ostéopathe accompagne son patient en parallèle des gouttières.

Comment travaille l’ostéopathe en cas de bruxisme ?

L’ostéopathe vérifie la mobilité globale du corps puis la mobilité de la cavité buccale afin de détecter les zones pouvant être à liées au bruxisme. Son but est de comprendre pourquoi le bruxisme s’est installé et quelles zones l’entretiennent.

En cas de bruxisme sur quelles zones l’ostéopathe agit-il ?

Par des manipulations douces l’ostéopathe travaille sur les articulations de la mâchoire, les os de la mâchoire et les muscles masticateurs. Il travaille également sur l’ensemble du triangle supérieur : les clavicules, la cage thoracique, les épaules et les cervicales.
Enfin, le traitement de l’ostéopathe peut comporter des manipulations sur les zones en rapport avec le bruxisme : le tendon central, le diaphragme, le bassin…

Combien de séances chez l’ostéopathe sont nécessaires pour diminuer le bruxisme ?

Le nombre de séances nécessaire pour avoir une diminution significative du bruxisme peut varier en fonction de sa prise en charge et de l’importance du bruxisme. Elle nécessite au moins d’une à trois séance.
Dès la première consultation, l’ostéopathe apporte un relâchement de la mâchoire et un soulagement. Chaque consultation doivent être espacées deux semaines.

Pour toutes questions concernant le bruxisme n’hésitez pas à contacter votre ostéopathe à Paris :

Pour toutes questions vous pouvez contacter Mathilde Locqueville, ostéopathe à Paris, au 07 69 03 41 41. Vous pouvez également prendre rendez-vous directement sur Doctolib.

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Bébé ne dort pas, comment l’ostéopathie peut-elle améliorer son sommeil? | Thierry Payet

 

Après l’accouchement, bébé est là avec son lot de joies, mais aussi de questions. Souvent, lorsqu’on devient parent, ses questions trouvent des réponses aussi diverses que l’entourage est grand. Alors aujourd’hui, nous nous intéresserons au sommeil de bébé, dans ses trois premières années. Le sommeil de l’enfant est souvent laborieux car inconnu, décoder les signes et les phases de sommeil peut être très utile aux parents. Nous verrons ce qui peut entraver la bonne qualité de sommeil de bébé et comment l’ostéopathie agit pour une bonne qualité (et quantité !) de sommeil chez l’enfant.

 

Les cycles de sommeil chez le nourrisson

 

À la naissance, le sommeil se structure progressivement. Le nouveau-né va suivre un rythme découpé sur des périodes de 45-50 minutes. Ce cycle de 50 minutes comprend une phase de sommeil agitée, ou bébé peut donner des signes d’éveil (yeux ouverts, mouvements, petits pleurs) puis une phase de sommeil calme.

Entre chaque cycle intervient à nouveau une phase moins stable ou bébé semble éveillé. On peut constater que le sommeil agité occupe 50 à 60 % du temps de sommeil. Le sommeil agité peut passer pour un éveil franc, et s’il y a intervention immédiate du parent, bébé se réveillera pour de bon.

Vers deux mois, les cycles se stabilisent : le sommeil agité devient du sommeil paradoxal, sommeil des rêves. Les cycles s’allongent, et durent environ une heure dix, 70 minutes. Les phases de sommeil paradoxal occupent environ un tiers du temps de sommeil.

Entre six et neuf mois, les cycles s’allongent encore pour arriver vers des cycles de 90 à 120 minutes.

L’architecture du sommeil se modélise donc dans la première année de vie de l’enfant, pour ne se stabiliser réellement que dans la troisième année !

train-sommeil-bébé

Bébé a un sommeil difficile ?

Il arrive que l’entrée dans le sommeil se fasse difficilement ; ainsi certains bébés présentent des signes d’inconfort, comme par exemple, une difficulté d’endormissement, le fait de se tortiller, de grimacer, de se réveiller avec des pleurs intenses, de régurgiter de manière importante et douloureuse, ils peuvent présenter un inconfort en position allongée sur le dos, et tout cela peut donc les gêner l’enfant dans leur sommeil…

Les réveils nocturnes s’ils sont très fréquents, après plusieurs mois, peuvent amener à un épuisement de toute la famille, fratrie, parents, et peuvent amener un cercle vicieux de troubles du sommeil… Plus bébé est fatigué, plus le système d’hyper vigilance s’active, créant un entretien des difficultés à s’endormir..

Ainsi, les causes de sommeil difficile sont nombreuses : tensions corporelles liées à l’accouchement ou à la position in-utéro, problèmes digestifs, poussées dentaires, causes liées au développement des acquisitions motrices comme la marche, changements dans la famille, peur, mais aussi absence d’informations des parents sur les cycles de sommeil du bébé, qui les conduisent à intervenir de manière trop précoce et donc à réveiller bébé pour de bon.

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L’ostéopathie comme solution aux troubles du sommeil

Par un échange abordant les conditions de la grossesse, de l’accouchement, les premiers temps de vie, le portage, l’alimentation, l’ostéopathe fait le point sur l’environnement, le rythme du bébé, et tout ce qui a pu ou peut mettre sous contrainte son organisme et constituer une difficulté à rentrer dans le sommeil.

Puis, le traitement ostéopathique, toujours dans la douceur et global, respectant la physiologie des tissus, va s’intéresser à différentes zones du corps du bébé :

  • Le crâne : mis sous fortes contraintes lors de l’accouchement, la mobilité des os du crâne peut être très fortement impactée par l’accouchement. Ainsi, la croissance du périmètre crânien, très importante les six premiers mois, va se modéliser et s’adapter aux contraintes subies. Le rôle des mains de l’ostéopathe est de dénouer ces contraintes et de guider la maquette osseuse vers une croissance physiologique.
  • Le bassin : directement en lien avec les tensions crâniennes via les vertèbres de la colonne vertébrale, celui-ci va également imprimer des tensions (contractions utérines qui viennent comprimer l’ensemble du corps de bébé, position en siège, accouchement, césarienne) qui vont conditionner la mobilité des organes.
  • Le diaphragme qui sépare thorax et abdomen va influer la mobilité de l’œsophage, de la petite poche de l’estomac, et va donc accentuer les phénomènes de troubles digestifs si sa mobilité est compromise.
  • La colonne vertébrale du bébé, qui subit durant l’accouchement d’importantes contraintes à type de compressions.
  • Enfin, l’émotionnel du bébé directement lié aux sensations corporelles, au vécu de l’accouchement des parents est indissociable et se retrouve également dans le traitement ostéopathique. Le bébé peut manifester cela par des pleurs lors du traitement, ce qui est normal, les tensions levées venant à s’exprimer.

 

Les conseils de votre ostéopathe pour améliorer le sommeil de bébé

  •  Favoriser une atmosphère calme et sombre dans la chambre avec une température autour de 20 degrés.
  •  Coucher bébé plus ou moins à la même heure et adopter à partir de deux ou trois mois un rituel de coucher (histoire, chanson) qui va l’aider à trouver ses repères.
  •  Adopter des rythmes réguliers pour donner à bébé des repères et l’aider à repérer le jour et la nuit.
  •  Ne pas se précipiter pour prendre bébé dès qu’il manifeste des signes d’éveil car il peut s’agir d’un inter-cycle et le prendre d’emblée pourra le réveiller pour de bon. Attendre une à deux minutes avant de vor s’il s’agit d’un réel réveil.
  • Lorsque bébé se frotte les yeux, baille, commencer le rituel de coucher et ne loupez pas ces signes de fatigue.
  • Tous les moments de tendresse et d’apaisement entre bébé et ses parents sont des aides à un endormissement serein, rechargez la jauge de tendresse favorise le sentiment de sécurité et le relâchement nécessaire au sommeil.

 

 

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Article rédigé par Léna Florette – Ostéopathe DO à Lyon 

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