Buvons-nous suffisamment d'eau ?

Buvons-nous suffisamment d’eau ? – Clinique Ostéopathique East Gippsland | Thierry Payet

Buvons-nous suffisamment d'eau ?

Buvons-nous suffisamment d’eau ?

De nombreuses personnes qui ont consulté un ostéopathe ont peut-être été invitées à « s’hydrater/boire de l’eau » à la fin du traitement. Pour beaucoup, c’est un conseil très simple, mais pourquoi est-ce si important ?

Eh bien, l’eau forme en moyenne 60% du corps humain. L’eau lubrifie les articulations, facilite la digestion, régule la température corporelle par la transpiration et aide à l’élimination des sous-produits par la miction. L’eau se trouve dans les os, les muscles, les articulations, les organes et surtout le cerveau, et en tant que telle peut avoir un impact sur tout, de la concentration aux maux de tête en passant par la posture et les douleurs articulaires/musculaires.

Chaque jour en moyenne, le corps humain perd entre 2 et 3 litres d’eau, par de multiples moyens, principalement la transpiration, la miction et l’excrétion fécale. Les facteurs qui augmentent la perte d’eau peuvent inclure une activité physique accrue, une exposition à des températures chaudes ou chaudes ou des conditions impliquant des vomissements ou de la diarrhée.

Il est recommandé que la consommation quotidienne d’eau pour aider à maintenir les niveaux de liquide soit :

  • Hommes adultes : 2,5 L (10 verres)
  • Femelles adultes : 2L (8 verres)
  • Enfants 1-18 ans : entre 1-2L, apport croissant avec l’âge (4-8 verres)
  • Femmes enceintes et allaitantes : 2L + 750-1000mL supplémentaires.

Ce qui précède semble simple et une tâche que tout le monde devrait être capable de réaliser. Cependant, l’eau, comme nous le savons, n’a pas un goût significatif et, à ce titre, certaines personnes ont du mal à respecter l’apport recommandé. Et pour beaucoup, il semble plus facile de consommer des boissons sucrées/caféinées, qui remplacent généralement l’eau.

Alors, comment pouvons-nous augmenter la consommation d’eau sans en faire une corvée ?

Voici 5 conseils utiles :

  1. Si vous cherchez plus de saveur : ajoutez un filet de citron frais, de citron vert ou d’orange à votre eau.
  2. Gardez une bouteille d’eau sur votre lieu de travail ou dans votre sac : aucune excuse pour ne pas boire régulièrement si l’eau est juste devant vous.
  3. A chaque repas, buvez un verre d’eau : Cela fournit un apport hydrique régulier et aide à établir une routine pour aider à rester hydraté.
  4. Buvez des liquides avant d’avoir soif : au moment où vous avez soif, votre corps est probablement déjà déshydraté. En consommant régulièrement des liquides, vous pouvez empêcher le corps de se déshydrater.
  5. Mange ton eau : L’eau est également obtenue par les aliments que vous mangez. Si boire 2 litres d’eau semble irréaliste, ajoutez peut-être certains aliments à votre alimentation avec une teneur en eau plus élevée, tels que la pastèque, le cantaloup, le céleri, les tomates, la laitue ou les soupes.

Les références:
L’eau – un nutriment vital. Better Health Channel – Gouvernement de l’État de Victoria. Extrait de : https://www.betterhealth.vic.gov.au/health/healthyliving/water-a-vital-nutrient
Simson, R. (2018). 10 façons saines d’augmenter votre consommation de liquide. Roswell Park – Centre de cancérologie complet. Extrait de : https://www.roswellpark.org/cancertalk/201805/10-healthy-ways-increase-your-fluid-intake
Corbin, CB, Welk, GJ, Corbin, WR et Welk, KA (2016). Concepts de remise en forme et de bien-être – Une approche globale du style de vie. Section V, pages 318-319.

Comment l'ostéopathie peut-elle soulager les maux de dos

Comment l’ostéopathie peut-elle soulager les maux de dos | Thierry Payet

L’ostéopathie a longtemps été utilisée pour traiter les maux de dos. Mais pendant des années, les preuves de son efficacité ont été limitées – jusqu’à présent.

Selon le Revue médicale britannique (BMJ), il existe maintenant des « preuves prometteuses » que l’ostéopathie peut soulager les douleurs musculo-squelettiques. Le examen, publié dans le BMJ, a vu des chercheurs évaluer la sécurité et l’efficacité de l’ostéopathie pour les maux de dos. Pour ce faire, ils ont parcouru neuf revues systématiques et méta-analyses menées entre 2013 et 2020. Celles-ci impliquaient 55 essais primaires et 3740 participants.

Le résultat?

Les chercheurs ont conclu : « Cet aperçu suggère que [osteopathy] pourrait être efficace dans la prise en charge des troubles musculo-squelettiques, notamment en ce qui concerne [chronic non-specific low back pain] et [low back pain] chez les femmes enceintes ou [those who have just had a baby].”

Au cours des 25 dernières années, l’ostéopathe Robin Kiashek a traité des centaines de clients pour des maux de dos.

Il a déclaré : « Je travaille dans ce domaine depuis longtemps. J’ai vu de première main les nombreux avantages que l’ostéopathie peut apporter aux personnes souffrant de ce problème musculo-squelettique souvent débilitant.

« Il est prometteur de voir des chercheurs confirmer ce que de nombreux ostéopathes savaient déjà – et confirmer davantage que l’ostéopathie peut aider à soulager les maux de dos. »

Comment l’ostéopathie peut-elle soulager les maux de dos ?

Malheureusement, les maux de dos affectent jusqu’à 80 % d’entre nous à un moment donné de notre vie. C’est l’une des raisons les plus courantes d’absence sur le lieu de travail et le NHS dépense plus d’un milliard de livres sterling par an pour les coûts liés aux maux de dos.

Mais voici la bonne nouvelle. Aux Cliniques Robin Kiashek, nous visons à soulager la douleur et à renforcer le corps, le rendant moins sensible à l’inconfort ou aux blessures. Robin essaie également de comprendre les facteurs liés au mode de vie qui peuvent avoir contribué à l’apparition de la douleur.

« Ma gamme de traitements doux et efficaces pour soulager les maux de dos comprend l’ostéopathie manuelle, l’acupuncture occidentale et la thérapie au laser de bas niveau », déclare Robin. « Grâce à ces méthodes non invasives et en travaillant en étroite collaboration avec votre style de vie, je peux aider à minimiser ou même à résoudre les symptômes et à améliorer votre santé globale. »

Et il y a des témoignages de maux de dos pour le prouver

Le Dr Nick Losseff, neurologue consultant, a déclaré : « En tant que médecin, je suis heureusement au courant des connaissances d’initiés sur qui sont les meilleurs ostéopathes, c’est ainsi que j’ai pu voir Robin. Il a ressuscité mon dos après trois mois d’agonie et incapable même de s’asseoir. Son approche est totalement holistique et peut-être plus important encore, il m’a appris à éviter les problèmes futurs avec succès. Je recommande Robin à tous mes patients souffrant de maux de dos. C’est vraiment un mec génial ! ».

En fait, le Dr Losseff a également récemment recruté Robin dans le cadre d’une équipe chargée d’évaluer un cas complexe et très médiatisé.

Un autre neurologue consultant, le Dr Paul Jarman, a déclaré : « Robin Kiashek est mon ostéopathe de référence pour mes patients complexes souffrant de problèmes de cou et de dos. Il combine d’excellents soins cliniques, un traitement efficace et une approche amicale. Il communique toujours bien avec les patients et le spécialiste référent. Je le recommande vivement à toute personne à la recherche d’un ostéopathe de premier ordre.”

Alors qu’un troisième patient a déclaré: «Je suis allé voir Robin dans son East Finchley« The Twyford Practice »avec une mauvaise douleur au bas du dos qui m’a empêché même de marcher correctement. Robin était extrêmement professionnel et très compétent, avec une conversation amicale qui m’a aidé à me mettre à l’aise à un moment où je souffrais beaucoup. C’est un excellent ostéopathe et une personne très sympathique. Robin m’a également traité avec une acupuncture et une thérapie au laser à faible intensité, ce qui a beaucoup aidé à mon rétablissement. Je recommanderais vivement Robin sans hésitation.”

Si vous souffrez de maux de dos, n’hésitez pas à entrer en contact.

comment s'exercer en toute sécurité ?

Comment facturer vos prestations en tant qu’infirmier libéral ? | Thierry Payet

En tant qu’infirmier libéral, il est important de bien gérer la facturation de vos prestations. Cela permet non seulement de faciliter la gestion de votre activité, mais également de maximiser vos revenus.

Dans cet article, Médicalib vous donnera des conseils pratiques sur ce sujet en collaboration avec son partenaire Keobizun cabinet d’expertise comptable, pour vous aider à facturer vos prestations en toute simplicité.

JE- Comprendre les règles de facturation :

La facturation des prestations d’un infirmier libéral est soumise à des règles strictes. Il faut donc être bien informé sur les différentes règles de facturation pour éviter les erreurs et les éventuelles sanctions. Parmi les règles à connaître, on peut citer :

  • Les tarifs conventionnels :
    Les tarifs conventionnels sont des tarifs fixés par l’Assurance maladie pour chaque acte réalisé par un infirmier libéral. Ces tarifs peuvent varier en fonction des actes et des départements. Il est donc important de connaître les tarifs conventionnels en vigueur pour éviter de facturer des prestations à des tarifs supérieurs ou inférieurs à ceux qui sont autorisés.
  • Les codes actes :
    Chaque acte réalisé par un infirmier libéral doit être facturé avec son code correspondant. Ces codes actes sont utilisés pour identifier les prestations réalisées et pour les classifier selon leur nature. Il est donc important de bien connaître les codes actes pour éviter les erreurs de facturation.
  • Les délais de facturation :
    Les prestations réalisées par un infirmier libéral doivent être facturées dans un délai de 2 mois à compter de la date de réalisation de l’acte. Passé ce délai, la facture ne sera plus remboursée par l’Assurance maladie. Il est donc important de respecter les délais de facturation pour éviter de perdre des revenus.

II- Utiliser un logiciel de facturation :

La gestion de la facturation peut rapidement devenir fastidieuse. Pour faciliter cette tâche, il est recommandé d’utiliser un logiciel de facturation spécialisé pour les infirmiers libéraux. Ce type de logiciel permet de gérer facilement la facturation, d’éditer des devis et des factures, de suivre les paiements et de générer des statistiques. Keobiz vous propose un Keoportail qui est un outil tout-en-un pour facturer vos clients, piloter votre trésorerie, gérer vos achats et collaborer avec un.e chargé.e de mission dédié.e.

  1. Les avantages d’utiliser un logiciel de facturation :
    Les avantages d’utiliser un logiciel de facturation pour les infirmiers libéraux sont nombreux. Tout d’abord, ces logiciels permettent de gagner du temps en automatisant certaines tâches de gestion. Ils permettent également de réduire les risques d’erreurs de facturation en utilisant des modèles prédéfinis de factures et de devis. Enfin, les logiciels de facturation permettent de suivre les paiements et les impayés en temps réel, ce qui facilite la gestion de la trésorerie.
  2. Les fonctionnalités des logiciels de facturation :
    Les logiciels de facturation pour les infirmiers libéraux proposent différentes fonctionnalités pour simplifier la gestion de la facturation. Parmi les fonctionnalités les plus courantes, on peut citer :
    • La création et l’édition de factures et de devis personnalisés;
    • Le suivi des paiements et des impayés;
    • La génération de statistiques sur l’activité de l’infirmier libéral;
    • La gestion des relances clients;
    • La synchronisation avec d’autres outils de gestion (agenda, comptabilité, etc.)

Le Keoportail de Keobiz présente toutes ces fonctionnalités. N’hésitez pas à demander une démo en prenant rendez-vous avec l’un des conseillers Keobiz.

III- Faire appel à un cabinet d’expertise comptable :

Si vous avez du mal à gérer la facturation, il peut être intéressant de faire appel à un cabinet d’expertise comptable spécialisé dans les professions de santé. Il peut vous accompagner dans la gestion de votre activité et vous conseiller sur les différentes règles de facturation.

  1. Les services proposés par les cabinets d’expertise comptable :
    Les cabinets d’expertise comptable spécialisés dans les professions de santé proposent différents services pour accompagner les infirmiers libéraux dans la gestion de leur activité. Parmi les services les plus courants, on peut citer :
    • La gestion de la facturation et de la comptabilité;
    • La déclaration fiscale;
    • L’optimisation fiscale;
    • Le conseil en gestion d’entreprise;
  2. Les avantages de faire appel à un cabinet d’expertise comptable :
    Faire appel à un cabinet d’expertise comptable présente de nombreux avantages pour les infirmiers libéraux. Tout d’abord, cela permet de déléguer la gestion de la facturation à des professionnels qualifiés, ce qui permet de se concentrer sur l’exercice de l’activité.

    Ensuite, un expert comptable peut apporter des conseils précieux pour optimiser la gestion de l’activité et maximiser les revenus. Enfin, il peut également assurer une veille réglementaire pour s’assurer que l’infirmier libéral  respecte les règles en vigueur.

    Si vous avez besoin d’aide pour la gestion de votre activité, n’hésitez pas à contacter notre partenaire Keobizun cabinet d’expertise comptable spécialisé dans les professions de santé. Nous avons créé une offre spécialement pour vous dans le cadre de notre partenariat à 80 € TTC avec 1 mois offert.

En conclusion, la facturation est un élément clé de l’activité des infirmiers libéraux. Pour faciliter la gestion de la facturation et maximiser les revenus, il est important de bien connaître les règles de facturation, d’utiliser un logiciel de facturation adapté et de faire appel à un cabinet d’expertise comptable si nécessaire. En suivant ces conseils pratiques, les infirmiers libéraux peuvent se concentrer sur l’exercice de leur activité en toute sérénité.


Notre mission : faciliter votre quotidien de professionnel de santé libéral en vous proposant des solutions adaptées et des articles utiles à l’exercice de votre pratique professionnelle.

Le site internet de Medicalib permet aux patients de prendre facilement rendez-vous avec une infirmière à domicile.

Grace à notre plateforme nous pouvons vous accompagner dans le développement de votre patientèle et dans l’optimisation de votre tournée.

Image of Osteopath Gabriele Giordano

Un nouvel ostéopathe associé rejoint la clinique du centre de Londres de Robin Kiashek | Thierry Payet

Un nouvel associé a rejoint la Central London Osteopath Clinic de Robin Kiashek à Soho.

L’ostéopathe Gabriele Giordano, titulaire d’une maîtrise en médecine ostéopathique de l’Université Collège Universitaire d’Ostéopathie. Il sera basé à la clinique de Regent Street un jour par semaine, offrant une gamme de traitements :

  • Ostéopathie / Ostéopathie crânienne
  • Ventouses
  • Aiguillage à sec
  • Massage sportif

Une vaste expérience

En plus de ses connaissances en tant qu’ostéo, Gabriele apporte avec lui une foule d’autres expériences. Il est qualifié en tant qu’entraîneur personnel, masseur sportif et thérapeute en ventouses.

Gabriele est inscrite au Conseil Général d’Ostéopathie (les régulateurs des ostéopathes au Royaume-Uni) et le Institut de massage sportif et réparateur. Il est un expert des problèmes musculaires liés au sport, des blessures et de l’aide posturale. Gabriele s’intéresse également à la musculation professionnelle. Pendant son temps en tant qu’ostéopathe, il a soutenu une équipe de terrain de l’équipe de Premier League Hockey. Et a fait la même chose du côté du ring pour un boxeur professionnel.

Nous avons rencontré Gabriele pour en savoir plus sur lui.

Pourquoi avez-vous décidé de devenir ostéopathe ?

« J’ai toujours été fasciné par l’anatomie et la physiologie. Au départ, je voulais étudier la médecine à l’université.

« Cependant, après une série de blessures, j’ai consulté un ostéopathe. L’approche holistique du traitement ainsi que la forte composante médicale m’ont fait reconsidérer la médecine et étudier la médecine ostéopathique à la place.

Qu’est-ce que tu préfères dans le métier d’ostéo et pourquoi ?

«La résolution de problèmes nécessitait de comprendre ce que le patient traverse, le processus de diagnostic, puis d’adapter et de personnaliser un plan de traitement approprié. C’est pourquoi, parallèlement à mon ostéopathie, je suis aussi Massothérapeute du Sport et Cupping Therapist.

« L’ostéopathie me permet d’utiliser toutes ces techniques pour bien cerner les besoins du patient. J’adore cet aspect du rôle.

Pourquoi avez-vous décidé de vous qualifier en cupping ? Et quels sont les avantages des ventouses ?

« J’ai étudié les ventouses parce que c’est étroitement lié à la croyance ostéopathique selon laquelle la règle de l’artère est suprême. Cette théorie est que lorsque le sang et les lymphatiques circulent librement, les tissus peuvent remplir leurs fonctions physiologiques sans entrave.

« Avoir le pouvoir de manipuler le sang à l’aide d’une aspiration me permet d’influencer cela à un niveau direct en utilisant une pression négative à l’intérieur de la tasse.

« Les gens reçoivent des ventouses à de nombreuses fins. Y compris pour aider à soulager la douleur, l’inflammation, la circulation sanguine, la relaxation et le bien-être. Également comme type de massage des tissus profonds pour réduire la tension musculaire.

Gabriele travaillera à la Central London Osteopath Clinic de Regent Street tous les mercredis de 9h à 20h. Vous pouvez réserver avec lui par SMS au 07951163337 ou par e-mail : Gabgiotherapy@gmail.com

Gardening Tips to Prevent Pain

Conseils de jardinage pour prévenir la douleur – East Gippsland Osteopathic Clinic | Thierry Payet

Alors que le soleil brille, les bulbes apparaissent et les jours s’allongent un peu – il doit être temps de sortir et de blitzer le jardin.

C’est en effet la période de l’année où les jardiniers se précipitent partout dans leurs jardins avec enthousiasme – et sans se soucier de savoir s’ils sont physiquement préparés pour l’exercice qu’ils sont sur le point de faire.

Voici donc quelques conseils de jardinage pratiques qui peuvent vous aider à prévenir toute blessure dans le jardin ce printemps.

Les 10 meilleurs conseils pour un jardinage sans douleur

1 – Échauffement

Le jardinage est une activité physique et comme tout autre exercice, il faut échauffer les muscles avant de commencer et s’étirer ensuite. Quelques exercices de flexibilité avant de commencer le travail et 5 minutes d’étirements et un bain chaud après aideront à prévenir les raideurs le lendemain.

2 – Prenez votre rythme

Commencez lentement et augmentez votre charge de travail sur plusieurs semaines. Il est plus sûr de grignoter les travaux pendant une heure, quelques fois par semaine, puis de penser que votre corps fera face à 3 jours complets de creusement. Vous n’irez pas au gymnase pendant 5 heures après un hiver d’inactivité sans vous attendre à souffrir de douleurs ou de raideurs, ou d’une éventuelle blessure.

3 – Variez votre activité

Essayez de varier vos activités dans le jardin, évitez des heures à creuser ou à vous pencher d’un seul coup et dans le même sens. Essayez de ne pas trop vous allonger et utilisez quelque chose de doux pour vos genoux si vous vous agenouillez beaucoup. Laissez le temps à vos muscles de se reposer en limitant chaque activité à ½ heure avant de faire une pause ou de passer à une autre tâche. Promenez-vous un peu pour voir ce que vous avez accompli !

4 – Soulevez correctement

Un levage incorrect est la principale cause de blessures au dos dans le jardin – soulevez toujours avec les genoux pliés et le dos droit (pensez à la posture d’un haltérophile) et gardez l’objet près de votre corps. Utilisez une aide au levage ou demandez de l’aide avant de déplacer des casseroles lourdes – la lame d’une bêche peut également être utilisée sous une casserole pour agir comme un traîneau et vous permettre de pousser une casserole.

5 – Effacer au fur et à mesure

Il est trop facile de construire un tas de végétation de plus en plus grand que l’on essaie de déplacer d’un seul coup à la fin d’une longue journée, quand on est fatigué et qu’on a froid. Il est préférable de faire plusieurs allers-retours plus légers au tas de compost tout au long de la journée ; pour vous aider à éviter le risque de blessure au dos qui pourrait vous empêcher de jouer pendant des semaines.

6 – Écoutez votre dos

Si vous commencez à ressentir des douleurs dans le dos pendant que vous jardinez, ARRÊTEZ ; les roses peuvent attendre. La douleur est la façon dont votre dos indique qu’il est fatigué et donc vulnérable aux blessures.

7 – Obtenez les bons outils

Il existe une telle gamme d’équipements conçus pour vous faciliter la vie dans le jardin ; les houes, les sécateurs et les fourches à long manche limiteront le temps passé à se pencher. Allez, fais-toi plaisir ! Oh, et n’oubliez pas votre chapeau et votre crème solaire et buvez beaucoup d’eau aussi.

8 – Plates-bandes surélevées

Si vous réaménagez un jardin, essayez d’incorporer des plates-bandes surélevées dans la mesure du possible – apportez les plantes à vous pour éviter de vous pencher autant.

9 – Après les soins

Lorsque vous terminez une dure journée dans le jardin, prenez un bain chaud avec une poignée de sels d’Epsom ou utilisez une bouillotte pendant 20 minutes, pour aider à réduire le risque de se sentir grippé le lendemain.
S’effondrer sur le canapé avec un verre de vin pour tout votre bon travail peut sembler attrayant, mais vous aurez peut-être du mal à vous lever après ! Il ne faut pas grand-chose pour que vos articulations et vos muscles se raidissent lorsqu’ils se refroidissent après l’avoir trop fait.

10 – Demander conseil

Si les douleurs post jardinage ne s’installent pas en 3 à 4 jours, faites-vous conseiller ou soigner par l’un de nos ostéopathes. Si vous savez déjà que vous avez un problème de dos, un bilan avant de vous lancer dans le jardin pourrait vous éviter des semaines de douleur.

Surtout, prenez soin de vous afin que vous puissiez continuer à profiter de votre jardinage….

References
Better Health Channel. (2015). Exercise safety. https://www.betterhealth.vic.gov.au/health/HealthyLiving/exercise-safety

Footwear for Health

Chaussures pour la santé – Clinique d’ostéopathie East Gippsland | Thierry Payet

Comment savoir si vos chaussures vous soutiennent réellement dans la vie de tous les jours ? Qu’est-ce qui différencie une « bonne » et une « mauvaise » chaussure ? Parlons de chaussures pour la santé.

Une étude américaine de 2018 a montré qu’entre 62 et 73 % de la population portait des chaussures mal ajustées. En particulier les enfants, les personnes âgées et les diabétiques. Il a été prouvé que des chaussures mal ajustées entraînent un risque accru de douleur au pied.

Donc, choisir la bonne pointure est une chose, mais s’assurer qu’il s’agit en fait d’une « bonne » chaussure en est une autre. Encore une fois, qu’est-ce qui fait une bonne chaussure ? Nous discuterons de certains des détails plus tard, mais l’une des principales caractéristiques est sa capacité à fournir un onde de choc réduite pendant le mouvement.

La recherche montre que les femmes en particulier sont plus susceptibles de porter des chaussures de mauvaise qualité, à la fois en termes de taille et de capacité à réduire les chocs. En conséquence, les quelques femmes qui portez des chaussures réduisant les chocs sont 67 % moins susceptibles d’éprouver des douleurs à l’arrière-pied.

Nous vous recommandons fortement de tenir compte de ce qui suit lors de l’achat de votre prochaine paire de chaussures. Lorsqu’elles sont choisies correctement, les chaussures contribuent à la santé de vos pieds à long terme. Ils contribuent également à faciliter l’activité physique, à améliorer votre posture et à réduire les risques de blessure !

Vous trouverez ci-dessous une liste complète des éléments les plus importants à garder à l’esprit lors de l’achat de votre prochaine paire de chaussures :

  • Tes pieds gonflent après l’effort et/ou en fin de journéealors essayez vos chaussures lorsque vos pieds sont les plus larges.
  • Assurez-vous portez les chaussettes que vous utiliseriez habituellement pour le type d’activité pour lequel vous utiliserez les chaussures.
  • Avoir ton pieds mesurés à chaque fois! Vos pieds peuvent s’allonger ou s’élargir avec l’âge, changer de taille avec la prise ou la perte de poids et nécessiter des chaussures plus longues si votre voûte plantaire chute. Ne présumez pas que vous aurez toujours besoin de la même taille. Il est également assez courant d’avoir un pied légèrement plus long que l’autre. Tant que la différence n’est pas significative, il est toujours recommandé d’acheter la taille qui convient au pied le plus large.
  • Le partie la plus large de la chaussure doit coïncider avec la partie la plus large de votre pied.
  • Tous vos les orteils ont besoin de marge de manœuvre. Assurez-vous d’avoir un espace d’au moins 1 à 1,5 cm entre les orteils et le bout de la chaussure. Vous apprécierez l’espace lorsque votre pied bougera en marchant ou en courant ! REMARQUE : parfois, votre doigt le plus long est le deuxième orteil, pas le premier.
  • Les chaussures doivent être confortable dès que vous les enfilez. Ne présumez pas qu’ils vont « entrer par effraction ». La santé de vos pieds peut en souffrir entre-temps, et rien ne garantit que la situation s’améliorera avec le temps.
  • Chaussures avec les lacets sont préférables aux slip-ons. Les chaussures de type slip-on sont naturellement plus fines afin que le pied ne glisse pas, ce qui exerce une pression inutile sur le pied. Les chaussures à lacets sont également plus ajustables pour plus de confort.
  • Essayez d’éviter les talons hauts. Plus le talon est haut, plus le stress et les crampes se produisent sur les orteils avec le mouvement, ce qui exerce une pression sur l’avant-pied et modifie considérablement votre posture et la répartition globale de la charge à travers de nombreuses articulations différentes.
  • Assurez-vous de marcher ou courir au moins quelques pas dans les nouvelles chaussures. Ils doivent être confortables pour n’importe quelle activité pour laquelle vous avez l’intention de les utiliser. Nous vous conseillons également fortement d’acheter le type de chaussures spécifique recommandé pour chaque sport/activité, car elles seront spécifiquement conçues pour répondre à vos besoins.
  • La chaussure doit serre ton talon suffisamment fermement pour qu’il ne glisse pas lorsque vous bougez, mais pas trop serré pour ne pas vous causer de douleur physique ou d’inconfort.
  • Assurez-vous qu’ils sont Assez large. Vous ne devriez jamais vous sentir écrasé à aucun moment dans vos nouvelles chaussures. Si cela se produit, demandez s’ils stockent une taille plus large. Augmenter une taille en longueur – mais pas en largeur – peut ne pas résoudre le problème.
  • Assurez-vous que le intérieur de la chaussure n’irritera pas ou ne causera pas d’inconfort pour votre pied – la vérification des étiquettes, des coutures ou d’autres matériaux ne prend qu’un moment mais peut faire une énorme différence pour la santé des pieds.
  • Examiner les semelles. La chaussure est-elle capable de vous soutenir ? Protéger des objets nuisibles ? Favorise-t-il un mouvement sain du pied? Si vous n’êtes pas sûr, un moyen rapide de tester est de vous assurer qu’il a une légère capacité de flexion et de torsion autour de la semelle, mais qu’il ne peut pas se plier/se tordre en deux. Le talon doit également être soutenu et pas trop plié. Assurez-vous de ne pas acheter quelque chose avec trop ou trop peu de mouvement disponible. Il doit également avoir une prise adéquate. En cas de doute, essayez de marcher sur différentes surfaces telles que la moquette et les sols durs avant d’acheter.

Et pour finir : un conseil pratique lorsque vous magasinez des chaussures est d’emporter avec vous un tracé de votre pied. Si la chaussure est trop étroite ou trop courte lorsqu’elle est maintenue contre le tracé, ne vous embêtez même pas à les essayer !

Si vous avez d’autres questions ou si vous souffrez de douleurs aux pieds – ou d’une mauvaise posture liée à vos pieds – n’hésitez pas à venir nous voir. Vous pouvez réserver en ligne à tout moment.

Ici, à la East Gippsland Osteopathic Clinic, nous avons également été formés pour effectuer des évaluations de chaussures individualisées et aider à recommander une prescription d’insert de contrôle postural pour aider ceux qui ont besoin d’un soutien supplémentaire pour les pieds et la posture. Vous pouvez lire plus ici.

References
Better Health Channel. (2014). Footwear for healthy feet. https://www.betterhealth.vic.gov.au/health/conditionsandtreatments/footwear-for-healthy-feet
Better Health Channel. (2017). Choosing the right shoe. https://www.betterhealth.vic.gov.au/health/healthyliving/Choosing-the-right-shoe
Buldt, A. K., & Menz, H. B. (2018). Incorrectly fitted footwear, foot pain and foot disorders: a systematic search and narrative review of the literature. Journal of Foot and Ankle Research, 11(1), 43. https://doi.org/10.1186/s13047-018-0284-z 
Dufour, A. B., Broe, K. E., Nguyen, U. S. D., Gagnon, D. R., Hillstrom, H. J., Walker, A. H., Kivell, E., & Hannan, M. T. (2009). Foot pain: is current or past shoewear a factor? Arthritis care & research, 61(10), 1352-1358. https://doi.org/10.1002/art.24733

eczéma infantile

comment l’identifier ? Santé sur le Net | Thierry Payet

Environ 1 enfant sur 10 est touché par l’eczéma du nourrisson avant l’âge de deux ans. L’eczéma du nourrisson, ou dermatite atopique, peut fortement impacter la qualité de vie du jeune enfant et favoriser la survenue d’autres pathologies allergiques. Récemment, des chercheurs ont tenté d’identifier un biomarqueur de l’eczéma pour repérer précocement les enfants à risque. Explications.

eczéma infantile

L’eczéma du nourrisson et du jeune enfant, un facteur de risque d’allergie sévère

L’eczéma du nourrisson ou dermatite atopique débute généralement entre l’âge de 3 mois et 2 ans. Il est souvent en lien avec une allergie alimentaire et évolue par poussées successives. Les lésions cutanées sont des plaques rouges, qui peuvent apparaître sur le visage, les plis, puis les bras et les jambes. Bénignes, elles sont néanmoins associées à des démangeaisons intenses, qui peuvent modifier le comportement du jeune enfant : irritabilité, fatigue, troubles du sommeil,…

Outre le risque de surinfection des lésions en cas de grattage, l’eczéma du jeune enfant est associé à un risque doublé de développer un asthme et à un risque augmenté de 30 % de développer une rhinite allergique au cours de la vie. L’eczéma du jeune enfant constitue donc un facteur de risque d’atopie parfois sévère, associé à une dégradation de la qualité de vie au cours de l’adolescence ou de l’âge adulte.

Comment prédire le risque d’eczéma du nourrisson avant les premiers symptômes ?

Pour mieux anticiper ces risques, il est important de pouvoir repérer précocement les enfants touchés par l’eczéma du nourrisson, même avant l’apparition des premiers symptômes. Ce repérage précoce nécessite d’identifier des biomarqueurs prédictifs de l’apparition de l’eczémades biomarqueurs jusqu’ici inconnus. Dans une récente étude, des chercheurs ont cherché à mettre en évidence de tels marqueurs en analysant des échantillons de la couche cornée cutanée de 111 nourrissons âgés de 2 mois.

Certains nourrissons avaient des antécédents familiaux de maladies atopiques (groupe à risque), d’autres non (groupe témoin). A leur inclusion dans l’étude, les nourrissons ne présentaient aucun signe d’eczéma du nourrisson. Ils ont ensuite été surveillés pendant 2 ans pour suivre l’éventuelle apparition de lésions cutanées caractéristiques. Au total, près de 30 % des nourrissons du groupe à risque ont développé un eczéma du nourrisson dans les deux ans, contre seulement 13,5 % dans le groupe témoin.

Prédire le risque d’eczéma dès l’âge de 2 mois chez les enfants avec des antécédents familiaux

L’analyse de la couche cornée cutanée des enfants des deux groupes a permis de mettre en évidence des différences de composition lipidique. Chez les enfants ayant développé par la suite un eczéma du nourrisson, la couche cornée contenait, par rapport aux enfants sans atteinte cutanée :

  • Moins de céramides liées aux protéines ;
  • Plus de sphingosines d’acides gras non hydroxylés à chaîne courte ;
  • Plus de sphingomyéline insaturées ;
  • Plus de céramides de sphingosine d’acides gras non hydroxylés à chaîne courte.

Parallèlement, deux cytokines étaient augmentées dans la couche cornée des enfants ayant ensuite développé un eczéma du nourrisson : la lymphopoïétine stromale thymique et l’interleukine-13. En combinant l’ensemble des éléments observés (antécédents familiaux, modification de la composition lipidique de la couche cornée et augmentation de deux cytokines), l’analyse statistique révélait un fort pouvoir de prédiction de l’eczéma du nourrisson. La réalisation de bandelettes cutanées chez des nourrissons âgés de 2 mois sans aucun symptôme cutané pourrait permettre de prédire le risque d’eczéma et donc le risque de maladies atopiques chez l’enfant. Les enfants à risque pourraient ainsi bénéficier d’un suivi spécifique et de mesures de prévention adaptées.

Estelle B., Docteur en Pharmacie

Sources

– Les biomarqueurs lipidiques et cytokines de la couche cornée à l’âge de 2 mois prédisent l’apparition future de la dermatite atopique. www.jacionline.org. Consulté le 12 avril 2023.
– ECZÉMA DU NOURRISSON. www.vidal.fr. Consulté le 12 avril 2023.
hypertension artérielle et ultrasons

Des ultrasons contre l’hypertension artérielle non contrôlée ? | Thierry Payet

Bien que de nombreux médicaments contre l’hypertension artérielle existent sur le marché, cette pathologie reste encore mal contrôlée chez près de 50% des patients qui en souffrent. Des scientifiques français et américains ont récemment démontré les bénéfices d’une nouvelle technique. Chez les patients souffrant d’hypertension artérielle non contrôlée, cette technique s’appuie sur l’émission d’ultrasons. On fait le point.

hypertension artérielle et ultrasons

L’hypertension artérielle : une pathologie encore mal contrôlée

Touchant près de 30% de la population française, l’hypertension artérielle désigne une maladie pouvant être à l’origine  de complications cardiovasculaires ou rénales graves, parfois mortelles. Si de nombreux médicaments contre l’hypertension artérielle existent sur le marché,  il faut savoir que cette pathologie reste encore mal contrôlée chez près de 50% des patients qui en souffrent.

Dans ce contexte, une nouvelle technique appelée « dénervation rénale par voie endovasculaire » a été élaborée par des chercheurs pour tenter de pallier ce problème. Cette technique s’appuie sur l’émission d’ultrasons via un cathéter. Les ultrasons sont chargés d’interrompre l’activité électrique des nerfs du système nerveux sympathique à destinée rénale. De premiers résultats positifs ayant été observés chez des patients souffrant d’hypertension artérielle résistante aux traitements, les scientifiques ont entrepris de mettre sur pied une nouvelle étude de phase III.

À savoir ! La thérapie par ultrasons est délivrée aux nerfs grâce à un cathéter inséré dans une veine de la jambe ou du poignet du patient et lié au rein. Cette technique a pour but de « calmer » les nerfs hyperactifs situés dans l’artère rénale car ces nerfs perturbent les signaux et conduisent à l’hypertension.

Des ultrasons contre l’hypertension artérielle

Cette étude d’envergure internationale a rassemblé des scientifiques du Centre d’Excellence en Hypertension Artérielle de l’hôpital européen Georges-Pompidou AP-HP, de l’Université Paris Cité, de l’Inserm et de l’hôpital Presbytérien de New-York.

L’objectif affiché ? Comparer la dénervation rénale par ultrasons à une « fausse» intervention. Pour cela, 224 patients ont été recrutés et répartis en deux groupes. Tous souffraient d’une hypertension artérielle non contrôlée (sans médicament ou malgré la prise de un à deux médicaments antihypertenseurs).

Pour les besoins de l’étude, les participants ont du interrompre leur traitement antihypertenseur pendant 3 mois et ont été placés sous surveillance médicale. Les chercheurs ont alors pu observer les résultats suivants :

  • Réduction de la pression artérielle en journée de 7,9 mmHg à 2 mois dans le groupe de patients ayant subi la dénervation rénale.
  • Réduction de la pression artérielle en journée de 1,8 mmHg dans le groupe « fausse intervention ».
  • Concordance des effets sur la pression artérielle nocturne et sur la mesure de la tension en clinique et en auto-mesure à domicile.
  • Pas de complication grave de l’intervention.

Vers une nouvelle stratégie de prise en charge ?

Récemment publiés dans le JAMA, ces résultats démontrent ainsi que la dénervation rénale par ultrasons permet de réduire considérablement la pression artérielle chez les patients. Ces conclusions sont confortées par celle d’une méta-analyse regroupant les données de plus de 500 patients souffrant d’hypertension artérielle à différents stades de gravité.

Cette nouvelle technique pourrait jouer à terme un rôle intéressant dans la prise en charge des patients souffrant d’hypertension artérielle sévère et/ou résistante aux traitements antihypertenseurs. Les chercheurs précisent qu’ils voient en cette technique un complément d’une stratégie médicamenteuse et de changements de mode de vie chez les patients souffrant d’hypertension non contrôlée… L’objectif ultime étant de mieux contrôler la pression artérielle pour prévenir des atteintes rénales et d’autres conséquences d’une pression artérielle incontrôlée.

Déborah L., Docteur en Pharmacie

Sources

– Hypertension artérielle : le bénéfice d’une thérapie par ultrasons montré. presse.inserm.fr. Consulté le 5 avril 2023.