Avantages du Pilates clinique

Avantages du Pilates clinique – Clinique d’ostéopathie East Gippsland | Thierry Payet

Avantages du Pilates clinique

Avantages du Pilates clinique

Le Pilates clinique peut avoir un énorme avantage pour notre santé, y compris la posture, la force de base et le contrôle de notre corps à travers les mouvements quotidiens.

Le Pilates clinique a commencé dans les années 1920 avec Joseph Pilates, qui croyait que des exercices doux et contrôlés aidaient à améliorer la santé et la force en général. Il pensait qu’en effectuant ces exercices, cela aidait à l’alignement et à l’équilibre du corps, ce qui prévenait les blessures et la douleur.

Clinical Pilates se concentre sur quelques domaines clés, notamment; la respiration, la posture, la concentration et le contrôle des mouvements, en maintenant une posture neutre notamment au niveau de la colonne lombaire, du bassin, du cou et des épaules tout en exécutant les mouvements.

Une grande partie du Pilates est le contrôle de base et la force des muscles abdominaux profonds. En entraînant nos muscles abdominaux profonds à s’activer tout en effectuant des mouvements fonctionnels, cela se répercutera ensuite dans les activités quotidiennes et encouragera le noyau à s’activer pendant que nous soulevons, nous penchons, portons, pour éviter les blessures.

Le Pilates complète le traitement ostéopathique, car il encourage l’équilibre de la colonne vertébrale et du bassin et une posture correcte tout au long du mouvement. Les exercices cliniques de Pilates varient de petits mouvements simples axés sur le contrôle, puis progressent vers des exercices plus avancés axés sur la force globale. Il existe des niveaux d’exercice appropriés pour les personnes de tous les stades de forme physique et de tous les âges. Il peut également être un excellent outil de gestion de la douleur et des blessures.

Si vous recherchez quelque chose de plus pour aider à gérer les blessures et la douleur, ou si vous souhaitez simplement améliorer votre force et votre santé en général, contactez-nous ici à la clinique d’ostéopathie East Gippsland. Vous pouvez réserver votre rendez-vous en ligne ici.

Femme qui casse son miroir, cela représente les journées mondiales de la schizophrénie

Les journées de la schizophrénie : La 20ème édition | Thierry Payet

Depuis 20 ans, Positive Minders organise chaque année les journées de la schizophrénie pour sensibiliser le grand public sur cette pathologie mentale particulièrement stigmatisante. Cette année, elles auront lieu du 18 au 25 mars 2023, sur le thème suivant : « sortons des cases qui stigmatisent, parlons des schizophrénies ». L’occasion de faire le point sur les 35 formes de schizophrénies qui touchent plus de 600 000 Français.

Femme qui casse son miroir, cela représente les journées mondiales de la schizophrénie

35 formes de schizophrénie !

Chaque année, plus de 10 000 nouveaux cas de schizophrénie sont diagnostiqués en France, le plus souvent entre 15 et 25 ans. Pour l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), la schizophrénie entre dans les dix maladies les plus invalidantesavec une espérance de vie réduite en moyenne de dix ans. Organiser des journées dédiées à la schizophrénie permet de sensibiliser sur cette maladie qui reste encore très peu connue du grand public.

Il n’existe pas une schizophrénie, mais 35 formes différentes des formes de nature et de sévérité très variées. L’association Positive Minders a mobilisé des experts (chercheurs, psychiatres et psychologues) pour expliquer ces différentes formes, leur évolution et les traitements disponibles. Le plus souvent, la population reste cantonnée à l’idée du patient schizophrène, fou et dangereux, capable de passer à l’acte à n’importe quel moment. Les patients sont alors le plus souvent stigmatisés, exclus et s’isolent.

Une expérience musicale pour s’immerger dans le monde de cette pathologie

Pour les journées de la schizophrénie 2023, l’association Positive Minders a eu l’idée d’une communication positive et originale, basée sur une expérience immersive musicale. Les morceaux ont été inspirés par des patients schizophrènes et composés par ParaOne (Jean-Baptiste de Laubier), un producteur de musique électronique. La création musicale inédite, Entendre en languesa été créée pour retranscrire au mieux la grande diversité des parcours des patients schizophrènes. Cette création originale serait à découvrir en libre écoute à partir du 16 mars 2023 sur un site internet dédié : https://schizarmonie.com/.

L’écoute de cette composition musicale inédite peut être complétée du making-of, de témoignages de patients schizophrènes et d’informations relatives à la prévention et à l’accompagnement de toutes les formes de schizophrénie. La campagne lancée par Positives Minders sera également affichée dans toutes les villes de France, avec une campagne sur les réseaux sociaux et une promotion dans les salles de cinéma et sur les chaînes de télévision.

Des événements partout en France pour les journées de la schizophrénie

D’autres événements sont programmés pour ces journées de la schizophrénie 2023, avec entre autres une trentaine d’événements virtuels sur la Maison virtuelle de la psychiatriemais aussi des événements présentiels dans une dizaine de pays francophones. Pour celles et ceux qui souhaitent aller encore plus loin, une application mobile, Quiz psychologiquesera lancée officiellement lors des journées schizophrénies et permettra à chacun de tester ses connaissances sur la schizophrénie.

Le diagnostic de schizophrénie tombe souvent comme un couperet, alors que la plupart des patients vont voir leur diagnostic évoluer tout au long de leur prise en charge. Cette situation est liée à l’absence de marqueurs biologiques fiables pour diagnostiquer avec certitude la schizophrénie. L’accompagnement et la prise en charge précoce et personnalisée des patients sont également des enjeux majeurs. La prise en charge repose le plus souvent sur des traitements médicamenteux, associés à des thérapies cognitives et psychosociales. Bien conduite, elle permet un rétablissement durable d’environ 80 % des patients. Un chiffre loin des clichés sur la schizophrénie !

Estelle B., Docteur en Pharmacie

Sources

Femme prenant son tour de taille journée mondiale de l'obésité

Journée mondiale contre l’obésité, le 4 mars | Thierry Payet

Entre 1975 et 2016, selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), la prévalence mondiale de l’obésité a pratiquement triplé. Aux USA, environ 30 % seulement de la population a un poids considéré comme normal. L’obésité touche les hommes comme les femmes, les adultes comme les enfants, aussi bien dans les pays occidentaux que dans les pays en voie de développement. Le 4 mars est consacré à la journée mondiale contre l’obésité, l’occasion de poursuivre la lutte contre le surpoids, mais aussi contre les idées reçues.

Femme prenant son tour de taille journée mondiale de l'obésité

L’obésité est une maladie chronique

L’obésité et le surpoids touchent la France comme d’autres pays européens. Au fil des années, le diagnostic et la prise de cette pathologie multifactorielle ont beaucoup évolué, grâce à l’évolution des connaissances sur les causes, les mécanismes, les conséquences et les traitements possibles de l’obésité. En témoigne la publication récente de nouvelles recommandations de la Haute Autorité de Santé (HAS) pour la prise en charge et le suivi de l’obésité des adultes.

Très récemment, la HAS a publié le nouveau guide des soins, de l’accompagnement et du suivi global de l’adulte en surpoids ou obèse. Ce guide comprend notamment huit fiches destinées aux différents professionnels impliqués dans la prise en charge multidisciplinaire de l’obésité : le médecin traitant, le psychologue, le travailleur social, l’enseignant en activité physique adaptée (APA), le diététicien, l’infirmier, le kinésithérapeute, l’ergothérapeute et le psychomotricien.

La lutte contre les idées reçues sur l’obésité et la stigmatisation

Ce guide insiste par ailleurs sur 14 messages clés destinés à améliorer les pratiques de l’ensemble des professionnels concernés par la prise en charge de l’obésité. L’objectif est de permettre un dépistage le plus précoce possible associé à une évaluation précise des habitudes de vie (alimentation, activité physique, sédentarité). Parmi ces messages, figurent notamment l’implication forte du patient dans la construction du projet de soins personnalisés, l’évaluation systématique de tout facteur de vulnérabilité (difficultés psychologiques, troubles psychiatriques, difficultés sociales, familiales ou professionnelles), mais aussi le repérage et la prévention de la stigmatisation.

La grossophobie qui se définit comme « l’attitude de discrimination envers les personnes obèses ou en surpoids » représente en effet un écueil important pour la prise en charge et l’accompagnement des personnes en situation de surpoids. Elle démontre à quel point l’obésité reste une maladie méconnue et mal comprise de la population, mais aussi de certains professionnels. Il faut pourtant savoir que l’obésité est une maladie chronique, très souvent liée à une prédisposition génétique ou encore que certaines formes d’obésité sont associées à la prise de médicaments.

Durant la journée mondiale de l’obésité participer au « kilomètre contre l’obésité »

La journée mondiale contre l’obésité a notamment pour vocation de changer le regard sur les personnes en situation de surpoids, pour lutter contre la stigmatisation et la discrimination dont elles sont victimes. Dans le cadre de la journée mondiale du 4 mars, est organisé le challenge connecté « kilomètre contre l’obésité ». Pendant une semaine, tous ceux et toutes celles qui le souhaitent pourront participer à cette initiative, en marchant, en courant, en nageant ou encore en pédalant au nom de la lutte contre l’obésité.

Sur le site de la journée mondiale contre l’obésité ou sur l’application Décathlon Coach, chaque participant pourra comptabiliser ses heures d’activité physique. Une carte des événements organisés partout sur le territoire sera disponible sur le site de la journée mondiale. En contribuant au succès de cette journée, chacun peut participer à faire connaître l’obésité, une maladie aux conséquences importantes sur la vie quotidienne, sur la santé physique comme mentale !

Estelle B., Docteur en Pharmacie

Sources

– Samedi 4 mars 2023, journée mondiale contre l’obésité. journeemondialecontrelobesite.com. Consulté le 20 février 2023.
– Guide du parcours de soins : surpoids et obésité de l’adulte. has-sante.fr. Consulté le 20 février 2023.
Femme ayant un sommeil irrégulier n'arrivant pas à dormir

Un sommeil irrégulier favoriserait l’athérosclérose ! | Thierry Payet

L’athérosclérose contribue fortement à la survenue d’accidents cardiovasculaires, 80 % des morts subites seraient ainsi liées à la rupture d’une plaque d’athérome selon l’INSERM. Pour les chercheurs, il est capital de comprendre comment se forment ces plaques, et comment elles peuvent se rompre ou boucher l’artère pour provoquer l’accident cardiovasculaire. Une récente étude suggère qu’un sommeil irrégulier pourrait favoriser l’athérosclérose. Explications.Femme ayant un sommeil irrégulier n'arrivant pas à dormir

De l’athérosclérose à l’accident cardiovasculaire

L’athérosclérose correspond au dépôt sur la paroi des artères de plaques d’athérome (des plaques qui sont essentiellement constituées de graisses), induisant des modifications dans le calibre des vaisseaux, mais aussi sur la structure même de la paroi des vaisseaux sanguins. Il s’agit d’un facteur de risque cardiovasculaire majeurcar les plaques d’athérome peuvent provoquer une obstruction d’une artère ou se rompre, ces deux situations pouvant entraîner des accidents cardiovasculaires majeurs, potentiellement mortels.

Avec l’âge, tous les adultes développent des plaques d’athéromemais l’athérosclérose est plus ou moins forte selon le mode de vie. Elle est accentuée en cas de sédentarité, de tabagisme ou en présence de certains autres facteurs de risque cardiovasculaire, comme les troubles lipidiques, l’obésité ou l’hypertension artérielle. Limiter la formation des plaques d’athérome et leur évolution est essentiel pour limiter le risque d’accidents cardiovasculaires, la mortalité cardiovasculaire étant la seconde cause de mortalité en France.

Le sommeil impliqué dans l’athérosclérose ?

Dans ce contexte, des chercheurs se sont intéressés de près au rôle du sommeil dans le phénomène d’athérosclérose. Des études antérieures ont en effet suggéré un lien entre un sommeil irrégulier et l’incidence des maladies cardiovasculaires. Récemment, des chercheurs ont mené une étude multi-ethnique de l’athérosclérose en prenant en compte la durée du sommeil et la régularité du sommeil. Au total, 2 032 participants ont été inclus dans cette étude, avec un âge moyen de 68,6 ans. Leur sommeil a été suivi par actimétrie sur une période de 7 jours.

À savoir ! L’actimétrie consiste à enregistrer les mouvements corporels sur plusieurs jours grâce à un bracelet porté au poignet. Les enregistrements obtenus permettent d’analyser le rythme veille-sommeil (horloge interne), la durée et la qualité du sommeil

Parallèlement à l’étude du sommeil, plusieurs paramètres de l’athérosclérose ont été pris en compte par les chercheurs : le calcium de l’artère coronaire, la présence de plaque d’athérome au niveau de l’artère carotidienne, l’épaisseur de la paroi de l’artère carotidienne et l’index bras-cheville (qui permet d’évaluer la pression artérielle).

Un sommeil irrégulier en durée et en horaire favoriserait l’athérosclérose

Après ajustement des données, les participants ayant un sommeil irrégulier (écarts de plus de 120 minutes entre les durées de sommeil d’une nuit à l’autre) étaient plus exposés à un niveau élevé de calcium dans les artères coronaires et un index bras-cheville anormal, par rapport aux participants ayant une durée de sommeil régulière (écart de moins de 60 minutes d’une nuit à l’autre). De même, un horaire de sommeil irrégulier (écart de plus de 90 minutes d’une nuit à l’autre) était associé à une charge supérieure en calcium dans les artères coronaires, par rapport à un horaire régulier de sommeil (écart de moins de 30 minutes d’une nuit sur l’autre).

Les associations ainsi mises en évidence restaient significatives après l’ajustement des données sur les facteurs de risque cardiovasculaires et sur d’autres paramètres du sommeil (durée moyenne, syndrome d’apnée du sommeil et fragmentation du sommeil). Ces données mettent en évidence que l’irrégularité du sommeil peut favoriser l’athérosclérose et donc les accidents cardiovasculaires, à la fois l’irrégularité de la durée de sommeil et l’irrégularité de l’horaire de sommeil. Prendre soin de son sommeil, c’est prendre soin de ses artères et donc de son cœur !

Estelle B., Docteur en Pharmacie

Sources

– Irrégularité du sommeil et marqueurs subcliniques des maladies cardiovasculaires : l’étude multiethnique de l’athérosclérose. ahajournals.org. Consulté le 21 février 2023
Conseils de Noël

Conseils de Noël – Clinique d’ostéopathie East Gippsland | Thierry Payet

Conseils de Noël

Conseils de Noël

Noël approche à grands pas ! Ce qui peut signifier des niveaux de stress supplémentaires, en particulier le week-end lorsque nous essayons de nous entasser dans les achats de Noël et que nous nous soumettons à porter ces sacs de courses chargés de cadeaux à travers la foule. Ajoutez à cela la pression supplémentaire du nettoyage de la maison, de la préparation des aliments et de la cuisine pour vos amis et votre famille lorsqu’ils viennent vous rendre visite. De plus, il y a toujours ce voyage dans le grenier pour descendre les décorations de Noël et le sapin ! Bien que les préparatifs soient amusants, il y a toujours tant de choses à faire sur la liste de Noël alors que vous vous préparez pour le grand jour ! Mais attention, cela peut ajouter des torsions et des tensions supplémentaires sur votre dos, alors voici mes conseils pour passer un Noël sans douleur !

Lorsque vous voyagez en voiture pour rendre visite à votre famille et à vos amis, cela peut signifier rester assis dans la même position pendant de longues périodes, alors assurez-vous lorsque vous vous arrêtez pour une pause que vous essayez de vous promener, même si vous faites des tours autour de votre voiture.

Lorsque vous mettez des bagages ou des cadeaux dans la voiture, évitez de soulever avec une torsion et soulevez droit avec les genoux pliés. Essayez de vous donner le plus d’espace possible tout en étant près de la voiture, cela évitera d’atteindre lorsque vous soulevez vos bagages dans et hors de la voiture et peut aider à prévenir toute torsion ou tension sur le bas du dos.

L’utilisation de l’aspirateur est une tâche quotidienne pendant la période de Noël car vous voulez vous assurer que votre maison est étincelante et très propre, cependant, pour le rendre aussi facile que possible pour le bas du dos, essayez d’éviter toute torsion ainsi que de vous pencher et de pousser avec force. Tenez-vous aussi droit que possible pour éviter de vous pencher, ce qui contribuera à réduire les tensions dans le bas du dos.

Et nous ne pouvons pas oublier le plus gros travail de sortir le sapin de Noël de l’entrepôt, ce qui peut signifier de trop tendre la main, ainsi que d’essayer d’équilibrer l’arbre lorsque vous descendez des échelles ou par la trappe du grenier. Lorsque vous sortez les décorations de la remise, essayez d’éviter de trop tendre et de cambrer votre dos, ce qui aidera à minimiser les tensions sur le bas du dos. Il s’agit souvent d’un travail de deux personnes, une personne pour obtenir les décorations et une autre pour maintenir ces échelles stables et vous pouvez donc passer les décorations à ce qui aide à réduire tout stress/tension sur le bas du dos et à empêcher cette échelle de vaciller.

Les achats de Noël sont souvent une journée complète avec des sacs de plus en plus gros et lourds, combinés à de nombreuses marches dans les rues animées – à la fin de la journée, vos bras vous font mal, ainsi que vos pieds et le bas du dos. Il est préférable d’essayer de garder un poids égal des sacs des deux côtés et d’essayer d’utiliser des sacs plus petits qui sont plus faciles à transporter. Si vous êtes à proximité d’une voiture garée, un détour pour déposer vos bagages peut vous aider. Si vous ne pouvez pas décharger vos courses, assurez-vous de faire des pauses régulières, une chance de vous asseoir, de vous détendre et de vous ressourcer avec une boisson fraîche et un morceau de sablé !

Si vous vous blessez ce Noël, nous sommes ouverts tout au long des vacances pour que vous puissiez prenez rendez-vous à l’EGOC.

Move Better With Osteopathy

Bougez mieux avec l’ostéopathie – East Gippsland Osteopathic Clinic | Thierry Payet

Plus tôt cette année, la communauté ostéopathique a célébré la Semaine internationale de la santé ostéopathique sur le thème « mieux bouger avec l’ostéopathie ». Le but de cette notion est d’encourager les Australiens, jeunes et moins jeunes, à bouger davantage pour atteindre une vie longue et active sans douleur et si nécessaire ou voulu avec l’aide de leur ostéopathe. Il a été développé en raison de l’augmentation des niveaux de sédentarité dans la population, évoluant principalement autour de l’âge, du niveau d’éducation, du statut socio-économique, mais aussi massivement par une mauvaise santé ou des blessures. Alors, plongeons un peu plus dans le mouvement, ses bienfaits et comment votre ostéopathe peut vous remettre sur la bonne voie si vous êtes limité par votre santé…

Qu’est-ce que le mouvement ?

Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’activité physique est décrite « comme tout mouvement corporel produit par les muscles squelettiques qui nécessite une dépense énergétique ». Cela peut inclure non seulement les sports, mais aussi la marche, la randonnée, la course, la natation, le cyclisme, la gymnastique, la danse, les jeux de ballon, la gym, les arts martiaux et la liste pourrait s’allonger.
Aujourd’hui, la majorité des directives internationales recommandent qu’environ 150 minutes par semaine d’activité physique ou de mouvement d’intensité modérée à vigoureuse soient réalisées. Cela peut varier légèrement en fonction de votre âge et de votre état de santé général.

Les bienfaits du mouvement

Le mouvement est excellent pour améliorer votre santé physique et mentale générale et votre bien-être et réduire votre risque de décès. Parmi les autres avantages importants du mouvement, mentionnons :

  • Réduire votre risque de cancer, de diabète, d’accident vasculaire cérébral et de maladie cardiaque
  • Améliorer votre humeur
  • Réduire votre stress
  • Améliorer votre fonction cérébrale
  • Améliorer votre fonction motrice
  • Aider votre respiration et votre fonction cardiaque
  • Renforcer votre corps, y compris la force musculaire et osseuse
  • Améliorer votre équilibre

Comment votre ostéopathe peut-il vous aider à bouger plus ?

Eh bien, les troubles musculo-squelettiques continuent d’être l’une des principales causes d’invalidité dans le monde et un contributeur majeur au manque d’activité physique des Australiens, car ils ne savent pas comment faire de l’exercice en toute sécurité pour leur état. C’est là que votre ostéopathe peut être utile. Votre ostéopathe évaluera votre plainte et les zones du corps qui peuvent influencer la fonction biomécanique optimale et causer de la douleur. Ensuite, grâce à la thérapie manuelle, à l’éducation et à la rééducation, ils peuvent soulager la douleur et améliorer votre fonction, ce qui vous permet de bouger davantage.

References
Australia Bureau of Statistics. (2014). Australian Idle: Physical Activity and Sedentary Behaviour of Adult Australians. https://www.abs.gov.au/ausstats/abs@.nsf/Lookup/4156.0.55.001main+features4Nov%202013
Exercise & Sports Science Australia. (2021). New Government report tackles physical inactivity barriers in Australia https://www.essa.org.au/Public/News_Room/Media_Releases1/2018/New_Government_report_tackles_physical_inactivity_barriers_in_Australia.aspx
Fryer, G. (2017). Integrating osteopathic approaches based on biopsychosocial therapeutic mechanisms. Part 1: The mechanisms. International Journal of Osteopathic Medicine, 25, 30-41. https://doi.org/10.1016/j.ijosm.2017.05.002
Posadzki, P., Pieper, D., Bajpai, R., Makaruk, H., Könsgen, N., Neuhaus, A. L., & Semwal, M. (2020). Exercise/physical activity and health outcomes: an overview of Cochrane systematic reviews. BMC Public Health, 20(1), 1724. https://doi.org/10.1186/s12889-020-09855-3 
Vaughan, B., Morrison, T., Buttigieg, D., Macfarlane, C., & Fryer, G. (2014). Approach to low back pain – osteopathy. Australian Journal for General Practitioners, 43, 197-198. https://www.racgp.org.au/afp/2014/april/osteopathy/ 

personnes âgés participant à une activité physique

la clé pour améliorer les capacités cognitives. | Thierry Payet

L’exercice physique a des effets protecteurs contre les maladies neurodégénératives, comme la maladie d’Alzheimer. Mais quel type d’activité physique exerce l’effet le plus positif sur les capacités cognitives ? Une récente étude s’est penchée sur cette question. Les résultats ont été publiés dans la revue scientifique Journal de l’épidémiologie et de la santé communautaire.

personnes âgés participant à une activité physique

Quels liens entre capacités cognitives et exercice physique ?

Le sport et l’activité physique ont des effets bénéfiques démontrés sur :

  • Le sommeil ;
  • L’humeur ;
  • Les fonctions cognitives.

Reste à déterminer quelle type d’activité physique entraîne quel effet et par quels mécanismes. Actuellement de nombreuses études en neurosciences pour explorer les mécanismes capables d’expliquer le lien entre l’activité physique et le fonctionnement cérébral. Ce lien constitue un enjeu majeur pour la prévention et la prise en charge de toutes les pathologies qui affectent leurs neurones et les capacités cognitives.

Dans ce contexte, des chercheurs se sont récemment intéressés à l’effet relatif de différents comportements sur les fonctions cognitives :

  • La sédentarité ;
  • L’activité physique d’intensité modérée à intense ;
  • L’activité physique légère ;
  • Le sommeil.

De la sédentarité à l’activité physique intense !

Pour cette étude, les chercheurs ont inclus dans leur étude 4 481 Britanniques (dont 52 % de femmes), qui à l’âge de 46 ans ont accepté de porter un accéléromètre et d’effectuer des tests cognitifs (mémoire verbale et fonction exécutive). Les résultats obtenus ont mis en évidence que le temps passé à pratiquer une activité physique d’intensité modérée à vigoureuse par rapport au temps passé à être sédentaire, à pratiquer une activité d’intensité légère ou à dormir était associé à de meilleures capacités cognitives. Cette association restait significative après l’ajustement des données au niveau d’éducation ou à la pratique d’une activité physique dans le cadre professionnel. En revanche, l’association était moins significative en ajustant les données sur l’état de santé des participants.

L’analyse théorique des données qu’entre 7 et 10 minutes de sédentarité remplacées par un autre comportement avait un impact positif sur les fonctions cognitives. L’activité la plus intéressante sur le plan cognitif se révélait être l’exercice physique d’intensité modérée à intense.

Faire du sport pour stimuler et protéger son cerveau

Ces données suggèrent l’importance d’une activité physique modérée à intense pratiquée régulièrement pour renforcer ses capacités cognitives et donc prévenir le déclin cognitif. Chaque minute de cette activité compte et doit être préservée. C’est donc non seulement le sport qui est bénéfique, mais surtout le sport pratiqué avec une intensité modérée à intense. Bien sûr, l’activité physique doit se faire en respectant l’état de santé et la condition physique de la personne.

Le sport est un véritable atout pour le cerveau : il augmente le volume de la matière grise ; il favorise la formation des neurones et la vascularisation des tissus nerveux ; et il contribue à la libération d’endorphines et de neuromédiateurs opiacés endogènes qui procurent une sensation de bien-être, bien connu des sportifs. Et enfin, le sport protège la mémoire et l’apprentissage. Le cerveau a donc besoin d’avoir suffisamment de sport au menu !

Estelle B., Docteur en Pharmacie

Sources

– Explorer les associations entre les comportements de mouvement quotidiens et la cognition en milieu de vie orcid.org. Consulté le 30 janvier 2023
Tips to Improve Your Whole Health

Conseils pour améliorer votre santé globale – East Gippsland Osteopathic Clinic | Thierry Payet

Avec le coût de la vie qui ne cesse d’augmenter, il peut être difficile de gérer ces habitudes saines avec un budget serré. Voici donc cinq conseils rapides que vous pouvez appliquer pour améliorer votre santé globale.

1 à 30 minutes de mouvement quotidien

Qu’il s’agisse de se promener autour du pâté de maisons, dans un parc ou le long du sentier ferroviaire; un cours d’exercices, du pilates, du yoga et de nombreuses autres options, le simple fait de bouger votre corps pendant 30 minutes peut faire des merveilles pour votre santé et votre forme cardiovasculaire.

2 – Buvez 2L d’eau par jour

Garder notre corps hydraté avec de l’eau est extrêmement important car nous sommes composés à 80% d’eau et notre corps a besoin d’eau pour remplir les fonctions vitales dont nous avons besoin pour vivre.

3 – Routine de sommeil cohérente

Fixer une heure de coucher et de réveil spécifique nous permet de maximiser les hormones et les produits chimiques naturels de notre corps pour nous aider à avoir un sommeil réparateur et réparateur. Si nous pouvons obtenir ce type de sommeil pendant 7 à 9 heures par nuit, notre corps a alors le temps de se reposer et de se réparer.

4 – Plus de repas faits maison que de plats à emporter + une alimentation équilibrée

Lorsque nous cuisinons à la maison, cela inclut généralement une consommation régulière de fruits et de légumes, ce qui signifie que nous mangeons des aliments nutritifs avec beaucoup de vitamines et de minéraux permettant à notre corps de récupérer, de maintenir et d’améliorer notre santé. Alors que les plats à emporter ont tendance à être souvent riches en sucre, en graisses saturées et en autres aliments transformés, ce qui peut avoir un impact important sur notre santé, en raison de notre tour de taille, de notre santé intestinale et, surtout, de notre santé cardiaque.

5 – Limiter la consommation de sucre, d’alcool, de caféine (en particulier de café) et de boissons gazeuses

Aussi savoureux que puissent être les aliments contenant ces ingrédients, ils ne sont pas bons pour notre santé et peuvent avoir un impact considérable sur notre intestin, notre foie, notre cœur et de nombreux autres organes. Vous pouvez commencer par tester 1 ou 2 jours sans alcool, par exemple, sans alcool deux jours par semaine, et commencer lentement à réduire la quantité que vous consommez chaque jour. Bien qu’il soit acceptable de consommer ces aliments avec modération, limiter votre consommation peut améliorer le fonctionnement de nos intestins, de notre foie, de notre cœur et d’autres organes.

Je recommande de se concentrer sur un conseil à la fois, afin que cela devienne une habitude et succinct dans votre routine quotidienne. Trop de changements à la fois peuvent être un gros choc pour votre système et il est plus difficile de s’y tenir !

Si vous rencontrez des difficultés avec l’un de ces conseils pour améliorer votre santé globale, veuillez en parler à l’un de nos professionnels de la santé ou à votre médecin généraliste.

Veuillez parler à l’un de nos Ostéopathes ou Kinésithérapeutes lors de votre prochaine visite si vous avez des questions sur ces conseils simples pour vous aider à améliorer votre santé globale.

petite fille ayant une phobie scolaire

Phobie scolaire en France : État des lieux | Thierry Payet

La phobie scolaire ou « refus scolaire anxieux » désigne la peur irrationnelle de se rendre à l’école. Pouvant avoir de multiples causes, ce trouble anxieux reste difficile à mesurer en France où seuls les taux d’absentéisme sont surveillés. Des chercheurs de l’Inserm ont donc enquêté sur le sujet pour tenter de mieux décrypter la phobie scolaire en France.

petite fille ayant une phobie scolaire

Etat des lieux de la phobie scolaire en France

Par phobie scolaire ou « refus scolaire anxieux », on entend une peur irrationnelle de l’école. Elle se traduit chez l’enfant ou l’adolescent par une vive détresse émotionnelle, une incapacité physique et psychique ainsi qu’un refus de se rendre dans son établissement scolaire. Loin d’être anodin, cet état constitue un véritable trouble anxieux sévère qui nécessite un suivi psychologique. Car la phobie scolaire peut entraîner un blocage et mener à une déscolarisation et à l’isolement de l’élève qui en souffre.

Pouvant avoir de multiples causes, la phobie scolaire concernerait entre 1 et 2 % des élèves de la maternelle au lycée dans de nombreux pays. En France, elle reste néanmoins difficile à mesurer car seuls les taux d’absentéisme sont chiffrés. Or, l’absentéisme englobe à la fois l’école buissonnière, l’éviction de l’élève de son établissement,  le retrait décidé par les parents et le refus scolaire anxieux. C’est dire combien la phobie scolaire est mal identifiée sur notre territoire et très certainement sous-estimée, faute d’indicateurs assez précis.

À savoir ! L’absentéisme est mesuré à partir de quatre demi-journées d’absence non justifiées par mois.

Dans ce contexte, des chercheurs de l’Inserm ont mis sur pied en 2018 une enquête pour tenter de mieux décrypter la phobie scolaire en France. L’objectif ? Examiner les profils et le devenir des enfants de 5 à 20 ans souffrant de phobie scolaire. Parmi les 2 000 questionnaires recueillis, 1 328 dossiers répondaient à la définition de « refus scolaire anxieux ». Mais seuls 729 dossiers présentant des données d’absentéisme sur trois ans ont finalement été étudiés par les chercheurs.

La phobie scolaire : un trouble multiforme

Il ressort de cette enquête qu’à l’école primaire, les absences sont souvent liées à des symptômes (maux de ventre, maux de tête) ou à un problème médical (rare ou chronique) qui s’aggrave pendant la période de refus scolaire. Le retour à l’école se fait généralement après deux ans de suivi.

Au collège, le refus scolaire se manifeste plutôt vers l’âge de 11–12 ans, en lien avec différents troubles (dépression, phobie sociale), des questions existentielles ou un environnement scolaire gênant. Si certains élèves parviennent à se rétablir progressivement à l’aide d’un accompagnement régulier, beaucoup voient leur état se dégrader. Ils en arrivent parfois à une déscolarisation complète malgré un suivi médical conséquent (psychothérapie, hospitalisations, traitements médicamenteux)…

Au lycée, bien que les différences soient mieux acceptées, les premiers épisodes dépressifs voient le jour. Les élèves se retrouvent en effet confrontés à de nouvelles sources d’angoisse comme le choix de leur orientation. Depuis 2020, le système de contrôle continu maintient également une pression constante sur les futurs bacheliers tout au long de l’année.

Par ailleurs, cette enquête révèle que sur les 1 328 élèves souffrant de refus scolaire anxieux, près de la moitié ont été victimes de harcèlement, d’insultes ou de menaces. C’est sans compter d’autres facteurs tels que les difficultés d’apprentissage (dyslexie, dysgraphie), le handicap, la précocité, ou les troubles autistiques qui peuvent amener les élèves pointés du doigt à développer une phobie scolaire.

Un trouble aux lourdes conséquences

La phobie scolaire n’est pas sans conséquences pour l’élève qui en souffre. L’absentéisme chronique risque en effet de compromettre sa réussite scolaire et de générer à terme des problèmes financiers ou une fragilité mentale.

Les conséquences de ce trouble peuvent également être lourdes pour l’entourage de l’enfant. Contraints d’adapter leurs plannings, les parents recourent à des soins onéreux et non remboursés. Outre la charge mentale et le sentiment de culpabilité qui peuvent les envahir, les parents se retrouvent souvent confrontés à l’errance thérapeutique, par manque d’information du personnel éducatif et des praticiens.

Il est donc crucial de sensibiliser tous les acteurs éducatifs afin de pouvoir repérer chez l’enfant le plus précocement possible des signes de phobie scolaire : petits maux avant d’aller à l’école, changement de comportement, moins bonne assiduité en classe, isolement dans la cour de récréation, passages fréquents à l’infirmerie etc… L’objectif : éviter les diagnostics trop tardifs et enrayer l’absentéisme scolaire. Le rôle des proches s’avère essentiel dans ce repérage ainsi que dans la préparation de l’enfant au retour progressif à l’école. Cela passera par sécuriser psychiquement l’enfant à travers une bonne hygiène de vie, le maintien du lien avec son établissement et des aménagements personnalisés en vue de son retour en cours.

Déborah L., Docteur en Pharmacie

Sources

-Phobie scolaire : Effet de mode ou réalité profonde ? inserm.fr. Consulté le 9 Janvier 2023
Bienvenue 'Votre scan de la peau'!

Bienvenue ‘Votre scan de la peau’! – Clinique Ostéopathique East Gippsland | Thierry Payet

Bienvenue 'Votre scan de la peau'!

Bienvenue ‘Votre scan de la peau’!

L’Australie a l’un des taux de cancer de la peau les plus élevés au monde. Avec une surveillance constante de vos grains de beauté, des changements précoces ou de nouvelles lésions sont détectables par un praticien qualifié.

C’est avec cette connaissance à l’esprit que nous sommes très heureux d’accueillir Sharon Hudson de Your Skin Scan dans nos 5 sites EGOC ! Sharon est une infirmière clinicienne consultante avec plus de 10 ans d’expérience dans l’évaluation et la surveillance du cancer de la peau.

Basée à Melbourne, elle se rendra dans chacune de nos cliniques tous les 3 mois pour surveiller à la fois nos patients et toute autre personne de la région qui pourrait avoir besoin de ses services !

Pour prendre rendez-vous avec Sharon, vous devez l’appeler directement au 0455 337 882 ou réservez en ligne sur son site.

Dates de visite prévues :

Clinique Bairnsdale

  • 9 décembre 2022
  • 28 mars 2023
  • 27 juin 2023
  • 26 septembre 2023
  • 12 décembre 2023

Clinique Orbost

  • 27 mars 2023
  • 26 juin 2023
  • 25 septembre 2023
  • 11 décembre 2023

Clinique de vente

  • 29 mars 2023
  • 28 juin 2023
  • 27 septembre 2023
  • 13 décembre 2023

Clinique Yarram

  • 30 mars 2023
  • 29 juin 2023
  • 28 septembre 2023
  • 14 décembre 2023

Clinique Traralgon

  • 31 mars 2023
  • 30 juin 2023
  • 29 septembre 2023
  • 15 décembre 2023

Si vous avez des questions, n’hésitez pas à parler avec notre équipe de réception amicale ou votre praticien à votre prochain rendez-vous.

Références
Hudson, S. (2022). Votre analyse de la peau. Récupéré le 25 novembre 2022 sur https://www.yourskinscan.com.au/