What a load of old Squat!! How you should squat, even if you have back or knee pain.

What a load of old Squat!! How you should squat, even if you have back or knee pain. | Thierry Payet

A common occurrence in the clinic is people coming in with knee or back pain and saying « my GP told me I shouldn’t squat » or « I can’t squat ». This is « A Load of Old Squat », most people with knee or back conditions will benefit more from learning how to squat rather than avoiding squatting.

Squatting is one of the most common daily movements we all do, even if we don’t perform them as exercises. We squat when we get in and out of a chair, when we pick something up from the ground, put washing in the washing machine, when we get in/out of the car, etc. Problems come around when we hinge too much from our knees or our waist (Spine) causing a repetitive strain to our knees or back. The goal of squatting is to hinge at our hips so as to spare our knees and backs.

How Should I Squat?

The answer to the aged old question « How Should I Squat? » is an easy one; HINGE FROM YOUR HIPS. Squatting from the hips can be taught with a few simple squat variations:

The Goblet Squat

  • Look at a spot on the ground approximately 6 feet in front of you.

  • Lower the body down until your elbows graze the inner thigh.

  • Feel your weight go back onto your heels.

  • At the bottom of the squat you should feel that you can wiggle your toes ( this ensures that you are using your gluteal muscles more than your quadriceps by shifting your weight to your heels)

(Keep your lower back slightly arched forward)

The Potato-Sack Squat

  • Start with your feet shoulder width apart.

  • Have your arms hanging straight down.

  • Squat until your arms graze your inner thighs.

  • Feel your weight go back to your heels.

(Keep your lower back slightly arched forward)

The Sumo Squat

  • Start with your feet shoulder width apart and feet slightly turned out.

  • Grad the to of the dumbbell.

  • Keeping your arms hanging straight down, raise and lower the dumbbell.

  • Your arms should graze inner thighs as you squat.

  • Feel your weight go towards your heels.

(Keep your lower back arched forward and avoid bending your elbows or shrugging your shoulders)

The Sumo Heart Beat

  • Grasp the kettle-bell by the horns.

  • Squat down until your hips are below your knees.

  • Your elbows should be between your thighs.

  • Quickly pulse the kettle-bell forward until your arms are straight in front of you.

(Keep your lower back arched forward)

How Often Should I Do This?

  • At first perform one set of 6 repetitions of the goblet and potato-sack squats. Once comfortable with this progress to 3 sets; Set 1 – 12 repetitions, Set 2 – 8 repetitions, Set 3 – 4 repetitions.

  • When this can be performed add the Sumo squat with 4 repetitions only.

  • When this can be performed add the Sumo heart beats for 4 repetitions only.

#BackPain #KneePain #Prevention #Rehabilitation #SelfManagement #Squats #Exercises #RepetitiveMovement

Les 7 règles pour atteindre ses objectifs

Les 7 règles pour atteindre ses objectifs | Thierry Payet

 Comment réussir ce que vous entreprenez dans la vie ?

Il faut déjà savoir ce que vous voulez obtenir dans la vie, vous fixez des buts et il suffit ensuite de tout mettre en œuvre pour les atteindre  en mettant en place vos objectifs.

Alors comment atteindre ses objectifs (qu’ils soient sportifs, personnels, professionnels ou autres) ?

Pour vous y aider, voici une méthode simple et efficace en 7 règles à suivre :

1 –  Déterminer avec précisions ses objectifs  !

 2 –  Les mettre par écrit  : planifier (calendrier, dates limites)

3 –  Se mettre en accord avec ses désirs et envies  : vos désirs seront sources d’énergie et vous donneront la force et l’enthousiasme nécessaire pour agir.

4 –  Se concentrer sur son but : les décisions prises dépendront de ce but , se poser la question   » est-ce que ce que je fais me permet de me rapprocher de mon but ?  » Si oui, continuer d’agir ; si non, s’arrêter.

5 –  Se diriger progressivement vers ses objectifs  : tout progrès est fait d’une multitude de petits progrès.

6  –  Se fixer des objectifs mensuels : Un effort quotidien est payant.

7 –  Accepter de faire des «  détours  » : Un détour n’est qu’un chemin différent mais il ne faut par renoncer pour autant à votre objectif.

«  Un objectif est bien plus qu’un rêve  : c’est un rêve mis en œuvre  »

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Déglutition atypique, la prise en charge de l'ostéopathe

Déglutition atypique, la prise en charge de l’ostéopathe | Thierry Payet

Le développement des mâchoires et le fonctionnement de la cavité buccale (mobilité de l’articulation temporo-mandibulaire et occlusion) dépendent de l’acquisition de la déglutition mature à l’âge de 2-3 ans et de la bonne position de la langue dans la bouche. Quel est le rôle de l’ostéopathe dans l’accompagnement des troubles de la déglutition chez l’enfant ou chez l’adulte ?

Acquisition de la déglutition mature à l’âge de 2-3 ans

Quand un nourrisson ou un jeune enfant déglutit, sa langue s’interpose entre ses dents en avant, ses dents ne se touchent pas et ses muscles des lèvres et des joues se contractent.
C’est la déglutition primaire / atypique / infantile.

Dès que l’alimentation de l’enfant se compose d’aliments plus durs ses incisives et canines fonctionnent et entrainent une modification de la déglutition et de la position de la langue.

Ainsi, l’enfant de plus de 6 ans et l’adulte, déglutissent les lèvres jointes, les dents en contact, la langue au palais et sans aucune contraction des lèvres et des joues.
C’est la déglutition secondaire / mature.

Position de la langue : toujours au palais !!

La langue doit toujours être positionnée au palais, la pointe en
arrière des incisives supérieures.

Cette position permet le bon développement transversal des maxillaires et la respiration par le nez.

Conséquences d’une déglutition atypique chez l’enfant de plus de 6 ans et l’adulte

Si la déglutition atypique perdure, elle entraine des
conséquences sur le développement de la cavité buccale :

  • les maxillaires ne se développent pas et la
    respiration se fait par la bouche
  • le développement de la bouche s’accompagne d’une
    malposition des dents et d’une béance antérieure (la langue continue à se
    positionner entre les 2 arcades dentaires lors de la déglutition)
  • la mastication est perturbée

Comment identifier une déglutition atypique ?

Il existe deux tests pour  identifier une mauvaise acquisition de la déglutition mature : en écartant les joues vers l’extérieur, ou en pinçant les lèvres.

Ces tests révèlent une déglutition atypique chez l’enfant ou
l’adulte testé si les muscles des lèvres et des joues se contractent lors de la
déglutition, ou si la déglutition est impossible.

Exercice pour stimuler
la déglutition secondaire mature :

La rééducation de la fonction de la langue doit être faite très tôt (dès l’âge de 3ans).
Elle facilite la bonne mise en place des dents, évite les malformations et permet d’obtenir rapidement une déglutition secondaire mature.

Musculature de la langue :

  • Inspecter le palais, les joues et les lèvres avec la langue
  • Pour les enfants : mettre la nourriture dans les joues et les lèvres pour qu’ils aillent la chercher
  • Mettre un morceau de pain au palais et essayer de le décolle
  • Claquements de la langue CLA / CLO (cheval au pas, puis au trop)

Apprentissage de la déglutition secondaire mature

  • Avaler la salive dents serrées avec un élastique entre le palais et la pointe de la langue

Stimulation de la mastication : voir article sur la mastication

Appareils pour stimuler la déglutition secondaire mature :

Il existe également des appareils
qui permettent de basculer sur une déglutition mature

  • Le Froggymouth préconisé à partir de 3 ans et 15 minutes/j : pour apprendre à l’enfant à déglutir sans se servir de ses lèvres.
  • L’enveloppe linguale nocturne (appareil d’orthodontie fonctionnelle) : pour éduquer la langue à rester au palais

L’arrêt du pouce et la tétine qui
favorisent la déglutition primaire est vivement conseillé dès l’âge de 3 ans.

La prise en charge d’une déglutition atypique par l’ostéopathe

L’ostéopathe prend en charge les troubles de déglutition en parallèle de l’orthodontie fonctionnelle, de l’orthophonie et de la kinésithérapie maxillo-faciale.

L'ostéopathe à Paris lors d'un traitement de trouble de la déglutition

Il accompagne le jeune enfant, l’adolescent en parallèle du traitement
orthodontique et l’adulte.

L’ostéopathe vérifie la mobilité globale du corps puis la
mobilité de la cavité buccale et de la langue afin de détecter les zones qui
peuvent empêcher le passage vers la déglutition mature.

Par des manipulations douces l’ostéopathe travaille sur l’articulation de la mâchoire, la mandibule, les maxillaires et les palatins… pour favoriser leur bon développement.
L’ostéopathe travaille aussi sur les zones qui jouent un rôle sur la mobilité de la mâchoire et de la langue comme les cervicales, l’axe crânio-sacré, la loge du cou et le diaphragme…

En cas de troubles de la déglutition le but de l’ostéopathe est d’améliorer la mobilité des zones en rapport avec la langue et la mâchoire, afin que le patient évolue vers une déglutition mature (déglutition les lèvres jointes, les dents en contact, la langue au palais, et sans contraction musculaire des lèvres et des joues).

Contacter l’ostéopathe en cas de trouble de déglutition :

N’hésitez pas à contacter votre ostéopathe à Paris au 07.69.03.41.41 pour prendre rdv ou pour tout renseignement sur les troubles de la déglutition.

lapin alice au pays des merveilles

Que faire (ou pas) après une séance d’ostéopathie – Caroline Zumbihl, Osteopathe Montpellier | Thierry Payet

 

 

Pourquoi ?

Dans la philosophie de l’ostéopathie il y a le concept d‘auto-guérison du corps. C’est à dire que l’ostéopathe, en levant des tensions et des restrictions de mobilité va permettre au corps du patient de se réajuster autour de ses changements afin de retrouver son état d’équilibre naturel.

Et ça peut prendre du temps, de quelques heures à quelques semaines selon l’ancienneté des traumatismes traités, ainsi que la profondeur des changements effectués.

On ne peut pas demander la même vitesse d’adaptation à son corps selon qu’on ait traité un torticolis débuté il y a trois jours, ou un lumbago chronique datant d’il y a dix ans. D’autres facteurs rentrent en compte, entre autre, l’âge du patient (un bébé s’adapte au traitement bien plus vite qu’un senior) ainsi que son hygiène de vie.

Pour aider son corps à tirer le meilleur de sa séance d’ostéopathie voici quelques conseils.

Avant et pendant la séance :

Même si le sujet de cet article traite de l’après-séance, il me semble important de vous parler de votre participation active à la séance.

Un ostéopathe n’est pas un garagiste ! On n’y laisse pas son corps en « révision » pendant qu’on pense à l’achat des cadeaux de Noël. Si vous agissez de cette façon, non seulement vous perdez une bonne partie de l’efficacité du traitement ostéopathique, mais vous perdez la chance de mieux comprendre le fonctionnement interne de votre corps et de vous détendre en profondeur.

Avant la séance :

La veille, buvez modérément (la gueule de bois est incompatible avec l’ostéopathie) et couchez vous suffisamment tôt pour avoir une bonne nuit de sommeil.

Pour être dans les meilleurs conditions possibles, il est important de ne pas être dans un état de stress en arrivant chez votre praticien. Prévoyez 10 à 15 min d’avance pour ne pas être angoissé d’être en retard au rendez-vous, installez-vous dans la salle d’attente et détendez-vous !

lapin alice au pays des merveilles
S’il arrive dans cet état à sa séance il ne sera pas suffisamment détendu 😉

Ne mangez pas juste avant de venir. Essayez d’avoir au minimum une heure de distance de votre dernier repas, si ce n’est pas possible, mangez léger.

Allez aux toilettes ! Ceux qui ont déjà vécu une séance la vessie pleine comprendrons 😉

 

Pendant la séance :

Détendez-vous !

Fermez les yeux, desserrez la mâchoire, portez votre attention sur votre respiration jusqu’à ce que vous vous sentiez calme et détendu.

Portez maintenant votre attention sur les sensations ressenties lorsque votre thérapeute pose ses mains sur vous. Elles peuvent être de tout type, chaleur, léger vertige, tiraillement, pression, relâchement, libération, gêne… Elles peuvent aussi apparaître sous forme d’émotions, de souvenirs ou d’images mentales, c’est le (bon) signe que des « mémoires tissulaires » se libèrent.

Si vous en avez envie et que vous arrivez à les formuler, vous pouvez transmettre vos ressentis à votre ostéo, vous pourrez alors participer activement à la séance et mieux comprendre les mécanismes qui se jouent. Vous pouvez aussi attendre la fin de la séance pour lui faire part de votre vécu.

C’est toujours intéressant pour un ostéopathe de prendre connaissance de ce qui se joue chez le patient pendant une séance, n’hésitez pas à nous raconter !

Enfin n’hésitez surtout pas à interpeller votre ostéo sur toute source d’inconfort :

  •  position inconfortable, le thérapeute vous aidera à trouver un compromis entre votre confort et la position nécessaire à son travail
  • manipulation douloureuse : elles ne doivent JAMAIS l’être, gênantes parfois mais pas douloureuses
  • froid : j’ai toujours un plaid à disposition des patients, quand on se relâche la température du corps diminue

C’est trop dommage de rester crispé toute une séance parce qu’on a les pieds gelés ou que le thérapeute vous tire les cheveux en vous traitant le crâne (c’est du vécu !).

 

Après la séance :

Après une séance votre corps va devoir accueillir et s’adapter aux modifications effectuées.

En libérant des tensions corporelles, la posture et  la proprioception (perception fine de son corps dans l’espace) doivent se réajuster à ce nouveau schéma corporel.

C’est pour ces raisons qu’on peut se sentir très fatigué après une séance, avoir des courbatures, voir apparaître une légère aggravation du symptôme avant son amélioration.

A très court terme :

Ouvrez les yeux, étirez-vous, relevez-vous doucement de la table de pratique, restez assis quelques instant, levez-vous doucement.

Si vous en sentez le besoin, prenez quelques minutes de plus pour vous reposer dans la salle d’attente.

Ne « jouez » pas avec votre corps. Combien d’entre nous ont la (mauvaise) manie de tester le résultat du traitement en tournant au maximum son cou pour un torticolis ou en faisant des ronds avec son pied pour une cheville douloureuse. Laissez votre corps tranquille ! Ce serait dommage de recréer un blocage en forçant sur une région encore fragile et « convalescente ».

 

Dans les jours qui suivent :

Hydratez-vous ! Boire beaucoup d’eau va permettre de libérer les toxines qui s’étaient accumulées dans les zones de tension.

bonne hygiene de vie, sommeil, alimentation, meditation
Voici un exemple de ce qui est conseillé autour d’une séance d’ostéopathie

Ne faites pas de repas trop lourd, ne buvez pas d’alcool, modérez votre consommation d’excitants (thé, café) et de cigarettes, au moins le premier jour, dans l’idéal les trois jours qui suivent la séance. Vous évitez ainsi à votre corps d’avoir à gérer trop de travail de digestion et d’élimination de toxines, laissant tout le champ possible à la recherche de son nouvel état d’équilibre.

Ne pratiquez pas de sport ni de travail physique trop éprouvant pendant 48 à 72h, pour les mêmes raisons que précédemment. On évite aussi bien l’entraînement de foot que le déménagement ou le grand ménage de printemps !

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Et voici l’exemple de ce qu’il faut mieux éviter après une séance !

 

Sur le long terme :

Si votre thérapeute vous a demandé de revenir faire une ou plusieurs séances, écoutez-le, même (et surtout !) si vous constatez une amélioration des symptômes. En n’allant pas au bout du travail ostéopathique vous risquez de voir réapparaître des douleurs ou des inconforts plus ou moins rapidement.

De même, l’ostéopathie ayant une vision globale de l’état de santé, vous serez sûrement amené à suivre quelques conseils ou à aller voir un spécialiste plus compétent dans son domaine.

Il peut s’agir :

  • d’exercices d’étirements à faire régulièrement
  • d’adaptation de postures dans la vie quotidienne (en voiture, devant l’ordinateur, en portant son enfant…)
  • de changements dans son alimentation
  • d’autres changements matériels, par exemple literie, chaussage, moyen de portage
  • de suggestion d’activité physique spécifique : yoga, pilates, tai-chi-chuan, natation, marche…
  • de suggestion d’un autre thérapeute pour vous accompagner dans un autre domaine de compétence, nutritionniste, homéopathe, kiné, psychologue, sophrologue, médecin chinois, etc…

Voilà vous savez tout du portrait robot du patient parfait ! Bien sûr si vous arrivez à tenir compte de toutes ces recommandations c’est l’idéal, mais ne soyez pas découragé, faites ce qu’il vous semble possible, profitez bien de votre séance  et reposez-vous, ce sera déjà très bien !

Ainsi un suivi en ostéopathie vous aide ponctuellement dans la prise en charge d’une demande spécifique, mais vous accompagne également dans votre démarche active de mieux être et de recherche d’un bon état de santé.

 

Crédits photo : www.pixabay.com

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Traiter une sciatique en ostéopathie | Thierry Payet

La sciatique est une névralgie courante, invalidante à cause de sa vive douleur. Elle est souvent associée à des lombalgies chroniques. Un bon suivi médical et un traitement ostéopathique peuvent être de bonnes solutions pour vous en soulager.

Qu’est-ce qu’une sciatique ?

La sciatique, ou sciatalgie, est une douleur ressentie sur le trajet du nerf signant son irritation. Cette douleur est vive, ressentie comme un courant électrique qui irradie dans la fesse, l’arrière de la cuisse et de la jambe et le bord latéro-inférieur du pied.

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Source image : Larousse.fr

Lorsque que vous faites appel à votre ostéopathe pour vous soulager de votre sciatique, la première étape de la consultation sera de comprendre la cause. Pour cela, il vous posera des questions précises et il effectuera des tests orthopédiques et médicaux.

Les principales causes d’irritation du nerf sciatique

  • Discopathie : Atteinte du disque intervertébral entre deux vertèbres.
  • Syndrome facettaire : au niveau de la colonne vertébrale, ce sont de petites articulations de part et d’autre de la sortie des racines nerveuses.
  • Syndrome du piriforme : Le piriforme est un muscle de la fesse de forme triangulaire. S’il est contracturé et inflammatoire, il peut venir appuyer sur le nerf sciatique et l’irriter.
  • Autres compressions sur le trajet du nerf

Dans la majorité des cas, la sciatique est associée à une douleur au niveau du bas du dos (lombalgie).

Comment traiter sa sciatique ?

Consulter son médecin traitant

Il est préférable de consulter son médecin traitant pour obtenir un diagnostic précis par imagerie.

Consulter son ostéopathe

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Une fois que la cause de la sciatique sera déterminée, l’ostéopathe effectuera un diagnostic ostéopathique complet, pour libérer les restrictions de mobilité et les tensions à l’origine de vos douleurs. Les manipulations respectent la règle « de non-douleur« , permettent un retour à l’équilibre entre les structures de votre corps, notamment au niveau du bassin et du rachis.

Ensuite, votre ostéopathe vous donnera des conseils que ce soit sur votre ergonomie ou votre hygiène de vie en général pour augmenter la rapidité de votre rémission.

Sciatiques : attention aux signes d’urgence

Dans des cas plus rares, la sciatique peut être un signe d’une pathologie sous-jacente plus grave : si elle est associée à une fièvre, à une perte de sensibilité (ou rétention) lors de la défécation et la miction ou une difficulté à se tenir debout, appelez directement les urgences.

Natacha Hulak Ostéopathe D.O.

 

 

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Bébé ne dort pas, comment l’ostéopathie peut-elle améliorer son sommeil? | Thierry Payet

 

Après l’accouchement, bébé est là avec son lot de joies, mais aussi de questions. Souvent, lorsqu’on devient parent, ses questions trouvent des réponses aussi diverses que l’entourage est grand. Alors aujourd’hui, nous nous intéresserons au sommeil de bébé, dans ses trois premières années. Le sommeil de l’enfant est souvent laborieux car inconnu, décoder les signes et les phases de sommeil peut être très utile aux parents. Nous verrons ce qui peut entraver la bonne qualité de sommeil de bébé et comment l’ostéopathie agit pour une bonne qualité (et quantité !) de sommeil chez l’enfant.

 

Les cycles de sommeil chez le nourrisson

 

À la naissance, le sommeil se structure progressivement. Le nouveau-né va suivre un rythme découpé sur des périodes de 45-50 minutes. Ce cycle de 50 minutes comprend une phase de sommeil agitée, ou bébé peut donner des signes d’éveil (yeux ouverts, mouvements, petits pleurs) puis une phase de sommeil calme.

Entre chaque cycle intervient à nouveau une phase moins stable ou bébé semble éveillé. On peut constater que le sommeil agité occupe 50 à 60 % du temps de sommeil. Le sommeil agité peut passer pour un éveil franc, et s’il y a intervention immédiate du parent, bébé se réveillera pour de bon.

Vers deux mois, les cycles se stabilisent : le sommeil agité devient du sommeil paradoxal, sommeil des rêves. Les cycles s’allongent, et durent environ une heure dix, 70 minutes. Les phases de sommeil paradoxal occupent environ un tiers du temps de sommeil.

Entre six et neuf mois, les cycles s’allongent encore pour arriver vers des cycles de 90 à 120 minutes.

L’architecture du sommeil se modélise donc dans la première année de vie de l’enfant, pour ne se stabiliser réellement que dans la troisième année !

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Bébé a un sommeil difficile ?

Il arrive que l’entrée dans le sommeil se fasse difficilement ; ainsi certains bébés présentent des signes d’inconfort, comme par exemple, une difficulté d’endormissement, le fait de se tortiller, de grimacer, de se réveiller avec des pleurs intenses, de régurgiter de manière importante et douloureuse, ils peuvent présenter un inconfort en position allongée sur le dos, et tout cela peut donc les gêner l’enfant dans leur sommeil…

Les réveils nocturnes s’ils sont très fréquents, après plusieurs mois, peuvent amener à un épuisement de toute la famille, fratrie, parents, et peuvent amener un cercle vicieux de troubles du sommeil… Plus bébé est fatigué, plus le système d’hyper vigilance s’active, créant un entretien des difficultés à s’endormir..

Ainsi, les causes de sommeil difficile sont nombreuses : tensions corporelles liées à l’accouchement ou à la position in-utéro, problèmes digestifs, poussées dentaires, causes liées au développement des acquisitions motrices comme la marche, changements dans la famille, peur, mais aussi absence d’informations des parents sur les cycles de sommeil du bébé, qui les conduisent à intervenir de manière trop précoce et donc à réveiller bébé pour de bon.

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L’ostéopathie comme solution aux troubles du sommeil

Par un échange abordant les conditions de la grossesse, de l’accouchement, les premiers temps de vie, le portage, l’alimentation, l’ostéopathe fait le point sur l’environnement, le rythme du bébé, et tout ce qui a pu ou peut mettre sous contrainte son organisme et constituer une difficulté à rentrer dans le sommeil.

Puis, le traitement ostéopathique, toujours dans la douceur et global, respectant la physiologie des tissus, va s’intéresser à différentes zones du corps du bébé :

  • Le crâne : mis sous fortes contraintes lors de l’accouchement, la mobilité des os du crâne peut être très fortement impactée par l’accouchement. Ainsi, la croissance du périmètre crânien, très importante les six premiers mois, va se modéliser et s’adapter aux contraintes subies. Le rôle des mains de l’ostéopathe est de dénouer ces contraintes et de guider la maquette osseuse vers une croissance physiologique.
  • Le bassin : directement en lien avec les tensions crâniennes via les vertèbres de la colonne vertébrale, celui-ci va également imprimer des tensions (contractions utérines qui viennent comprimer l’ensemble du corps de bébé, position en siège, accouchement, césarienne) qui vont conditionner la mobilité des organes.
  • Le diaphragme qui sépare thorax et abdomen va influer la mobilité de l’œsophage, de la petite poche de l’estomac, et va donc accentuer les phénomènes de troubles digestifs si sa mobilité est compromise.
  • La colonne vertébrale du bébé, qui subit durant l’accouchement d’importantes contraintes à type de compressions.
  • Enfin, l’émotionnel du bébé directement lié aux sensations corporelles, au vécu de l’accouchement des parents est indissociable et se retrouve également dans le traitement ostéopathique. Le bébé peut manifester cela par des pleurs lors du traitement, ce qui est normal, les tensions levées venant à s’exprimer.

 

Les conseils de votre ostéopathe pour améliorer le sommeil de bébé

  •  Favoriser une atmosphère calme et sombre dans la chambre avec une température autour de 20 degrés.
  •  Coucher bébé plus ou moins à la même heure et adopter à partir de deux ou trois mois un rituel de coucher (histoire, chanson) qui va l’aider à trouver ses repères.
  •  Adopter des rythmes réguliers pour donner à bébé des repères et l’aider à repérer le jour et la nuit.
  •  Ne pas se précipiter pour prendre bébé dès qu’il manifeste des signes d’éveil car il peut s’agir d’un inter-cycle et le prendre d’emblée pourra le réveiller pour de bon. Attendre une à deux minutes avant de vor s’il s’agit d’un réel réveil.
  • Lorsque bébé se frotte les yeux, baille, commencer le rituel de coucher et ne loupez pas ces signes de fatigue.
  • Tous les moments de tendresse et d’apaisement entre bébé et ses parents sont des aides à un endormissement serein, rechargez la jauge de tendresse favorise le sentiment de sécurité et le relâchement nécessaire au sommeil.

 

 

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Article rédigé par Léna Florette – Ostéopathe DO à Lyon 

Facet lock — Full Circle Osteopathy

Facet lock — Full Circle Osteopathy | Thierry Payet

If you move to the low back region of the spinal column, the facet joints are orientated in a slightly different way, allowing plenty of flexion and extension, but minimal rotation. This allows us to bend our bodies forwards and backwards easily. 

What is a facet lock? 

This condition is pretty self-explanatory from its name. A facet lock is a facet joint that is ‘locked’ or severely restricted in movement. This type of joint is what we call a synovial joint. This means it’s a joint that is held together by a joint capsule and is filled with a lubricating fluid, known as synovial fluid. A facet joint tends to lock when it has been overloaded with excessive forces acting upon it. This tends to occur over time and results in a ‘straw that breaks the camel’s back’ moment. It can also happen following a quick jerking movement of the neck, where a sudden large force is placed upon the joints and it is too much for them to bear. The tissue around the joints, including the overlying muscles which drive the movement stiffen and may go into spasm, and you are left with a neck that is extremely painful to move.

More often than not, we are moving poorly above and/or below the joint, leaving it struggling to hold everything together and keep movement going. The body is good at compensating for poor movement up to a point, and then failure is inevitable, unless we intervene.

 

Signs and symptoms 

The signs and symptoms of a facet lock in the neck include:

  • Neck pain

  • Restricted neck movement

  • Restricted mid-back and shoulder movement

  • Headache (this is more likely if neck movement is not restored following injury)

  • Inability to perform daily tasks such as checking your blind spot whilst driving (we strongly suggest if you cannot turn your neck, to NOT get behind the wheel of a vehicle) and looking/reaching up to a kitchen cupboard

After the initial onset of pain, you will progressively lose movement in your neck over the next few hours. The following few days will be painful while your body deals with the acute inflammation occurring in and around the joint. Slowly but surely, you will begin to notice movement becoming easier and pain reducing.

 

We recommend coming to see us sooner rather than later. When inflammation is fresh and everything is really restricted, it is sometimes difficult to reach a 100% accurate diagnosis on the first session. But after careful questioning and consideration of your medical history, the majority of the time we can come to a solid working diagnosis. If we cannot, and we feel something else is going on, we may refer you on for a second opinion, or for imaging. Nine times out of ten, with a simple facet lock there aren’t any serious signs and symptoms which will make us question our course of action… it usually just bloomin’ hurts and is difficult to move your head. In those cases, we can get to work immediately.

Treatment

A locked, compressed and inflamed facet joint usually responds pretty well to some gentle traction of the neck. Traction techniques gently separate the joint surfaces, allowing for movement of fluid and for everything to calm down nicely. If you are super locked up and restricted, traction and very gentle neck mobilisations may be all we’re able to do in the early stages. We’ll cast an eye over the areas above and below the injury site to see what’s going on there, and treat those accordingly. Restoring movement in a non-painful area away from the injury site is commonly what’s needed to help calm everything down quick-smart. All being well, when you get up off the table after your first treatment, your pain will have reduced and your movement will have improved. Over the next few sessions, we will capitalise on this and aim to restore full function to your neck within 8-10 sessions, across a period of 8-12 weeks. These time periods are rough estimates and always depend on whether you do your homework with exercise, living well and avoiding potentially aggravating activities for a short time.

Injuries like these are usually the result of many years of poor movement. We encourage you to look long-term with your treatment goals. Injuries that take years to build up will not be undone in a few weeks. Yes, we will get your pain down and your movement up, but to get truly strong and mobile takes months to fully achieve. Our aim will be to get you to that point where the injury is not likely to return once treatment stops and you return to normal daily living.

 

Neck pain? Call us today on 0452 249 379 to book an appointment.

We’ve got your shoulders, neck, back and body covered

We’ve got your shoulders, neck, back and body covered | Thierry Payet

When you think of whiplash, what comes to mind? Most people think you only suffer from this painful condition if you’ve been in a car crash, but this isn’t the case.

Despite rear-end car collisions being one of the top causes of this debilitating affliction, whiplash can occur following any forceful movements of the head and rapid back and forth movements of the neck. Actions which can damage the surrounding ligaments and tendons.

 

Symptoms of whiplash

 

Along with car crashes, whiplash can occur from sports accidents, or simple accidents such as falling off a ladder. Symptoms of whiplash usually develops within 24 hours or more of the trauma taking place. Although it can take longer.

Either way, sufferers of whiplash will know this painful complication can affect the whole body.

The most common symptoms of whiplash include:

  • Neck pain
  • Stiffness
  • Reduced neck movements
  • Muscle tenderness
  • Headaches
  • Pain and muscle spasms in the shoulders and arms
  • Lower back pain
  • Dizziness
  • Blurred vision
  • Trouble swallowing
  • Fatigue

In some cases, whiplash symptoms can become chronic, leading to anxiety and depression.

 

How can whiplash be treated?

 

London-based Osteopath, Robin Kiashek, who has more than 25 years’ experience has helped many clients with their recovery from this condition.

He said: “In many cases, whiplash sufferers might benefit from using a pillow to support their neck while lying in bed or sitting. I would also suggest applying ice (wrapped in a wet tea towel) over the area in question for 5 to 10 minutes every three hours for the first couple of days after the incident.”

We’ve spoken before about the power of ice therapy, especially in cases where there is a need to reduce the inflammation in our body. Just like in the case of whiplash.

But whiplash can also be treated through osteopathy.

Treating whiplash through osteopathy

 

Osteopathy works in many brilliant ways. Through the use of manual therapy, such as massage and stretching, Osteopathy can work to treat musculoskeletal disorders in the muscles, ligaments, joints, nerves, cartilage, tendons and the general skeletal system.

“In the case of whiplash,” Robin says, “we may also work to realign the joints and tendons in your neck to alleviate pressure and get some movement back into both your neck and head, along with your shoulders and any other areas of your body affected by this problem.”

And a 2012 clinical trial agrees. Along with the physical aspects, Osteopathy can also have beneficial effects for those suffering with the mental aspects of late whiplash syndrome. The trial concluded: “Osteopathy lives up to its claim of being a complementary modality in the treatment regimen of this condition.”

 

Allied therapies 

But there’s more. As well as being a qualified Osteopath, Robin also offers a range of allied therapies that can work to restore harmony in your body and promote healing. This includes:

  • Acupuncture – this has been proven to improve circulation, which in turn helps to promote natural healing and wellbeing
  • Low Level Laser Therapy (LLLT) – This has been used in the field of osteopathy for some time.  Typically for the treatment of pain and the healing of wounds and musculoskeletal conditions
  • Naturopathy – Robin is also a qualified naturopath, which means he can equip your body with the tools it needs to not only heal itself, but also to prevent illness from ever developing

Get in touch

If you are suffering from whiplash, do get in touch. Robin can put together a tailored treatment plan for you, discussing your individual needs and requirements to help get your whole body get back on track.

 

Vlog: Osteopathy for children with growing pain

Vlog: Osteopathy for children with growing pain | Thierry Payet

Osteopathy is a great option to assist children experiencing growing pain.

Cranial Osteopathy is a great alternative and can be very effective at reducing or alleviating symptoms.

Growing pains are a common occurrence in children during rapid growth phases. Pain is experienced by the child most commonly in the legs, although other areas ay be effected. Symptoms are worse of a night time and may cause the child to wake in tears. The severity of the pain varies from minor discomfort to being inconsolable.

Growing pains is diagnosed when X-rays and scans are normal and usally by exclusion of other possibilities. Once a child is diagnosed, medical advise is to use pain relief when needed until the symptoms abate.

So what is causing the pain?

During rapid stages of growth, the child’s body goes through enormous rapid changes in size, weight bearing and function. Usually this has little symptomtic effect. In cases where growing pains occur, there is often pre-existing strain patterns in and around the joints. The strain of ligaments, muscles or bones can cause a mild inflammation which is usually asymptomatic, but when combined with the rapid changes in size, function and weight bearing, that inflammation can be exacerbated and become painful. It is for this reason that symptoms more commonly present in the legs.

Osteopathic treatment is aimed at reducing the strains in and around the effected joints, and restoring normal balance to the whole body.  Once the strain patterns have been reduced, the growing body is better able to cope with the massive changes occurring.

Cranial osteopathy or craniosacral osteopathy is a very gentle treatment approach and is ideally suited for children of all ages.

If you have further questions about growing pains please contact our clinic and talk to one of our osteopaths.

 Shayne Day is available Monday, Wednesday, Thursday and Friday

. 8am-5pm.

For more information on what else osteopaths can treat during pregnancy click HERE

And if you’d like to know more about me, check out my practitioner profile page – Shayne Day

 

"GAFFER, I THINK I'VE PULLED MY HAMMY"

« GAFFER, I THINK I’VE PULLED MY HAMMY » | Thierry Payet

Here at Health First Osteopathy we are proud to be working along side football clubs here in Wales with Llanelli Town and Swansea University women’s football team. In this role we encounter many injuries from Ankle sprains to hamstring pulls, to even a dislocated patella and a displaced AC joint in the shoulder (Not the nicest). But, one thing I have seen many times is a pulled hamstring, so this blog is going to explain what happens and how we go about helping those players get back to health.

HOW IT HAPPENS

How the injury happens may be different depending on when you hurt your hamstring. An acute strain can occur in training or a match with sudden acceleration, sprinting, sharp change in direction or hard breaking and sliding into a tackle (overstretching the hamstring muscle). The hamstring muscle works over the hip and knee, and as such is a two-joint muscle. It contracts to extend the hip, straightening the leg or pulling it back behind you; and it flexes or bends the knee. The hamstring is therefore constantly working throughout all stages of walking or running and jumping allowing little time for rest or recovery. It is susceptible to fatigue, which makes it vulnerable to injury. A common consequence of this is straining the hamstring in the latter half of a game as it starts to tire, especially if you are not well conditioned! A previous hamstring strain is the biggest risk factor for a future hamstring injury. A chronic overuse hamstring muscle strain can develop over time through training with a feeling of stiffness in the muscle and a deep ache at the back of the thigh or into the buttock. This is often a hamstring tendinopathy. This will be due to a cumulative effect of training, increasing load and intensity but also associated with a number of underlying factors, such as muscle imbalance including eccentric strength, pelvic and core muscle weakness, hard or wet training surface, poor flexibility, lower back pathology, poor warm-up and improper running mechanics, fitness/ fatigue. In these tendinopathy cases research has shown there are degenerative changes in the tendon rather than an inflammatory response as previously thought. Tendons have a poor blood supply and are therefore slow and stubborn to heal.

WHAT’S GOING ON INSIDE?

There are four muscles that make up the hamstring: semimembranosus and semitendinosus (medially – ‘inner half’ of the back of your thigh) and biceps femoris – short and long heads (laterally – ‘outer half’ of the back of your thigh). Injury could be to any one or more of them, with a tear or cumulative strain to the muscle fibres. A hamstring strain can range from mild to very severe involving a complete tear of the hamstring muscle. See the table at the bottom of this blog for details of the injuries and the symptoms.

WHAT CAN I DO?

As mentioned earlier a history of previous hamstring injury is the biggest risk factor for a future hamstring injury. If you have not had a hamstring injury previously and wish to prevent one (which is the best plan yet!) being proactive and consulting a physical therapy specialist to assess any underlying muscle weakness, or biomechanical issues would be hugely beneficial in the long run. Ensuring your hamstring is working cohesively with your glutes, lower back and buttock/pelvic muscles will ensure they are not overloaded or taking extra strain. Improving their condition and fitness will also help ward off fatigue and injury risk. A thorough warm-up has been proven to reduce hamstring injury risk, so ensure you participate in a warm-up, even if you have arrived late or are rushing to get started, take the time to adequately prepare your muscles for activity. If you have been sitting through periods of the match, warm up on the sideline again before running onto the field. Otherwise, being a disciplined, compliant patient would be key to optimal recovery. It is essential to follow hands-on treatment with a full rehabilitation programme. It may be hard to stay motivated once the pain disappears, but in order to prevent a recurrence and return to full function it is essential you work through a progressive exercise routine with your physical therapy specialist.

HOW OSTEOPATHY & PHYSICAL THERAPY CAN HELP

As seen in the table at the end, physical therapy is an integral part of treating a hamstring injury, both acute and overuse injuries. The sooner you start treatment following an injury the better the outcome. The early stages of treatment are not only aimed at reducing pain and swelling, but are also crucial to minimise scar tissue formation and ensure good muscle fibre alignment – which in the long term will ensure a stronger muscle, more resistant to injury.

your arches?) or a difference in leg-length

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